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Texte biblique
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Hébreu (HE)
Ancien Testament hébreu vocalisé – (c)2000 AeDipe – fichiers préparés pour Verbum Domini par S.T., adaptés pour Ictus 3 avec autorisation
Ancien Testament hébreu/araméen consonnantique en parallèle avec la version grecque des Septantes (LXX) – (c)2000 AeDipe – fichiers préparés pour Verbum Domini par S.T., adaptés pour Ictus 3 avec autorisation
Grec (GR)
Ancien Testament: version grecque des Septantes (LXX); Nouveau Testament: texte grec original – (c)1999 AeDipe – fichiers préparés pour Verbum Domini par S.T., adaptés pour Ictus 3 avec autorisation
Latin (LA)
Sacrosancti Oecumenici Concilii Vaticani II, ratione habita iussu Pauli PP. VI recognita, auctoritate Ioannis Pauli PP. II promulgata – Editio typica altera
Sancti Hieronymi operata – Conc. Tridentinum Vulgatam declaravit ‘authenticam’ in sensu iuridico, id est quatenus respicitur ‘vis probativa in rebus fidei et morum’
Allemand (DE)
Anglais (EN)
Espagnol (ES)
Biblia de Jerusalén – Ecole Biblique et archéologique de Jérusalem
Français (FR)
aelf.org/bible-liturgie – Copyright AELF – Paris – 1980 – Tous droits réservés
Traduction en français du Chanoine Crampon, édition numérique par Richard Bourret –
Traduction en français sous la direction de l’école biblique de Jérusalem – (c)1972 Editions du Cerf
Italien (IT)
Bibbia Edizioni Paoline – (c) Edizioni Paoline
Bibbia officiale della CEI – (c) C.E.I. 1974
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Concordances
Ce document, commencé en 1997, a été complété, revu et corrigé. Il indique les passages bibliques faisant l’objet d’une relecture, d’une citation, d’un parallèle ou encore d’une allusion, de l’Ancien dans le NT et d’un écrit du NT dans un autre ou dans un autre écrit du NT (intra-testamentaire).
Pour être clair à propos de cette démarche et de l’utilisation possible de ce document veuillez noter « que de l’usage qu’ont voulu faire ces auteurs du substrat biblique il faut distinguer : les citations-arguments ; les citations commentées ; les citations comparatives ; les citations interprétées par l’allégorie, tenant à la fois de l’argument et de la comparaison ; les citations ou réminiscences d’ordre uniquement littéraire, sans rapprochement formel » (voir à ce propos l’article « CITATIONS DE L’A.T. DANS LE N.T. » in Dictionnaire Encyclopédique de la Bible de A. Westphal).
Ainsi à partir de ce document, il est permis de découvrir l’évolution, ou l’interprétation – la relecture si vous préférez – d’un passage de l’A.T par la prédication apostolique. De même, par l’intermédiaire des liaisons intra-testamentaires du NT, on perçoit les éléments communs (aujourd’hui on dirait « les constantes ») de la prédication apostolique.
note du copiste : le texte biblique utilisé ici s’appuie sur la version de Louis Segond de 1910 (l’expression « L’Eternel » a été remplacé par « Le Seigneur »). Lorsque qu’un récit s’étend sur plusieurs versets, le premier verset et le dernier verset séparé par trois petits points sont cités. Malgré tout le soin apporté il est possible que des citations de l’AT dans le NT soient absentes dans la partie AT. Le copiste espère que cela ne gènera pas vos recherches
Concordance de thèmes offrant des références à:
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Elaboré en 1997 ce document a été revu et corrigé en Mars 2021
Dictionnaire encyclopédique sur la Bible.
Contient des notices sur de nombreux personnages, lieux et thèmes bibliques.
Document regroupant :
Ce Document créé en 1996, revu et corrigé en février 2022, a été conçu spécialement pour le programme ICTUSWIN
« Synopse des évangiles »: passages parallèles entre les 4 évangiles.
Basée sur la classification de la synopse des Pères Benoit et Boismard, op.
La synopse présente en parallèle les quatre évangiles.
Elle reprend strictement la nouvelle traduction Louis Segond 1910. Le plan suivi est celui du site www.jchr.be. Encore un emprunt à nos frères protestants, un grand merci à eux.
Commentaires
Bible chrétienne III*.
Traduction française sur les textes originaux et choix de commentaires par Elisabeth de Solms, OSB
Introduction, notes et mise en parallèles par Dom Claude Jean-Nesmy
Concordance et révision générale Mère Cécile Michille-Dechêne
Québec, éd. Anne Sigier 1994.
Bible Chrétienne II – Commentaires, troisième édition.
Bible chrétienne I*.
Traduction française sur les textes originaux et choix de commentaires par Elisabeth de Solms, OSB
Introduction, notes et mise en parallèles par Dom Claude Jean-Nesmy
Québec, éd. Anne Sigier 1989.
Jerome Biblical Commentary for the Old Testament.
THE JEROME BIBLICAL COMMENTARY (1968).
Vol. II: THE NEW TESTAMENT AND TOPICAL ARTICLES.
Saint Thomas
Explication suivie des QUATRE EVANGILES par le docteur angélique Saint Thomas d’Aquin composée des interprètes grecs et latins, et surtout des ss. Pères admirablement coordonnés et enchaînés de manière à ne former qu’un seul texte suivi et appelé à juste titre la « CHAINE D’OR » (« CATENA AUREA »).
TRADUCTION NOUVELLE par M. L’ABBE J.-M. PERONNE, Chanoine titulaire de l’Eglise de Soissons, ancien professeur d’Ecriture sainte et d’éloquence sacrée.
In Psalmos (Sancti Thomae Aquinatis): usque ad Ps. LI, textus ed. Parmensis t. XIV, 1863; Psalmorum LII, LIII et LIV, textus 2ae editionis P.A. Uccelli, Romae, 1880, pp. 243-254.
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super : Primam EpistoLam Sancti Pauli Apostoli ad Corinthios expositio N.B. Continuatio operis, post cap. VII lect. 2 lineam 29, (scilicet post medietatem n.i 337 in ed. Marietti: non vero ab initio n.i 347 ut Marietti indicat) usque ad cap. X inclusive, a Petro de Tarantasia OP et Nicolao de Gorran OP exarata; a cap. XI ad finem, inter Reportationes translata. Et cfr. etiam RIL.
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Super Primam Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Thessalonicenses expositio .
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Primam Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Timotheum
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super : Secundam EpistoLam Sancti Pauli Apostoli ad Corinthios expositio
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Super Primam Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Thessalonicenses expositio .
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Primam Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Timotheum
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Super Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Colossenses expositio
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Super Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Ephesios expositio .
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Galatas expositio
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Super Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Hebreos expositio .
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici IN ISAIAM expositio.
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici IN JOB.
Edition Communauté saint Jean, 3 volumes, 1980 (Ch. 1-11 pour l’heure).
Édition numérique à partir de la traduction, http://docteurangelique.free.fr, 2004.
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici IN HIEREMIAM.
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici IN THRENOS HIEREMIAE expositio
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super EVANGELIUM MATTHAEI expositio .
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Super Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Hebreos expositio .
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Super Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Hebreos expositio .
Edition Louis Vivès, 1869.
Traduction par l’Abbé Bralé (1869)
Sancti Thomae Aquinatis Doctoris Angelici super Super Epistolam Sancti Pauli Apostoli ad Titum expositio .
Dictionnaires
Lexique grec->français. Complet pour les termes du Nouveau Testament.
Dictionnaire complet latin -> français, comprenant plus de 25.000 entrées.
Ouvrages de référence :
Auteur : Gérard Jeanneau, jeanneau@guetali.fr ( Île de la Réunion )
Note importante: à cause de la spécificité de ce document, seuls les mots latins des entrées sont indexés pour la recherche de mots. Le texte français et les exemples ne le sont pas.
Livres apocryphes
Apocryphes concernant l’A.T :
Apocryphes du Nouveau Testaments classés selon trois thèmes :
Magistère
Des Conciles
Autres
Primum Concilium Toletanum.
Council of Basel
Canons of the Council of Chalcedon
Extrait du Dictionnaire universel et complet des conciles (deux tomes) du chanoine Adolphe-Charles Peltier, publié dans l’Encyclopédie théologique de l’abbé Jacques-Paul Migne (1847), dont il constitue les tomes 13 et 14.
Textes tirés du site: http://membres.lycos.fr/lesbonstextes/magistere.htm
Council of Constance
Symboles et définitions de la foi catholique, Enchiridion Symbolorum, ou Denzinger. Edition 37.
Ce document ne comporte que les numéros 1 à 3930, soit jusqu’à la réponse de Jean XXIII à propos de l’élection de députés qui soutiennent le communisme.
Council of Ephesus
Conciles du Latran
First Council of Lateran
Second Council of Lateran
Third Council of Lateran
Fourth Council of Lateran
Fifth Council of Lateran
Vatican II
Promulgué le 18 novembre 1965, ce document sur l’Apostolat des Laïcs ne parle pas de la nature du laïcat, ni même de sa dignité, mais seulement de son apostolat.
Ce décret a été l’objet d’un certain nombre de critiques. Peut-être, en effet, ne prend t-il pas les choses d’assez haut. Il semble refléter l’état d’esprit courant, en France, au moment du Concile dans l’apogée de l’Action Catholique.
Apostolicam Actuositatem comprend six chapitres qu’on peut partager sous trois parties :
Approuvé par le Concile et promulgué par Paul VI le 7 décembre 1965, ce décret traite de l’activité missionnaire de l’Eglise. Ce n’est pas un texte juridique ou disciplinaire mais un document dogmatique et pastoral sur la nature de la mission.
Ad Gentes comprend six chapitres qu’on peut présenter ainsi :
Vatican I avait définit le rôle et la place du Pape, Vatican II s’inscrit dans cette ligne avec ce document sur le rôle et la place des évêques.
Voté le 6 octobre 1965 par 2167 voix sur 2181, il fut promulgué le 28 octobre 1965 et entra en vigueur le 29 juin 1966. Son préambule s’inspire de Lumen Gentium.
Christus Dominus est réparti en trois grands titres :
Déclaration promulguée le 7 décembre 1965. Il ne s’agit pas de donner droit aux erreurs et aux hérésies mais de respecter l’homme créé à l’image de Dieu. La dignité humaine veut que chacun agisse selon sa conscience, et que la conscience de chacun soit respectée, même lorsque celle-ci tombe dans l’erreur. Dignitatis Humanae a été approuvé par 2368 voix contre 70
La manifestation du Dieu invisible comprend des événements et des paroles intimement liés entre eux. Dans la Bible, la Révélation divine ne se montre pas d’abord comme la communication d’un savoir, mais comme la manifestation d’une présence vivante au sein d’un peuple. Mais elle n’atteint son sommet qu’en Jésus.
Dei Verbum, Constitution Dogmatique sur la Révélation se divise en 6 chapitres :
Adopté par 2344 voix contre 6 le 18/11/1965.
La déclaration sur l’éducation chrétienne fut votée le 28 octobre 1965.
L’Eglise possède une longue tradition d’éducation. Sans doute, elle n’a pas semblé s’en occuper directement dans les premiers siècles, absorbée par d’autres tâches, mais dès le début du moyen âge c’est elle qui maintient ce qui demeure de culture.
Gravissimum Educationis parle en premier de l’éducation en général, plus de ceux qui en sont responsables, enfin de l’école.
Le 7 décembre 1965, par 2309 avis favorables contre 75 et 7 nuls, le Concile votait cette deuxième colonne, pastorale, sur l’Eglise.
Il s’agit de préciser les rapports de l’Eglise au monde, d’un monde essentiellement mouvant bien plus encore à notre époque qu’à aucune autre. C’était un thème nouveau, jamais abordé dans un Concile, et assez peu étudié par les théologiens. C’est une sorte de méditation sur la condition de l’Eglise dans le monde présent.
Gaudium et Spes comprend deux parties très différentes :
Le décret sur les moyens de communication sociale fut promulgué le 4 décembre 1963.
Il traite de l’éducation, ou formation permanente des adultes qui se fait surtout par ces moyens de masse (presse, radio, télévision, cinéma).
Inter Mirifica comprend deux parties :
Ce plan simple montre bien l’embarras des Pères devant cette question discutée trop rapidement entre l’examen du schéma sur la Révélation et l’étude sur celui de l’Eglise (1962).
Première partie d’un dytique sur l’Eglise, ce document, promulgué le 21 novembre 1964, rappelle que Vatican II est le Concile ecclésial par excellence. Cette colonne dogmatique pourrait porter comme titre : « Eglise, que dis-tu de toi-même? ». Elle se qualifie d’un titre qui lui vient d’en haut : sacrement général de notre salut.
Lumen Gentium, Constitution dogmatique sur l’Eglise, traite de l’Eglise en elle même et ceci en 8 chapitres :
C’est le pendant du document conciliaire Gaudium et Spes qui traite de l’Eglise dans son rapport au monde. L’histoire de l’origine de l’Eglise est une histoire d’amour, c’est de cet amour que lui vient sa sacramentalité.
Ce document est riche des recherches et des redécouvertes des notions bibliques : peuple de Dieu, communauté, royaume de Dieu, bercail ou bergerie, troupeau, champ de Dieu etc… On peut noter le chap. 8 sur Marie, modèle de l’Eglise.
Pour que l’Evangile soit annoncé à chacun, il ne suffit pas que quelques missionnaires soient parvenus dans un pays, il faut encore que tous aient pu entendre, sans déformation, le message du Christ, et qui surpasse celui de toutes les autres religions. Beaucoup restent dans l’ignorance, parfois même à cause de leur propre religion, ou bien à cause de préjugés de toutes sortes, ou encore parce qu’ils sont accaparés par les problèmes immédiats de la vie. Il eût été dommage que le Concile manquât cette occasion de s’adresser aux quelques trois milliards de-non chrétiens de l’univers (cardinal Béa 18/11/64).
Nostra Aetatae fut voté le 28 octobre 1965, il parle des religions orientales, de l’hindouisme, du bouddhisme, de l’islam et du judaïsme
Voté le 21 novembre 1964, en même temps que le document sur l’oecuménisme, ce décret sur les Eglises orientales catholiques en est un peu la continuation, au sein de l’Eglise catholique.
Ces Eglises sont fort mal connues de la plupart d’entre nous, pourtant elles appartiennent à notre communion.
Orientalium Ecclesiarum peut se résumer en 5 points :
Ce document sur la formation des prêtres a été promulgué le 28 octobre 1965, quelques temps avant l’autre grand document traitant des prêtres, Presbyterum Ordinis.
Les séminaires ont été demandés par le Concile de Trente. Dans beaucoup de diocèses ils ont mis des siècles pour se créer et ont subsisté pendant des centaines d’années sans gros changement. Le Décret sur la formation des prêtres insiste sur l’importance de la formation. Mais il ne veut que poser quelques principes et laisse une grande latitude d’adaptation suivant les pays et les nécessités. Il aborde la formation spirituelle, intellectuelle et pastorale.
Le 28 octobre 1965 est promulgué le décret sur la vie religieuse.
C’est en raison de l’importance qu’il attachait à ce point que le Concile consacre un décret à son adaptation au monde présent. Ce décret tente de ramener la vie religieuse à la pureté de l’Evangile et de l’intuition d’origine de chaque maison religieuse. Ce décret sera complété par le Motu proprio Ecclesiae Sanctae du 6 août 1966.
Perfectae Caritatispeut se diviser en trois parties :
On a dit que Vatican I était le Concile sur le Pape, Vatican II sur les Evêques. Certains prêtres ont dit qu’ils avaient été les grands oubliés de ce concile. S’il est vrai que Lumen Gentium parle moins des prêtres, mettant en valeur la notion de Peuple de Dieu – et par contre coup celle de Laïc – il faut noter que deux documents leurs sont consacrés : Presbyterum Ordinis, promulgué le 7 décembre 1965, et Optatam totius Ecclesiae renovationem. La crise sacerdotale actuelle est au centre de la crise de l’Eglise mais cette question est avant tout le reflet d’une question plus grave: celle de la nature du christianisme et de son rapport au monde.
Notre Seigneur Jésus-Christ a tenu à instaurer des ministres (apôtres). Mise à part au sein du peuple de Dieu, ils vivent au milieu du monde comme de bons pasteurs qui connaissent leurs brebis.
Le document traite du ministère des prêtres, de la fonction du prêtre et de la relation avec les évêques et les autres prêtres et les laïcs, de la vie des prêtres, sainteté sacerdotale vertus et équilibre de vie
La Constitution sur la Sainte Liturgie fut promulguée par Paul VI le 4 décembre 1963, votée le 22 novembre à la quasi unanimité.
Le Motu proprio » Sacram Liturgiam » du 25 janvier annonçait la mise en application des premières réformes pour le début du Carême.
Sacrosanctum Concilium comprend sept chapitres que l’on peut classer en trois grandes parties :
Le 21 novembre 1964 le Concile adopte le décret sur l’oecuménisme par 2137 voix pour sur 2148.
Le but de l’oecuménisme est de promouvoir l’unité entre les chrétiens. Une seule et unique Eglise a été instituée par le Christ et pourtant les chrétiens sont divisés. C’est là une violation de la volonté de Jésus, un scandale pour le monde et un obstacle à l’évangélisation.
Unitatis Redintegratio comporte trois chapitres :
Par ce message, le deuxième Concile du vatican a exprimé son désir que les jeunes répondent au souci de l’Eglise, « que cette société laisse s’épanouir son trésor toujours ancien et nouveau, la foi. »
« En face de l’athéisme, phénomène de lassitude et de vieillesse, vous saurez affirmer votre foi dans ce qui donne un sens à la vie: la certitude de l’existence d’un Dieu juste et bon. »
Des catéchismes
Le Catéchisme du concile de Trente ou Catéchisme romain est le livre de référence catéchisme catholique publié en 1566.
Selon ce catéchisme, les évêques du concile de Trente, « voulant absolument combattre un mal si grand et si funeste par un remède efficace, non seulement ont pris soin de bien définir contre les hérésies de notre temps les points principaux de la doctrine catholique, mais de plus ils se sont fait un devoir de laisser, pour l’instruction des chrétiens sur les vérités de la Foi, une sorte de plan et de méthode que pourraient suivre en toute sûreté dans leurs églises ceux qui auraient la charge de Docteur et de Pasteur légitime ». Cette résolution fut adoptée au cours de la dix-huitième session (26 février 1562). Le catéchisme fut alors publié en latin sous le titre « Catechismus ex decreto Concilii Tridentini ad parochos Pii V », jussu editus, Romae, 1566 (in-folio).
Le document présent repose sur l’édition de Desclée et Cie, Imprimatur Tournai, du 17 juillet 1923. Source du document édition numérique par quemtimebo et www.JesusMarie.com.
Les définitions dogmatiques postérieures à la rédaction du Catéchisme du Concile de Trente (Immaculée Conception, Infaillibilité pontificale, Assomption) figurent en annexe.
Catéchisme de l’Eglise Catholique publié le 11 octobre 1992, avec les corections apportées par l’édition de 1997.
Le plan reprend, après une introduction sur la foi et sa transmission (1-25), une exposition selon 4 parties :
Le Catéchisme pour Adultes des Evêques de France, paraît le 15 Mai 1991, avant la rédaction du Catéchisme de l’Eglise Catholique, dit « Catéchisme universel », le 7 décembre 1992.
Les Evêques de France ont rédigé ce catéchisme pour Adultes, adapté à la mentalité française et justifié leur démarche lors de leur réunion annuelle de Lourdes, en Septembre 1980 : « Ce catéchisme pour adultes s’inscrit dans la mission de l’Eglise et dans l’exercice de notre responsabilité d’évêques. Il permettra aux catholiques de mieux connaître les richesses variées de leur foi et les repères solides qu’elle propose. Ainsi continueront-ils avec encore plus d’assurance et de joie la marche entreprise, en formant une Eglise de croyants; et de témoins. Nous savons que les lumières de cette foi intéressent la recherche commune des hommes et des femmes en quête de plus de vérité et de bonheur. Cet ouvrage voudrait rendre compte, à tous ceux et à toutes celles qui le désirent, de l’espérance qui est en nous (cf. 1P 3, 15). »
Conformément au canon no 115 du Code de droit canonique de 1983, la Congrégation du Clergé, après avoir reçu l’accord de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a donné le 23 janvier 1991 l’approbation du Saint-Siège à ce catéchisme publié par la Conférence des évêques de France. Il a été préfacé par Joseph Duval, archevêque de Rouen, président de la Conférence des évêques de France en 1991. Publié à la demande de Rome, ce Catéchisme répond au souhait de l’Exhortation Catechesi tradendae, 1979.
Il s’agit d’un exposé organique et complet de la foi et non directement d’un manuel de catéchèse. Scandé par le thème de l’Alliance. le Catéchisme est construit selon la structure des grands symboles de la foi. Au centre, le chapitre sur le Christ. Il s’articule sur les grands thèmes de la Foi à travers les thèmes de la théologie dite « biblique » des années 80 : Chapitre 1 : Dieu à l’horizon des hommes de notre temps ; 2 : Dieu de l’Alliance ; 3 : La Nouvelle Alliance en Jésus Christ ; 4 : L’Eglise, peuple de la Nouvelle Alliance ; 5 : Les sacrements de la Nouvelle Alliance ; 6 : La loi de vie de la Nouvelle Alliance ; 7 : L’accomplissement de l’Alliance dans le royaume de Dieu. Moins précis, mais aussi moins technique que le CEC, voici un texte abordable, qui aide à mieux comprendre les grands mouvements de la Révélation divine
Le COMPENDIUM, ou Abrégé en français, du catéchisme de l’Eglise catholique est le fruit du Congrès international de catéchèse de 2002. Il a été publié le 28 juin 2005.
Cet abrégé présente la foi catholique en 598 questions-réponses, depuis la question : « Quel est le dessein de Dieu sur l’homme ? », et jusqu’à cette interrogation « Que signifie l’Amen de la fin ? »
Le pape a voulu que cet abrégé soit illustré, étant donné la force catéchétique de l’image, et le riche patrimoine, occidental et oriental, de l’iconographie chrétienne.
Le volume se divise en quatre parties, comme le Catéchisme : « La profession de la foi », « La célébration du mystère chrétien », « La vie dans le Christ », et « La prière chrétienne ».
Il inclut en outre les textes des grandes prières chrétiennes, en français et en latin, pour favoriser la participation aux grands rassemblements internationaux. Enfin, il propose les « formules de la doctrine catholique » comme « les quatre vertus cardinales », « les sept péchés capitaux », « les œuvres de miséricorde », etc
Le copiste précise que les illustrations, et leurs commentaires, n’ont pas été intégrés.
Le Catéchisme de saint Pie X : Édition de 1906 : imprimatur de Langres, 10 août 1906 ; édition Martin-Berret, imprimeur de l’évêché de Langres. Rééditions : Itinéraires, septembre-octobre 1967 ; Editions Dominique Martin Morin 53290 Bouère
L’intention de Saint Pie X est exposée dans sa lettre du 14 juin 1905 : » La nécessité de pourvoir autant que possible à la formation religieuse des enfants Nous a porté à publier un catéchisme qui expose d’une manière claire les éléments de la sainte foi et les vérités divines sur lesquelles doit se régler la vie de tout chrétien. «
Il comprend en fait plusieurs volumes différents :
Le jeudi 25 juin 2020, le Conseil Pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation a publié un nouveau Directoire sur la catéchèse.
L’objectif de ce texte est de donner aux évêques, aux prêtres et aux catéchistes le cadre et les repères fondamentaux concernant l’enseignement du catéchisme. Un Directoire est un document de référence des fondamentaux théologiques et pastoraux de l’action catéchétique. Il s’adresse aussi à tous les acteurs de la catéchèse, du catéchuménat et de l’évangélisation, en premier lieu aux évêques, les premiers catéchistes de leur diocèse.
Le nouveau Directoire pour la Catéchèse a été présenté par Mgr Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation. C’est l’occasion de rappeler ce qu’avait souligné avec force le pape François dans son discours aux catéchistes en pèlerinage à Rome à l’occasion de l’année de la foi et du congrès international des catéchistes le 27 septembre 2013 : la catéchèse n’est pas d’abord quelque chose « à faire », un travail à accomplir ou le fruit d’un goût pour l’enseignement. Il insistait sur la vocation des catéchistes, sur « l’être catéchiste » et la qualité de la vie spirituelle de ceux qui ont la charge de la catéchèse.
C’est avant tout le témoignage des catéchistes qui transmet la foi par « attraction ». Ce nouveau texte a été établi suite au synode sur la nouvelle évangélisation, et à la publication de l’exhortation apostolique Evangelili gaudium du pape François (du 24 Nov 2013 – sous Ictuswin EG du 18/05/2020). Il s’inscrit également dans la continuité des deux précédents textes qui traitaient de ce sujet : le Directoire catéchétique général, approuvé en 1971 par le pape saint Paul VI, et l’exhortation apostolique Catechesis tradendae, rédigé après le synode de 1977 sur la catéchèse.
Edité par la Conférence des Evêques de France le 23/09/2020 sur le site https://eglise.catholique.fr
Constitution apostolique sur la publication Du Cathéchisme de l’Eglise catholique Rédigé à la suite de Vatican II du 11 Octobre 1992. On aura soin de confronter cette présentation avec l’introduction du Catéchisme. Ainsi ce document est un complément pour une bonne compréhension du plan du CEC
Des Papes
S.Leo
Sermons de Saint Léon le Grand, pape:
Lettres choisies de saint Léon le Grand:
Traduction française de Ernest de Montferrier, d’une édition de 1838: Chefs d’oeuvre des Pères de l’Église, mise en français moderne.
Pie IX
Lettres encycliques de s.s. PIE IX
(1846-1878)
Léon XIII
Léon XIII rédige cette encyclique sur le mariage chrétien en 1880. C’est le moment où de nombreux pays projettent des lois sur le divorce. C’est un appel à la foi de l’Eglise, et au soutien des gouvernements. Le sujet central est donc l’indissolubilité du mariage.
Leonis XIII Pontificis Maximi
Acta Vol. XIX
Romae ex typographia Vaticana 1900, pp. 155-190
Sapientae Christianae Lettre encyclique de sa sainteté le pape Léon XIII Sur les principaux devoirs des chrétiens le 10 janvier 1890
Lettres encycliques de sa sainteté le pape LÉON XIII
León XIII, Enseñanzas
Encyclique du 15 mai 1891 de Léon XIII « RERUM NOVARUM » sur les changements de la société
Pie X
Pascendi Dominici Gregis Lettre encyclique de sa sainteté le pape Pie X sur les erreurs du modernisme le 8 septembre 1907
MAGISTERIO PONTIFICIO DE SU SANTIDAD PIO X
Lettres encycliques de sa sainteté le pape PIE X
Lettres encycliques de sa sainteté le pape PIE X
Communium Rerum
On St. Anselm of Aosta
Encyclical of Pope Pius X
April 21, 1909.
Compilation of magisterial documents; the notices on Popes and the topics are extracted from the “Catholic Software 2.0” CD.
Lettres encycliques de sa sainteté le pape PIE X
Haerent Animo
To the Catholic Clergy on Priestly Sanctity
Apostolic Exhortation given by Pope St. Pius X
August 4, 1908.
Compilation of magisterial documents; the notices on Popes and the topics are extracted from the “Catholic Software 2.0” CD.
Lettres encycliques de sa sainteté le pape PIE X
Lettres encycliques de sa sainteté le pape PIE X
Lettres encycliques du Pape Saint PIE X
Lettres encycliques de sa sainteté le pape PIE X
Benoit XV
Ad Beatissimi Apostolorum Principis
Lettre encyclique de sa sainteté le pape BENOÎT XV
le 1er Novembre 1914.
Humani Generis Redemptionem du pape Benoît XV sur la prédication de la Parole de Dieu le 15 juin 1917.
Pie XI
Ad Catholici Sacerdotii Lettre encyclique de sa sainteté le pape Pie XI sur le sacerdoce, le 20 décembre 1935
Pie XI, en 1930 fait porter son regard sur le mariage chrétien, dont il sent à quel point il est menacé par le monde moderne. Il traite successivement – 1 – des biens du mariage – 2 – des erreurs et vices contraires au mariage – 3 – du retour à l’idée divine du mariage.
Divini Redemptoris, le communisme athée lettre encyclique de sa sainteté le pape Pie XI le 19 mars 1937.
Lettres encycliques de sa sainteté le pape PIE XI
Pie XII
Documents pontificaux de Sa Sainteté Pie XII (1939-1958)
publiés sous la direction de Mgr Simon Delacroix par l’oeuvre Saint-Augustin à Saint-Maurice (Suisse).
Documents pontificaux de Sa Sainteté Pie XII (1939-1958)
publiés sous la direction de Mgr Simon Delacroix par l’oeuvre Saint-Augustin à Saint-Maurice (Suisse)
Documents pontificaux de Sa Sainteté Pie XII (1939-1958)
publiés sous la direction de Mgr Simon Delacroix par l’oeuvre Saint-Augustin à Saint-Maurice (Suisse)
Documents pontificaux de Sa Sainteté Pie XII (1939-1958)
publiés sous la direction de Mgr Simon Delacroix par l’oeuvre Saint-Augustin à Saint-Maurice (Suisse)
Documents pontificaux de Sa Sainteté Pie XII (1939-1958)
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Divino Afflante Spiritu
Lettre encyclique sur les études bibliques du pape Pie XII
le 30 septembre 1943
Don de la foi : ce sont les deux mots latins en tête de l’encyclique du Pape Pie XII du 21 avril 1957 intitulée « Fidei Donum » invitant les évêques à porter avec lui « le souci de la mission universelle de l’Eglise », non seulement par la prière et l’entraide, mais aussi en mettant certains de leurs prêtres et fidèles à la disposition de diocèses d’autres continents. Les prêtres envoyés, restent attachés à leur diocèse d’origine et y reviennent après plusieurs années passées en mission. On les appelle souvent « Prêtres Fidei donum»
Encyclique « Humani generis » (12 août 1950) extrait de « Documents pontificaux de Sa Sainteté Pie XII » (1950)
publiés sous la direction de Mgr Simon Delacroix par l’oeuvre Saint-Augustin à Saint-Maurice (Suisse)
2 Lettres encyclique du saint père le pape PIE XII
Encyclical Mediator Dei
Pope Pius XII
On the sacred Liturgy
November 20, 1947
Lettres encyclique du saint père le pape PIE XII
Jean XXIII
Lettre de Jean XXIII du 18 décembre 1964, sur et pour les évêques: la communion, l’unité et la collégialité.
Les numéros de paragraphes ont été ajoutés par nous.
Jean XXIII publie en Mai 1961 ce document adressé à tous les fidèles du monde entier sur les plus récents développements de la question sociale étudiés à la lumière des principes chrétiens:
Jean XXIII désirant traiter de la Paix en Avril 1963, regarde successivement :
JOANNES PP XXIII
LITTERAE APOSTOLICAE MOTU PROPRIO DATAE
NOVUM RUBRICARUM BREVIARII ET MISSALIS ROMANI
CORPUS APPROBATUR.
Jean XXIII, Lett. enc. « Sacerdotii nostri primordia », à l’occasion du premier centenaire de la mort du saint Curé d’Ars (1er août 1959).
Saint Jean XXIII nous propose une encyclique fabuleuse sur le sacerdoce. A partir de citations du saint curé d’Ars, le pape adresse aux évêques et aux prêtres des conseils et des encouragements pour vivre saintement leur ministère, et pour rayonner autant que Jean-Marie Vianney .
CONSTITUTIO APOSTOLICA «VETERUM SAPIENTIA».
JOANNIS PAPAE XXIII.
Sur l’emploi de la langue latine », le 22 février 1962, l’année même de l’ouverture du Concile, le pape Jean XXIII promulgue cette constitution apostolique.
Elle fournit un cas d’école pour illustrer comment la tourmente conciliaire balaya violemment, du jour au lendemain, les traditions les plus vénérables de l’Eglise latine. Dans cette constitution, le pape Jean XXIII commence par louer hautement la langue latine. Après avoir montré l’apport de la littérature antique à la préparation providentielle de l’Evangile, il ajoute : « Au milieu de cette variété de langues, il y en a une qui surpasse les autres, celle qui, née dans le Latium, est devenue ensuite un admirable instrument pour la diffusion du christianisme en Occident. Ce n’est pas sans une disposition de la providence divine que cette langue, qui pendant de nombreux siècles avait réuni une vaste fédération de peuples sous l’autorité de l’Empire romain, est devenue la langue propre du Siège apostolique, et que, transmise à la postérité, elle a constitué un étroit lien d’unité entre les peuples chrétiens d’Europe ».
Paul VI
Le Synode des Évêques a été institué par Saint Paul VI le 15 septembre 1965 par ce Motu Proprio « Apostolica Sollicitudo ».
Son institution a eu lieu dans le contexte du Concile Vatican II qui, avec la Constitution Dogmatique Lumen gentium (21 novembre 1964), s’était largement concentré sur la doctrine de l’épiscopat, en sollicitant une plus grande implication des Évêques cum et sub Petro pour les questions qui concernent l’Église universelle. Le Décret conciliaire Christus Dominus (28 octobre 1965) décrit ainsi l’Organisme nouvellement institué « Des évêques choisis dans les diverses régions du monde, selon des modes et des normes établis ou à établir par le Pontife romain, apportent au Pasteur suprême de l’Église une aide plus efficace au sein d’un conseil, qui a reçu le nom de Synode des évêques. Et du fait qu’il travaille au nom de tout l’épiscopat catholique, ce Synode est en même temps le signe que tous les évêques participent en une communion hiérarchique au souci de l’Église universelle » (n. 5).
Au fil des ans les normes synodales ont bénéficié d’améliorations successives, dont témoignent les diverses éditions de l’Ordo Synodi Episcoporum publiées en 1966, 1969, 1971 e 2006. Entretemps, le Code de droit canon (25 janvier 1983), canons 342-348, et le Code des canons des Églises Orientales (18 octobre 1990), canon 46, ont intégré le Synode dans le droit universel de l’Église, en en précisant la nature et le fonctionnement.
Récemment le Pape François, avec la Constitution Apostolique Episcopalis communio (15 septembre 2018), a profondément renouvelé le Synode des Évêques, en l’insérant dans le cadre de la synodalité comme dimension constitutive de l’Église à tous les niveaux de son existence.
Le 15 Sept. 1966, le pape Paul VI publie cette encyclique « sur la mère du Christ ».
Mais rapidement, on se rend compte qu’il s’agit surtout d’une exhortation à avoir recours à la Vierge Marie pour demander la paix dans le monde. Le souverain Pontife est préoccupé par les relations internationales de l’époque, la guerre froide entre l’Est et l’Ouest, la guerre du Vietnam… Il demande à la fin de son encyclique de prier pour la paix le 4 octobre.
Discours au Congrès Internation sur la Théologie du concile, le 1er Octobre 1966, de Paul VI
« Annoncer l’Evangile », Evangelii Nuntiandi, est une exhortation apostolique émise le 8 décembre 1975 par le pape Paul VI à la suite des travaux du synode sur ce thème (du 7 septembre 1974 au 26 octobre 1974).
Elle traite de l’évangélisation et affirme le rôle de tout chrétien (et pas seulement des prêtres ordonnés) dans la diffusion de la religion catholique. Paul VI communique au monde le fruit d’une certaine forme de collégialité épiscopale, puisque le pape répond à un désir des évêques. Plutôt qu’un exposé didactique sur l’évangélisation, cette exhortation offre précisément le ton chaleureux d’une exhortation et veut être une invitation adressée à tout l’Eglise pour l’examen d’une question d’importance : se trouve t-elle, oui ou non plus apte à annoncer l’évangile ? Le document soulève ainsi en quelques points la source de la mission de l’Eglise, la nature de son évangélisation, son contenu et ses voies, ses destinataires, donc ses ouvriers et leur esprit.
Encyclique de Paul VI, en 1964, le Concile Vatican II n’étant pas encore fini. Pour aider les Pères Conciliaires et tout le peuple chrétien, sur la vie de l’Eglise:
La Vie Humaine, « Humanae Vitae » est paru le 25 juillet 1968.
Paul VI répond à l’attente prolongée de beaucoup de chrétiens. Cette encyclique pose une question de fond: à quelle question précise cet enseignement répond-il ? Ce n’est ni un traité de démographie, ni de sociologie ni de biologie, encore moins de psychologie. Pour la commission constituée il s’agissait en fait de recueillir des avis sur les nouvelles questions relatives à la vie conjugale, et en particulier celle de la régulation de la natalité et de fournir les éléments d’information. Les problèmes qui se posent sont graves en raison d’une triple évolution : démographique, de la fécondité humaine et des conditions de la croissance, dans la conception que la femme et la société se fait d’elle même. L’encyclique suppose d’abord qu’on accepte pleinement la valeur de l’amour, elle en rappelle la grandeur. Cet amour ne peut être que fécond et responsable. Voici la véritable question morale, elle ne porte pas sur le droit général de contrôler la fécondité mais elle porte sur la manière de le faire en fonction du rapport constitutif que l’amour possède avec la vie.
Publiée par Paul VI le 2 février 1974, le culte marial, « Marialis cultus », après le concile Vatican II.
Paul VI parcourt le nouveau missel romain et souligne comment celui-ci préserve l’ensemble des doctrines, dogmes et traditions de l’Église sur la Vierge. Il célèbre la virginité perpétuelle, la conception virginale, la maternité divine, la maternité ecclésiale, expectation de Notre-Dame, les épousailles spirituelles, l’annonciation, l’Immaculée Conception, la nativité de Marie, l’assomption dans le ciel, la médiation des grâces, la royauté maternelle, l’avocate céleste et le rôle sotériologique lors de la Passion.
Paul VI publie ce document sur le culte eucharistique trois mois avant la clôture du Concile œcuménique Vatican II.
Il le fait après que ce Concile a cherché à mettre en place une « rénovation » de la liturgie romaine et de la célébration eucharistique, en particulier par le décret Sacrosanctum Concilium. « Le Mystère de la Foi » parait le 3 septembre 1965.
Ecrit par Paul VI pour le 80ème anniversaire (« Octogesima adveniens ») de l’encyclique Rerum novarum de Léon XIII.
Cette lettre du 14 mai 1971 manifeste une évolution de la pensée du magistère. C’est en effet la première fois qu’un document du magistère aborde le thème des effets de l’activité humaine sur l’environnement. La lettre présente également une inflexion de la pensée sur le progrès, dont l’ambiguïté est soulignée beaucoup plus fortement que dans les textes précédents du magistère.
PAULUS PP. VI
Motu proprio
« Firma in traditione »
quaedam capita de facultatibus ad missarum stipendia pertinentibus statuuntur
XIII mensis Iunii MCMLXXIV
http://www.vatican.va/holy_father/paul_vi/motu_proprio/documents/hf_p-vi_motu-proprio_19740613_firma-in-traditione_lt.html
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« Le Développement des peuples » est une encyclique sur le développement humain et la notion chrétienne de progrès donnée par le pape Paul VI le 26 Mars 1967. Lors du 50e anniversaire de l’encyclique, le pape François a rappelé que les précisions de Paul VI sur le développement intégral avaient amorcé la création du nouveau Dicastère pour le service du développement humain intégral en 2016.
Plan de l’encyclique:
Lettre encyclique du 24 Juin 1967 de sa sainteté le pape Paul VI sur le célibat sacerdotal.
Elle défend la légitimité de cette tradition.
Jean-Paul II
Cette allocution de Jean Paul II fut donnée au Colisée à la fin du Chemin de Croix le Vendredi saint de l’année 1997. Il s’agit d’une méditation et en quelque sorte d’une actualisation de la passion du Christ
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Dans la « Bulle d’indiction » du Grand Jubilé de l’An 2000 (Incarnationis mysterium), rendue publique le 27 novembre 1998, le Pape Jean-Paul II fixe les dates du Jubilé et décrit les structures et les caractéristiques de l’Année Sainte, aussi bien au niveau spirituel que pratique.
Chaque année, Jean-Paul II s’est adressé aux prêtres à l’occasion du Jeudi Saint, fête de l’institution de l’Eucharistie et du Sacerdoce lors de la dernière Cène.
Dans le contexte de la crise de l’identité sacerdotale des années post-conciliaires, le pape a voulu manifester sa sollicitude, son soutien et sa ferme tendresse à ses chers frères prêtres. Ces lettres aux prêtres à l’occasion du Jeudi Saint dessinent la spiritualité sacerdotale de Saint Jean-Paul II, fidèle au Concile Vatican II. Chaque année, il choisit un thème particulier, habituellement en lien avec un document qu’il vient de publier.
Vous trouverez ci-dessous toutes ces textes, introduits par un résumé. Le document couvre les années 1979 à 2005
Initiée en 1986 à l’initiative du pape Jean-Paul II, la Journée mondiale de la jeunesse avait d’abord lieu chaque dimanche des Rameaux.
Voici la compilation des messages pour Jean-Paul de la Première journée à la vingtième qu’il a présidé de 1986 à 2005.
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Constitutions
Ex corde Ecclesiae est une constitution apostolique publiée par le pape Jean-Paul II concernant les collèges et universités catholiques . Promulgué le 15 août 1990 et destiné à entrer en vigueur au cours de l’année universitaire commençant en 1991, son objectif était de définir et d’affiner le catholicisme des établissements catholiques d’enseignement supérieur. Les institutions qui se réclament nouvellement catholiques devraient être confirmées par « le Saint-Siège , par une Conférence épiscopale ou une autre Assemblée de la hiérarchie catholique , ou par un évêque diocésain « . Les institutions qui prétendent actuellement être catholiques sont considérées comme catholiques, sauf indication contraire de leur part. Le document cite le canon 810 du Code de droit canonique, qui demande aux établissements d’enseignement catholiques de respecter les normes établies par les évêques locaux. Ex corde souligne l’autorité des évêques et mentionne que le droit canonique (canon 812) exige que tous les professeurs de théologie , dans les collèges et universités catholiques, aient le mandat de l’autorité ecclésiastique locale (normalement l’évêque local)
Sagesse chrétienne, Sapientia Christiana est une constitution apostolique publiée par le pape Jean-Paul II le 15 avril 1979 concernant les universités et facultés catholiques.
Elle est destinée à entrer en vigueur au cours de l’année académique 1980-1981, elle définit et organise les normes des établissements catholiques d’enseignement supérieur. L’intérêt de ce document, pour le moins dans ses préambules, dépasse largement le cadre des institutions et des autorités universitaires, et c’est ici la notion de « sagesse chrétienne ».
L’Eglise a toujours voulu s’occuper, avec une sollicitude toute spéciale et proportionnée aux différents besoins, de la pastorale des militaires.
Ces derniers, en effet, forment une catégorie sociale précise et, étant donné les conditions particulières de leur vie, qu’ils fassent volontairement partie, de façon stable, des forces armées ou qu’ils y soient appelés en vertu de la loi pour un temps déterminé, ils ont besoin d’une forme de pastorale concrète et spécifique; au cours de l’histoire, la hiérarchie et, en particulier, les Pontifes Romains, en raison de leur devoir de servir, c’est-à-dire de leur « diaconie », se sont souciés de répondre à ce besoin dans chaque cas et le mieux possible, grâce à une juridiction correspondant aux personnes et aux circonstances. C’est ainsi que furent constituées, au fur et à mesure, des structures ecclésiastiques dans les différents pays, avec un prélat responsable et muni des facultés nécessaires. La S. Congrégation Consistoriale promulga, avec l’Instruction « Sollemne semper » du 23 avril 1951, les normes qui convenaient.
Mais actuellement, le temps est venu de revoir ces normes afin de leur donner plus de force et d’efficacité. Cette décision est liée au Concile Vatican II qui a ouvert la voie vers la pastorale plus adaptée aux besoins particuliers et qui a étudié soigneusement l’activité de l’Eglise dans le monde contemporain, également en ce qui concerne l’édification et la promotion de la paix dans le monde entier.
En ce sens, ceux qui sont dans l’armée doivent se considérer « comme les serviteurs de la sécurité et de la liberté des peuples » car « s’ils s’acquittent correctement de cette tâche, ils concourent vraiment au maintien de la paix ». Cette révision semble également requise par les grands changements qui se sont produits, non seulement en ce qui concerne la profession militaire et son mode de vie mais aussi à cause de l’opinion que notre société a sur la nature et les devoirs des forces armées dans la vie des hommes d’aujourd’hui.
La promulgation du nouveau Code de Droit Canon, enfin, a entraîné à faire cette révision, même si celui-ci a laissé inchangées les normes actuellement en vigueur au sujet de la pastorale de l’armée mais qu’il faut revoir aujourd’hui afin de les exprimer de façon plus adéquate pour qu’elles portent des fruits plus abondants. Des normes de ce genre ne peuvent, il est vrai, être les mêmes pour tous les pays, car le nombre des catholiques engagés dans l’armée n’est pas le même ni dans l’absolu ni de façon relative et les circonstances sont extrêmement différentes selon les lieux.
Il convient donc d’établir ici des normes générales pour tous les Ordinariats militaires- appelés jusqu’à maintenant les Vicariats aux armées- qui seront complétées, dans le cadre de cette loi générale, par des statuts promulgués par le Saint-Siège pour chaque Ordinariat.
Tout le troupeau du Seigneur, Universi Dominici Gregis, est une constitution apostolique promulguée par le pape Jean-Paul II le 22 février 1996.
Elle fixe les règles régissant la vacance du siège apostolique et l’élection du nouveau souverain pontife. Elle remplace la constitution apostolique Romano Pontifici Eligendo1 de Paul VI, promulguée le 1er octobre 1975. La constitution Universi Dominici Gregis reprend la plupart des dispositions de la constitution précédente en y apportant cependant quelques évolutions : elle institue comme seul mode de désignation possible le scrutin secret ; elle prévoit, dans un certain nombre de cas, la possibilité d’une élection à la majorité simple ou un scrutin réduit à deux noms ; elle prévoit le logement des cardinaux pendant la période du conclave, à la Domus Sanctae Marthae et fixe un certain nombre de règles pratiques ; elle supprime toute notion de « couronnement » pour ne parler que d’« inauguration solennelle du pontificat ».
La constitution Universi Dominici Gregis se situe dans une succession de plusieurs textes pontificaux publiés par les prédécesseurs de Jean-Paul II : Sede Apostolica Vacante de Pie X, 1904 ; Cum Proxim du 1er mars 1922 et Quae divinus du 25 mars 1935 de Pie XI ; Vacantis Apostolicae Sedis de Pie XII du 8 décembre 1945 ; Summi Apostolicae Sedis de Jean XXIII du 5 septembre 1962; Romano Pontifici Eligendo de Paul VI, du 1er octobre 1975.
Le Vatican a annoncé le 23 août 1982 que Sa Sainteté le Pape Jean Paul II avait décidé d’ériger l’Opus Dei en prélature personnelle. Le Saint-Père a réalisé cette décision par la constitution apostolique Ut sit datée du 28 novembre 1982; les autres documents officiels du Saint-Siège qui en marquent l’importance, la portée et l’opportunité ont été publiés le 28.XI.1982 dans L’Osservatore Romano.
La Déclaration de la Sacrée Congrégation pour les évêques, signée par son Préfet, le card. Baggio et par son secrétaire, Mgr Moreira Neves, affirme que la décision pontificale « vise directement à favoriser l’activité apostolique de l’Eglise, car elle traduit en réalité pratique et opérationnelle un nouvel instrument pastoral, jusqu’alors seulement désiré et prévu dans le droit, et elle le réalise par une institution qui offre des garanties doctrinales, disciplinaires et de vigueur apostolique prouvés ».
Il s’agit, selon Mgr Costalunga, sous-secrétaire de la Congrégation, « d’un événement qui constitue une pierre milliaire du développement promu par le concile sur le plan doctrinal et juridique».
Lettres Apostoliques
Lettre apostolique de Jean-Paul II lors du Jubilé de l’an 2000 pour le troisième centenaire de l’union de l’Eglise Grecque-Catholique Roumaine avec l’Eglise de Rome.
Les Conférences épiscopales sont particulièrement utiles, voire nécessaires, dans le travail pastoral actuel de l’Église. On étudie leur ‘status’ théologique pour qu’en particulier la question de leur autorité doctrinale soit plus clairement et plus profondément explicitée». En réponse à ce vœu du Synode extraordinaire des évêques de 1985, le Motu Proprio de Jean-Paul II du 21 mai 1998, en la solennité de l’Ascension du Seigneur, vient statuer sur la question.
« Le Jour du Seigneur », Dies Domini, publiée le 31 mai 1998.
Le texte de la lettre apostolique de jean Paul II développe, en un plan soigneusement élaboré, cinq idées maîtresses concernant la signification symbolique de ce jour : Le dimanche, jour du Seigneur, rappelle en premier lieu l’oeuvre créatrice de Dieu ; Le dimanche est Dies Christi, car il évoque le matin de Pâques ; Le dimanche est Dies Ecclesiae, jour où l’Église se réunit plus particulièrement en assemblée, pour célébrer l’Eucharistie ; Le dimanche, Dies Hominis (jour de l’homme), est encore pour l’homme un jour de joie, de repos et de solidarité ; Le dimanche est enfin le Dies Dierum, le «jour des autres jours», une fête primordiale qui révèle le sens du temps. Le document se termine par un appel à tous les chrétiens à approfondir le sens spirituel du dimanche, pas seulement jour de repos, mais jour de culture et de spiritualité.
« Eucharistie et mission », tel est le titre du message de Jean-Paul II pour la Journée missionnaire mondiale 2004 qui a été instituée par le pape Pie XI et fixée au troisième dimanche d’octobre. Le message a été présenté à Rome le jeudi 29 avril, par le cardinal Crescenzio Sepe, préfet de la congrégation pour l’Evangélisation des Peuples, le P. Massimo Cenci, du P.I.M.E., sous-secrétaire, par le P. Fernando Galbiati, P.I.M.E., secrétaire général des Oeuvres pontificales missionnaires, et par le P. Tarcisio Agostoni, Missionnaire Combonien en Ouganda
Lettre de Jean Paul II aux femmes du 29 juin 1995.
Ce document est une réflexion sur les problèmes et les perspectives de la condition féminine en notre temps, s’arrêtant en particulier sur le thème essentiel de la dignité et des droits des femmes, vus à la lumière de la Parole de Dieu.
Le Jour de Pâques 1999, le Pape Jean-Paul II publiait une lettre adressée à tous ceux qui, avec un dévouement passionné, cherchent de nouvelles « épiphanies » de la beauté pour en faire don au monde dans la création artistique.
Il comportait un paragraphe intitulé : « Appel aux artistes ». L’appel du Pape à l’intention des artistes demeure toujours actuel. Il se réalise particulièrement aujourd’hui en permettant de nouveaux rapports entre les commandes de l’Eglise et la production des artistes, peintres, sculpteurs, architectes, restaurateurs, musiciens, poètes, dramaturges… La Lettre aux Artiste de Jean-Paul II du 4 avril 1999 (le texte officiel laisse aparaître des notes incomplètes, nous avons respecté le texte publié par le Vatican).
LITTERAE APOSTOLICAE « LAETAMUR MAGNOPERE ».
QUIBUS APPROBATUR ATQUE PROMULGATUR
LATINA CATECHISMI CATHOLICAE ECCLESIAE TYPICA EDITIO
IOANNES PAULUS II.
Lettre aux Familles de Jean Paul II du 20 mars 1994, lieu d’enjeux sociaux, éthiques et spirituels considérables, l’Eglise s’est associée à la démarche de l’ONU dans cette prise de conscience à l’occasion de l’année de la famille
«Agé moi aussi, j’ai ressenti le désir de dialoguer avec vous. »
Ces quelques mots disent bien la tonalité très personnelle de la Lettre du Pape Jean-Paul II aux personnes âgées, publiée par le Saint-Siège. Ce n’est pas la première fois que le Pape utilise ce registre épistolaire pour s’adresser à une catégorie de personnes de manière moins solennelle que dans une encyclique ou une lettre apostolique. On se souvient de sa récente lettre aux artistes et de celles qu’au cours des années de son pontificat il adressa aux jeunes, aux familles ou aux femmes. Mais celle-ci est plus particulièrement touchante car le Pape, au long de ce bref texte et, en particulier, dans sa conclusion (voir extrait ci-dessous), n’hésite pas à évoquer comment il vit lui-même cette expérience de la vieillesse. Cette lettre entend marquer l’année 1999 que l’ONU a dédiée aux personnes âgées en ce 1er octobre.
Jean-Paul II s’adressant aux responsables des communications sociales, le 24 janvier 2005, rappelle que l’Église n’est pas appelée seulement à utiliser les médias pour diffuser l’Évangile mais, aujourd’hui plus que jamais, à intégrer le message salvifique dans la ‘nouvelle culture’ que ces puissants instruments de la communication créent et amplifient.
Elle reconnaît que l’utilisation des techniques et des technologies de la communication contemporaine fait partie intégrante de sa mission spécifique dans le troisième millénaire. Stimulée par cette prise de conscience, la communauté chrétienne a fait des pas significatifs dans l’utilisation des instruments de communication pour l’information religieuse, pour l’évangélisation et la catéchèse, pour la formation d’agents pastoraux dans ce domaine et pour l’éducation à une utilisation responsable des usagers et des destinataires des différents instruments de la communication.
Lettre apostolique du souverain pontife Jean-Paul II sur la dignité et la vocation de la Femme, MULIERIS DIGNITATEM, publiée le 15 Août 1988.
Ecrite à l’occasion de l’année mariale, Jean-Paul II affirme dans le premier chapitre la dignité de l’être humain et rattache la dignité et le rôle des femmes « à la décision du Créateur selon laquelle l’être humain existe toujours et uniquement comme femme et comme homme. », binarité de genre qui est un prérequis pour parler de leur rôle, aussi bien dans l’Église que dans la société. Il propose dans cette lettre apostolique Marie (mère de Jésus) lors de l’Annonciation comme un prototype et modèle de la « femme parfaite », car lors de ce dialogue engageant son intellect puis ultérieurement son physique , « en Marie s’accomplissent, de la manière la plus sublime, toutes les possibilités de la femme ».
Reste avec nous, Seigneur », MANE NOBISCUM DOMINE, a été publié le 7 octobre 2004.
Le Préfet de la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des Sacrements a rappelé que le Saint-Père avait annoncé l’Année de l’Eucharistie pour toute l’Eglise lors d’une Messe à St.Jean-du-Latran le 10 juin 2004, en la Solennité du Corpus Domini. Qualifiant cette lettre de 30 pages de « très belle et incisive », le Cardinal Francis Arinze a précisé qu’elle « aiderait l’Eglise a célébrer cette année spéciale en donnant le plus de fruits possible. L’Année de l’Eucharistie – a ajouté le Cardinal – verra l’Eglise particulièrement engagée à vivre le mystère de l’Eucharistie. Jésus marche toujours à nos cotés et nous initie aux Mystères de Dieu, nous ouvrant au sens profond de l’Ecriture. Au sommet de cette rencontre, Jésus rompt ‘le pain de la vie’ pour nous.
Cette lettre Apostolique, « A l’aube du nouveau millénaire », Novo Millennio Ineunte, publiée le 6 Janvier 2001 par Jean-Paul II, est appelée à éclairer tout le troisième millénaire.
Elle est traversée par la dynamique du don. En un mot, le don appelle le don. En effet, elle fait d’abord mémoire du don reçu pendant le Jubilé (chap. 1). Puis le pape invite à s’enraciner dans le Christ (chap. 2). Enfin, il invite à mettre en oeuvre un « programme pastoral post-jubilaire … efficace » (n. 15) (chap. 3).
EPISTULA APOSTOLICA « OPEROSAM DIEM » – SANCTI AMBROSII EPISCOPI ATQUE ECCLESIAE DOCTORIS.
Apostolic Exhortation Redemptionis donum
Pope John Paul II
To Men and Women Religious
March 25, 1984
« Le Rosaire de la Vierge Marie », Rosarium Virginis Mariae, est une lettre apostolique de Jean-Paul II publiée le 16 Octobre 2002 où le pape décréte une année du Rosaire (n°3).
Elle vise à se souvenir du caractère christologique et contemplatif de cette prière et rappelle son utilité pour l’Église après le concile Vatican II. Le rosaire y est décrit comme un résumé de l’évangile, une façon de supplier et d’annoncer le Christ avec Marie. Il est rappelé que Léon XIII et Paul VI avaient exhorté à sa récitation dans leurs encycliques « Supremi apostolatus officio » et « Marialis Cultus ». Les mystères joyeux, douloureux et glorieux du rosaire sont décrits comme étant une excellente façon d’intégrer le mystère du Christ à la vie spirituelle. C’est au no 19 que le pape propose la méditation d’une nouvelle série de mystères : les mystères lumineux, afin de permettre au rosaire d’être pleinement centré sur le Christ. Le silence, l’écoute de la parole, le Notre Père, les ave Maria, le Gloria et l’oraison jaculatoire constituent les éléments-clés de cette forme de spiritualité. Le Saint-Père le recommande pour la paix, la famille et les enfants.
Quatrième lettre encyclique du Pape Jean-Paul II, « Les Apôtres des Slaves », publiée le 2 juin 1985, commémorant le onzième centenaire de l’oeuvre évangélisatrice des Saints Cyrille et Méthode.
Dans l’introduction, le pape Jean-Paul rappelle et développe sa lettre apostolique Egregiae virtutis (1980), dans laquelle il a nommé les frères-saints co-patrons de l’Europe avec saint Benoît, ainsi que les lettres de ses prédécesseurs. Dans une note personnelle, Jean-Paul reconnaît qu’il se sentait « une obligation particulière » de rendre hommage à Cyrille et Méthode, étant « le premier pape appelé au Siège de Pierre de Pologne, et donc du milieu des nations slaves ».
Sacrae Disciplinae Leges est une constitution apostolique donnée par le pape Jean-Paul II le 25 janvier 1983.
Cette constitution modifie le Code de droit canonique de 1917, pour instituer le Code de droit canonique de 1983 propre à l’Église catholique latine. La constitution a été promulguée un 25 janvier en souvenir du pape Jean XXIII qui le même jour en 1959 avait exprimé le désir de réformer le code de droit canon de 19171. Dans ce texte, Jean-Paul II précise que le nouveau code aura force légale à partir du premier dimanche de l’Avent 1983.
Le 11 février 1984, le Pape Jean-Paul II a publié « Soulagement de la douleur », Salvifici doloris, lettre apostolique sur le sens de la souffrance humaine.
Cette date a été choisie parce qu’elle correspond au jour de la célébration liturgique de Notre-Dame de Lourdes. A travers le mystère pascal du Fils de Dieu livré sur la croix pour sauver le monde, l’Église contemple la souffrance dans son sens fondamental et définitif. Le sommet absolu de la souffrance, la perte de la vie éternelle, a ses racines dans le mal et le péché, dont le Christ a triomphé, nous arrachant avec lui à la mort. Désormais, l’espérance du salut éclaire toute souffrance.
« L’Esprit et l’Epouse », SPRIRITUS ET SPONSA, cette lettre apostolique a été publiée le 4 Décembre 2003.
À l’occasion du 40e anniversaire de la Constitution Sacrosanctum Concilium, Jean-Paul II montre combien la liturgie importe à l’Église et combien elle est son coeur vivant. Il indique les changements qui ont eu lieu dans l’Église catholique dans le domaine de la liturgie dans les 40 ans suivant l’adoption de la Constitution, ainsi que sur des questions qui se sont révélées particulièrement importantes à l’époque (festival du dimanche, soins pastoraux liturgiques). Il insiste également beaucoup sur le silence. Cette lettre propose aussi d’introduire les fidèles à la célébration de la liturgie des heures, la prière de toute l’Église.
Lettre apostolique « A l’aube du troisième millénaire », TERTIO MILLENNIO ADVENIENTE, du 10 Novembre 1994 afin de préparer le passage au IIIe millénaire.
Le pape souhaite (§ 33) que l’Église soit clairement consciente de ce qu’elle a vécu derrière elle au cours de ces dix derniers siècles, incitant ses fils à se purifier, dans la repentance, des erreurs, des infidélités, des incohérences, des lenteurs. Il appelle à la conversion (§ 34) et ajoute (§ 42) que tout devra être orienté vers l’objectif prioritaire du Jubilé qui est le renforcement de la foi et du témoignage des chrétiens.
Exhortations Apostoliques
Les fidèles Laïcs, Christifideles Laici est paru le 30 décembre 1988.
Jean Paul II y confirme les tendances du concile Vatican II en faveur d’une participation des laïcs. Tous, dans l’Eglise, sont égaux en dignité, co-responsables de la vie de l’Eglise pour sa mission . Cinq parties la composent : 1. je suis la vigne, vous êtes les sarments, 2. tous sarments de l’unique vigne, 3. je vous ai établis pour que vous alliez et que vous portiez du fruit, 4. les ouvriers de la vigne du Seigneur, 5. Pour que vous portiez du fruit. L’encyclique se termine sur une prière de Jean Paul II à Marie Vierge très sainte. Dans la ligne de Vatican II, cette exhortation apostolique adressée aux fidèles du christ se rapporte aux textes principaux que sont Lumen Gentium et Gaudium et Spes.
Exhortation apostolique sur la Catéchèse en notre temps parue le 16 octobre 1979. Elle reprend pour l’essentiel les considérations du Pape Paul VI qui l’avait préparée, en utilisant largement les documents laissés par le Synode. Le Pape Jean-Paul Ier – dont le zèle et les dons de catéchiste n’étaient plus à démontrer – l’avait recueillie et s’apprêtait à la publier lorsqu’il fut brusquement rappelé à Dieu. Jean Paul II reprend donc l’héritage de ces deux Pontifes pour répondre à la demande des Evêques formulée expressément à l’issue de la IVe Assemblée générale du Synode. Il s’agit donc d’un document qui Assure une continuité certaine entre trois Pontificat
L’Église en Europe, Ecclesia In Europa, a été publiée le 28 juin 2003.
Elle conclue une impressionnante série de synode continentaux. C’est une heureuse surprise. D’abord parce que le premier synode pour l’Europe, convoqué à la hâte, en 1991, « au lendemain de la chute des murs », n’avait pas été prolongé par un texte conclusif. Ensuite parce que le second synode européen, tenu en 1999, avait abouti, dans une ambiance fort cordiale, à des Propositions si consensuelles qu’on pouvait s’interroger sur la possibilité d’en voir surgir un document mémorable – le temps qui sépare la fin de ce Synode de la promulgation d’Ecclesia in Europa est d’ailleurs anormalement long. Mais ce que l’Église catholique avait pu faire pour l’Afrique, pour l’Amérique, pour l’Asie et l’Océanie, avec des synodes continentaux suivis d’une exhortation (Ecclesia in Africa, America, Asia, Oceania), ne le pouvait-elle pour la seule Europe ? C’est un véritable plan de ré-évangélisation de l’Europe que propose Jean-Paul II en conclusion de ce fructueux synode des évêques européens. Effectivement, l’Église peut s’inquiéter car les vocations manquent, la vie est bafouée (en particulier la vie à naître), de pseudo-religiosités se développent, etc. Pourtant notre espérance doit être grande et nous devons transmettre le Christ dès que l’occasion nous en est donnée, en étant des exemples dans nos vocations propres, en semant l’amour, la charité et la miséricorde du Christ, en vivant dans la prière et les sacrements. Jean-Paul II confie cette mission à la bienveillance de Marie.
L’exhortation « L’Église en Amérique », ECCLESIA IN AMERICA, fait suite à l’Assemblée spéciale pour l’Amérique du Synode des évêques, qui s’est réunie au Vatican du 16 novembre au 12 décembre 1997. Elle a été publié le 27 janvier 1999, à l’occasion du 5e centenaire des premières évangélisations du continent américain. Jean-Paul II exhorte ses habitants à évangéliser sans cesse.
Ce message qui concerne spécifiquement les deux parties du continent américain est un appel à moins de violence, une dénonciation du non-respect de la planète (la déforestation massive à des fins économiques), une dénonciation aussi des cartels de la drogue, de l’abandon de populations importantes la frontière des villes et de la paupérisation massive. Jean-Paul II souhaite que les chrétiens se tournent vers le prochain par la prière et par l’action en évitant de sombrer dans l’idéologie
Exhortation apostolique du saint Père Jean-Paul II sur « l’Eglise en Afrique », ECCLESIA IN AFRICA, et sa mission évangélisatrice, publiée le 14 septembre 1995.
Le pape Jean-Paul II convoqua une Assemblée des évêques afin d’évaluer sa mission face aux grands défis qu’affrontait le continent africain. L’injustice et les inégalités avaient apporté à la majorité du peuple africain une situation de misère, en deçà du niveau acceptable. Le synode des évêques, dans ses objectifs et son déploiement, s’est orienté vers le respect de la charte des droits de l’homme et des peuples, pour laquelle l’Église continue encore à jouer son rôle prophétique de « voix des sans-voix ». Le Synode voulait, par-là, redonner à l’Église sa véritable place, « au milieu du village », afin qu’elle travaille au service de la paix, de la justice et de la réconciliation.
« L’Eglise en Asie », Ecclesia in Asia, est une exhortation apostolique émise par le pape Jean-Paul II pour servir de modèle pour l’expansion de la foi catholique romaine en Asie.
Il résume les idées et les conclusions du Synode spécial asiatique tenu à Rome du 18 avril au 14 mai 1998. Il a été officiellement promulgué par Jean-Paul II à New Delhi, en Inde , le 6 novembre 1999. Le document déclare que « tout comme au premier millénaire la croix a été plantée sur le sol de l’Europe, et au second sur celle des Amériques et de l’Afrique, nous pouvons prier pour qu’au troisième millénaire chrétien une grande moisson de foi soit récoltée. dans ce vaste et vital continent asiatique ».
L´Exhortation apostolique post-synodale « L’Eglise en Océanie », Ecclesia in Oceania, publiée Le 22 novembre 2001, dans la Sala Clementina du Vatican.
Le pape, en cliquant sur un clavier d’ordinateur, a envoyé le texte de l’exhortation post-synodale à toutes les Églises d’Océanie via Internet. Il indique clairement que le document est relié à la série des documents pontificaux, en utilisant la même formule qui concluait les assemblées synodales des différents continents réunies par le Saint-Père en préparation du Troisième millénaire dans Tertio millennio adveniente 38. Pendant sa célébration (22 novembre – 12 décembre 1998), l´Assemblée spéciale du Synode des Evêques pour l´Océanie avait « analysé et discuté la situation actuelle de l´Eglise en Océanie afin de programmer plus efficacement l´avenir et de concentrer l´attention de l´Eglise universelle sur les espoirs et les défis, les besoins et les opportunités, les peines et les joies de l´immense tapisserie qu´est l´Océanie ».
La structure du document, caractérisée par un aspect réaliste mais positif, certains points particuliers sont présentés, tels que l’inculturation de la foi, la demande publique de pardon envers les aborigènes d’Australie, la condamnation de certains abus sexuels commis par des prêtres et Religieux. Il s’attarde également sur les grands défis posés à la mission évangélisatrice de l’Église en Océanie: renouvellement de la catéchèse, relation avec les religions traditionnelles et avec les groupes de fondamentalistes, dialogue oecuménique et interreligieux.
Tâches de la famille chrétienne dans le monde d’aujourd’hui, Familiaris Consortionis est paru le 22 novembre 1981.
Il s’agit de la conclusion de travaux d’un synode des évêques tenu à Rome du 26/09 au 25/10/1980 (ne pas confondre avec la Lettre aux familles (LF) parue au moment de l’année de la famille en 1994). Jean Paul II tente de répondre aux questions, sur un point pourtant le pape a pris ses distances par rapport à l’opinion défendue par un grand nombre de père du synode et de conférences épiscopales au sujet de la contraception. Pour répondre aux voeux des pères et se conformant au plan du document de base, le pape, avant d’envisager les situations concrètes et les cas particuliers, se propose donc de présenter la conception chrétienne du mariage. Il se situe lui même dans la perspective globale de la vie chrétienne, le mariage n’étant qu’une des formes de réalisation de notre vocation d’enfants de Dieu.
Exhortation apostolique post-synodale du pape Jean-Paul II sur le Liban.
« Le 12 juin 1991, j’avais annoncé la convocation de l’Assemblée spéciale pour le Liban du Synode des Evêques. Après de nombreuses étapes de réflexion et de partage au sein de l’Eglise catholique au Liban, elle s’est réunie en novembre et décembre 1995. Aujourd’hui, je suis venu chez vous pour célébrer solennellement la phase conclusive de l’Assemblée synodale. J’apporte aux catholiques, aux chrétiens des autres Eglises et Communautés ecclésiales, et à tous les hommes de bonne volonté, les fruits des travaux des évêques, enrichis par des dialogues cordiaux avec les délégués fraternels: l’Exhortation apostolique post-synodale Une espérance nouvelle pour le Liban. Ce document, que je signerai ce soir en présence des jeunes, n’est pas une conclusion ni un point final à la démarche entreprise. Bien au contraire, il est une invitation à tous les Libanais, pour qu’ils ouvrent avec confiance une page nouvelle de leur histoire. Il est la contribution de l’Eglise universelle à une plus grande unité dans l’Eglise catholique au Liban, au dépassement des divisions entre les différentes Eglises et au développement du pays, auquel tous les Libanais sont appelés à participer » (JP II Collège Notre-Dame de Jamhour, LIBAN 10 mai 1997)
L’exhortation apostolique post-synodale, « Je te donnerai des bergers », (Pastores dabo vobis), est un message adressé par Jean-Paul II au « coeur » de tous les fidèles, en particulier aux prêtres et à tous ceux qui sont engagés dans le ministère de leur formation.
Elle est aussi une somme doctrinale, spirituelle et pastorale : elle présente le ministère et la vie des prêtres dans l’Eglise qui évangélise notre monde et elle propose des orientations fondamentales pour la formation initiale et permanente des prêtres.
En présentant le fruit des travaux de la dixième Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques, « LES BERGERS DU TROUPEAU », PASTORES GREGISl du 16 Octobre 2003, le pape Jean-Paul II affirme » qu’aux évêques du troisième millénaire il est demandé de faire ce que tant de saints évêques surent faire tout au long de l’histoire « .
Et de citer l’exemple de saint Basile » qui voulut construire, aux portes de Césarée, une vaste structure d’accueil pour ceux qui étaient dans le besoin, une véritable citadelle de la charité « . La conclusion va de soi : » La charité des oeuvres donne une force incomparable à la charité des mots. » Tel est le chemin que les évêques doivent parcourir à leur tour. » Le Bon Pasteur a confié son troupeau à chaque évêque, pour qu’il le nourrisse par la parole et qu’il le forme par l’exemple. » Pour accomplir sa mission, l’évêque dispose de nombreuses ressources, à commencer par la charité, répandue dans nos cœurs par l’Esprit Saint qui nous a été donné, selon les mots mêmes de saint Paul (Rm 5,5). Mais il y aussi la fraternité des autres évêques, de tous ceux qui, comme lui, ont reçu la charge d’une Église particulière. C’est à la lumière de cette fraternité épiscopale que le lien avec l’évêque de Rome prend tout son sens. Enfin, il y ceux-là mêmes qui sont confiés à l’évêque : pour eux, il est évêque, mais avec eux, il est chrétien. Dans son ministère, l’évêque doit pouvoir compter sur tous. Le diocèse est le premier lieu de la communion fraternelle dont participe et se nourrit le ministère épiscopal.
Adressé en premier lieu aux évêques, ce texte spirituel, énergique, plein d’élan missionnaire et de chaleur fraternelle, intéressera tous ceux et celles qui veulent mieux cerner la place et le rôle de l’évêque dans l’Église.
Gardien du Rédempteur, Redemptoris Custos, l’exhortation apostolique du pape Jean-Paul II sur Saint-Joseph. Elle a été prononcé le 15 août 1989 dans la basilique Saint-Pierre à Rome à l’occasion du centenaire de l’encyclique Quamquam du pape Léon XIII.
Il examine l’importance de Saint-Joseph dans la Sainte Famille, et présente le point de vue du pape sur le rôle de saint Joseph dans le plan de rédemption. Jean-Paul II présente Joseph comme rompant l’ancien vice de la domination familiale paternelle, et le suggère comme le modèle d’un père aimant. Sa «manière humble et sage de servir et de participer à l’économie du salut» désigne Joseph de Nazareth comme un maître pour tous les chrétiens à la veille du troisième millénaire. Ce document de 45 pages, comporte six chapitres.
Le don de la Rédemption, Redemptionis Donum, a été rédigé à la seule initiative du Pape. Ce document parle de consécration religieuse à la lumière du mystère de la Rédemption.
Jean-Paul II l’a signée le 25 mars 1984, en la solennité de l’Annonciation tombant dans le calendrier liturgique de l’Église catholique. Après le Concile Vatican II, il y a eu une crise du nombre de vocations pour les ordres religieux. De nombreux religieux et religieuses ont quitté leurs monastères. L’exhortation était une tentative d’introduire l’idéal de la vie consacrée. Il met en lumière la théologie, la spiritualité et la dimension apostolique de la vie religieuse. Le Pape a présenté la vie religieuse dans ses dimensions trinitaire, pascale et eschatologique.
Réconciliation et Repentance, RECONCILIATIO ET PAENITENTIA, vient à la suite du synode des évêques tenu l’année précédente sur le thème : la pénitence et la réconciliation dans la mission de l’Église.
Le document ne conclut pas seulement les travaux d’un synode. Il est le point d’aboutissement de quelque vingt années de recherche doctrinale et pastorale sur le sacrement de pénitence. Il trace d’un trait ferme les orientations qui, dans les années à venir, marqueront profondément la mise en oeuvre du nouveau Rituel de la réconciliation, promulgué à Rome en 1974.
Cette exhortation apostolique sur « la vie consacrée », VITA CONSECRATA, fut rendue publique le 28 mars 1996.
L’avenir de l’Eglise passe par ceux qui consacrent leur vie au Christ à travers une vocation monacale ou contemplative, apostolique, diaconale ou sacerdotale. Jean-Paul II montre combien il est important pour le monde que des hommes et des femmes se consacrent entièrement au Christ, important pour le monde que certains choisissent de vivre à l’image du Christ (en étant pauvres, chastes et humbles), important d’avoir des gens vivant dans la contemplation pour porter le monde. L’avenir de l’humanité est dans ces mains.
Encycliques
Pour une société Digne de l’homme, à l’occasion du centenaire de l’encyclique Rerum Novarum, Centissimus Annus est paru le 1er mai 1991. Il s’agit d’une relecture de l’encyclique de Léon XIII (15 mai 1891).
Parmi les divers questions soulevées on peut retenir :
L’esprit saint dans la vie de l’Eglise et du monde, « Dominum et vivificantem », est paru le 18 mai 1986.
Jean Paul II veut méditer sur la personne du Saint Esprit. Il part donc du message de Jésus qui, au cours du dernier repas, promet l’Esprit. Trois parties : 1. l’esprit du Père et du Fils donné à l’Eglise, 2. l’Esprit qui met en lumière le péché du monde, 3. l’Esprit qui donne la vie. Elle clôt une série de trois encycliques sur les trois personnes de la Trinité : Redemptor Hominis sur le Fils en 1979 et Dives in Misericordia sur le Père en 1980.
Dieu riche en miséricorde, Dives in Misericordia, encyclique de Jean Paul II du 30 novembre 1980.
Jean Paul II veut provoquer le sursaut de la tendresse dans notre monde. L’encyclique propose par vague successives, une longue méditation sur la miséricorde divine.
Elle s’organise autour d’une double perspective : 1. le Christ révèle à l’homme la miséricorde du Père (chap. 2-5) ; 2. là se trouve le principe d’une réponse aux inquiétudes de l’homme moderne (chap. 6-8). Le chap. 4 offre une exégèse de Lc 15 ou parabole du prodigue en laquelle tout homme est invité à retrouver une attitude fondamentale de Dieu en attente de l’homme. On trouvera en fin de document deux notes importantes sur la Hesed et rah a min dans l’Ancien Testament.
L’Église vit de l’Eucharistie, Ecclesia de Eucharistia, est la quatorzième et dernière encyclique publiée par Jean-Paul II, le 17 avril 2003, sur l’Eucharistie et son rapport à l’Église.
Elle a été publiée le jour du jeudi saint qui est la fête de l’institution de l’Eucharistie et du sacerdoce. L’encyclique a pris la place d’une lettre que le pape envoie traditionnellement à chaque prêtre à l’occasion de cette solennité. Elle s’inscrit également dans la volonté du pape de laisser un « héritage » du Jubilé de l’an 2000, et vient ainsi compléter les lettres apostoliques Novo millennio ineunte et Rosarium Virginis Mariae1. Elle rappelle avec force les éléments essentiels de la foi catholique concernant l’eucharistie : la réactualisation du sacrifice rédempteur du Christ, la présence réelle de celui-ci dans le sacrement, le rôle du prêtre, ministre de l’eucharistie et l’impact de l’eucharistie sur la vie chrétienne.
L’évangile de la vie, Evangelium Vitae, paru le 25 mars 1995.
Jean Paul II part de la naissance de Jésus, déclaré comme message de Bonne nouvelle, pour dire que les aspects et les moments de la vie de l’homme acquièrent tous leur pleine signification en Jésus Christ. L’homme est appelé à une plénitude de vie qui va bien au-delà des dimensions de son existence sur terre. La profondeur de cette vocation surnaturelle révèle la grandeur et le prix de la vie humaine. En scrutant le mystère de la Rédemption, l’Eglise reçoit cette valeur avec un étonnement toujours renouvelé. Elle se sent appelée à annoncer aux hommes de tous les temps cet évangile, source d’une espérance invincible et d’une joie véritable pour chaque époque et l’histoire.
Encyclique sur les relations entre foi et raison du Pape Jean Paul II du 14 septembre 1998.
Cette encyclique définit les relations entre la foi et la raison sur le plan de la philosophie chrétienne.
Le travail humain, Laborem Exercens, est paru le 14 septembre 1981.
Jean Paul II, à l’occasion du 90ème anniversaire de Rerum Novarum, rappelle que le travail est fait pour l’homme et non l’homme pour le travail (relecture de Gn 2), que le capital est pour travail et non le travail pour le capital et qu’il existe, ou doit exister, des solidarités historiques et une spiritualité du travail.
Le Rédempteur de l’homme, Redemptor Hominis, lettre encyclique de Jean Paul II du 4 mars 1979.
Première encyclique de Jean Paul II qui reflète sa perception du Mystère de la Rédemption dans le Christ Jésus et la dignité de l’homme. Quatre parties composent cette réflexion : 1. Héritage, 2. le Mystère de la Rédemption, 3. l’homme racheté et sa situation dans le monde contemporain, 4. la mission de l’Eglise et le destin de l’homme. Deux grandes lignes se dégagent de la lecture : le Rédempteur de l’homme, Jésus Christ, est le centre du cosmos et de l’histoire ; par le Christ, l’homme a acquis une pleine conscience de sa dignité, de la valeur transcendante de l’humanité, du sens de son existence.
Cette encyclique consacrée à la mère du Rédempteur a vu le jour le 25 mars 1987, précédent de peu l’ouverture de l’Année mariale (7 juin 1987 – 15 août 1988).
Elle s’appuie solidement sur les écritures et le Concile Vatican II, spécialement la constitution Lumen Gentium, dont le seul chapitre huit est cité soixante et onze fois. Son ouverture œcuménique est sensible dès le point de départ.
L’encyclique La Mission du Rédempteur, Redemptoris Missio, signée par le Pape le 7 décembre 1990 pour le XXVe anniversaire du décret du concile Vatican II Ad Gentes, sur l’activité missionnaire de l’Église, est construite sur le même modèle que Redemptor hominis.
Pour faire évoluer notre religion traditionnelle, de son dogme, de ses sacrements, de sa loi morale et de ses rites sacrés, pleins de sainteté et de vitalité, sans toutefois en rien perdre ! A la nouvelle religion de sa création, Jean-Paul II avance selon ses maîtres germaniques, Kant, Feuerbach, Hegel et Marx, par thèse, antithèse dialectique et synthèse. Durant ses huit chapitres, la juxtaposition continuelle de notre religion et de la religion postconciliaire, en contradiction irréductible de thèse et d’antithèse, nous donnera le tournis. Cependant, pour ceux qui en feront l’effort, la synthèse existentielle de toutes ces contradictions fera apparaître enfin une vision fascinante d’une religion mondialiste unifiée.
Quatrième lettre encyclique du Pape Jean-Paul II, « Les Apôtres des Slaves », publiée le 2 juin 1985, commémorant le onzième centenaire de l’oeuvre évangélisatrice des Saints Cyrille et Méthode.
Dans l’introduction, le pape Jean-Paul rappelle et développe sa lettre apostolique Egregiae virtutis (1980), dans laquelle il a nommé les frères-saints co-patrons de l’Europe avec saint Benoît, ainsi que les lettres de ses prédécesseurs. Dans une note personnelle, Jean-Paul reconnaît qu’il se sentait « une obligation particulière » de rendre hommage à Cyrille et Méthode, étant « le premier pape appelé au Siège de Pierre de Pologne, et donc du milieu des nations slaves ».
À l’occasion du vingtième anniversaire de l’encyclique Populorum progressio, le pape Jean-Paul II, consacre une encyclique sur LA PROTECTION SOCIALE, Sollicitudo Rei Socialis.
Les thèmes ont deux objectifs : rendre hommage au document historique de Paul VI et réaffirmer la continuité de la doctrine sociale de l’Église catholique en même temps que son renouvellement continuel.
Qu’ils soient un, Ut unum sint, est une encyclique du pape Jean-Paul II publiée le 25 mai 1995 dont le titre rappelle la prière de Jésus dans l’Évangile selon Jean (17,21-22).
Ce texte traite des relations de l’Église catholique romaine avec l’Église orthodoxe et les autres communautés chrétiennes et est devenu une des bases du dialogue oecuménique. Il s’agit d’ailleurs de la première encyclique consacrée à ce thème. Le document comprend 3 grandes parties : I. l’engagement oecuménique ; II. les fruits d’un dialogue ; III. comment poursuivre.
La splendeur de la vérité, Veritatis Splendor, est paru le 6 août 1993.
Jean Paul II ne manque pas de heurter de front la mentalité de beaucoup de nos contemporains. Il suffit pour s’en rendre compte de recenser quelques concepts clés de l’encyclique : vérité, absoluité, radicalité, mal intrinsèque, immutabilité, universalité, loi naturelle, obéissance. La deuxième partie du document est particulièrement ardue pour qui n’est pas au courant des problématiques contemporaines de la théologie morale.
Trois parties : I. biblique, commentaire du récit évangélique du jeune homme riche (Mt 19) ; II. discussion de positions de théologie morale jugées déviantes que l’on rencontre dans la production internationale ; III. où conduit une éthique qui se laisse informer par la splendeur de la vérité.
Collection des Insegnamenti
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1978.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1979.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1980.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1981.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1982.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1983.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1984.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1985.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1986.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1987.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel anno 1988.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1989.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1990.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1991.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1992.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1993.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1994.
Insegnamenti del Santo Padre Giovanni Paulo II nel annno 1995.
Catequesis de Juan Pablo II, fuente www.vatican.va.
Catequesis sobre Teología del cuerpo
Catequesis sobre el Padre
Catequesis sobre El Espíritu Santo
Catequesis sobre Jesucristo
Catéchèses du pape Jean-Paul II : le mercredi matin, le pape donne, au cours de l’audience générale, une catéchèse.
Depuis le 13 Septembre 1978 jusqu’au 30 Mars 2005, Jean-Paul II a abordé les thèmes ci-dessous :
Benoit XVI
Mardi 12 septembre 2006, à Ratisbonne
Conférence du Pape Benoît XVI sur le thème de Foi et Raison, partant d’une rencontre entre Manuel II Paléologue et un savant persan musulman en 1391.
Benoît XVI, discours du 19 octobre 2006.
aux participants au IV Congrès ecclésial italien organisé à Vérone.
Le voyage apostolique du pape Benoît XVI au Bénin avait un triple objectif : remettre l’exhortation apostolique, « Le Rôle de L’Afrique », AFRICAE MUNUS, signée le 19 novembre 2011; fêter le 150ème anniversaire de l’évangélisation du Bénin ; rendre hommage au cardinal Gantin. Le texte se situe dans la continuité d’« Ecclesia in Africa » de 1995. Il fait preuve d’une grande fidélité aux propositions des Pères synodaux (Synode spécial des évêques sur l’Eglise en Afrique au service de la réconciliation du 4 au 25 octobre 2009). Les 57 propositions sont prises en compte avec beaucoup de sérieux. Benoît XVI respecte vraiment la démarche synodale. Ce qui est frappant aussi, c’est l’hommage rendu aux catéchistes dont la place est prépondérante dans l’Eglise africaine – leurs familles doivent être des modèles – et à l’ensemble des laïcs – ils ont à s’engager dans l’avenir de l’Afrique, y compris au plan social et politique, d’où l’importance d’un autre élément qui traverse « Africae Munus », c’est son renvoi à la Doctrine sociale de l’Eglise, à connaître davantage et à vivre. Cela impacte la formation, initiale et permanente, et l’accompagnement pastoral en général
Premier Document :
Deuxième document (à partir du §50) :
Prenant la suite de Jean-Paul II, Benoit XVI a initié les JMJ de 2006 à 2013. Voici la compilation des messages aux jeunes pour cette occasion
Catéchèses du pape Benoît XVI :
le mercredi matin, le pape donne, au cours de l’audience générale, une catéchèse. Le Pape Benoît XVI a abordé les thèmes ci-dessous :
« L’amour dans la vérité », CARITAS IN VERITATE, est le titre de la troisième encyclique du pape Benoît XVI du 29 juin 2009. Venant après les deux premières encycliques « Deus Caritas Est » et « Spe Salvi », elle est la première encyclique sociale du pape. La dernière encyclique sociale remonte à 1991 avec « Centesimus annus » de Jean-Paul II. Initialement annoncée pour le 1er mai 2008, le jour de la fête de saint Joseph, saint patron des travailleurs, sa publication a été plusieurs fois reportée. Finalement signée le jour de la fête des saints apôtres Pierre et Paul, elle a été publiée le 7 juillet. Ce report est lié à la crise financière, qui semble avoir poussé le pape « à agir ainsi et, peut-être, à retravailler et à infléchir le texte lui-même. Cette encyclique, la première depuis 18 ans dans ce domaine, intervient en effet à un moment clé de l’évolution sociale mondiale ».
Parmi les grands changements intervenus au niveau mondial depuis Centesimus annus et qui justifiaient un nouveau document majeur du Magistère sur sa pensée sociale :
Benoît XVI a assuré lors de l’angélus du lundi 29 juin 2009, que ce document serait « une nouvelle contribution de l’Église destinée à l’humanité dans ses efforts pour un développement durable dans le plein respect de la dignité humaine et des exigences réelles de tous ». Selon les propos du cardinal Tarcisio Bertone, « le pape ne veut pas répéter des lieux communs de la doctrine sociale de l’Eglise, mais veut apporter quelques éléments originaux, conformément aux défis de l’époque ».
Lettre encyclique « Deus Caritas est » du pape Benoît XVI – 25 décembre 2005
Benoît XVI a résumé en deux phrases, vendredi soir, dans le sanctuaire de Notre-Dame de Harissa, dans la montagne libanaise, le sens de l’exhortation apostolique « L’Église au Moyen-Orient », ECCLESIA IN MEDIO ORIENTE (élaboré par Benoît XVI sur la base des 44 Propositions finales du Synode spécial pour le Moyen-Orient qui s’est déroulé au Vatican du 10 au 26 octobre 2010), qu’il est spécialement venu signer, en ce vendredi 14 septembre 2012, avant de la présenter, dimanche, à toutes les Eglises du Moyen-Orient : «cultiver la pureté de la foi» et «retrouver l’essentiel». Le reste, selon lui, semble secondaire. Les chrétiens du Moyen-Orient, pour «discriminés» qu’ils soient, ou «souvent empêchés» de vivre leur foi, doivent, a-t-il insisté, «dépouiller la foi de ce qui l’enlaidit, de tout ce qui peut obscurcir la splendeur de la lumière du Christ». Coeur de son voyage au Liban, cette exhortation apostolique est un document de 92 pages intitulé «Eglise au Moyen-Orient», qu’il a rédigé à partir des conclusions d’un synode qu’il avait spécialement convoqué à Rome, en octobre 2010, pour repenser la question de l’avenir incertain des chrétiens dans cette région du monde
Dans « Le Sacrement de Charité », SACRAMENTUM CARITATIS, du 13 février 2007, Benoît XVI reprend fidèlement les 50 propositions finales du Synode (la onzième session synodale des Evêques s’est tenue à Rome en octobre 2005), publiées exceptionnellement au terme des travaux des pères synodaux près d’un an et demi plus tôt. Sans surprise, il respecte ainsi la collégialité épiscopale sur laquelle se fonde le travail d’un synode convoqué par le pape. Cependant, la « patte » de Benoît XVI est en partie reconnaissable dans le développement théologique introductif et conclusif, dans le choix de mettre ce deuxième document majeur « en relation » avec son Encyclique sur l’amour divin, qualifiant ainsi l’eucharistie de « sacrement de l’amour » et de « signe authentique » de la présence du Christ dans un monde sécularisé. Tout en invitant à remettre en valeur certains acquis pré-conciliaires de la liturgie, Benoît XVI réaffirme dans cette Exhortation « l’influence bénéfique » de la réforme issue du Concile Vatican II (1962-1965). Il aborde aussi certaines questions délicates comme le manque de prêtres, l’accès à la communion des divorcés remariés ou la cohérence des politiciens catholiques. Sur ces différents sujets, le pape réaffirme l’enseignement de l’Eglise, confirmant le « caractère obligatoire » du célibat sacerdotal dans la tradition latine, rappelant l’impossibilité d’admettre aux sacrements les divorcés remariés et invitant les hommes politiques et les législateurs catholiques à « se sentir particulièrement interpellés par leur conscience ».
« Sauvés dans l’espérance », SPE SALVI, est la deuxième encyclique du pape Benoît XVI, publiée le 30 novembre 2007. Elle constitue une réflexion sur le thème de l’espérance chrétienne, prenant comme référence la Lettre de saint Paul aux Romains, « spe salvi facti sumus » (dans l’espérance nous avons été sauvés) (chapitre VIII verset 24). Cette encyclique fait partie d’une trilogie d’encycliques consacrée aux trois vertus théologales (Foi, Espérance et Charité) avec « Deus caritas est » (sur la charité) à laquelle elle fait suite, et « Lumen fidei » (sur la foi).
Benoît XVI a signé, le 30 septembre 2010, mémoire de saint Jérôme, l’Exhortation « La Parole de Dieu », VERBUM DOMINI. Selon l’expression du pape, ce thème est « en un certain sens, le coeur même de la vie chrétienne, en continuité avec (…) l’Eucharistie » (n°3). Il l’a choisi « pour une redécouverte, dans la vie de l’Église, de la Parole divine (…) qu’elle devienne toujours plus le cœur de toute activité ecclésiale » (n°1). « Il n’existe pas de priorité plus grande que celle-ci : ouvrir à nouveau à l’homme d’aujourd’hui l’accès à Dieu, au Dieu qui parle et qui nous communique son amour pour que nous ayons la vie en abondance. » (n°2). Les réflexions constituent une précision magistérielle notable quant à l’herméneutique de l’Ecriture sainte. Après avoir rappelé la dynamique de la pensée sur le sujet, les différentes dimensions de l’herméneutique de l’Ecriture sainte sont mises en évidence, la nature de la lecture de l’Écriture à la lumière de l’Esprit précisée et la nécessité pour les comprendre d’une saine articulation entre foi et raison réaffirmée
François
L’exhortation apostolique du Pape François sur la joie de l’Évangile, dont on célèbrera le 10e anniversaire de la publication le 24 novembre, a «promu un fort esprit missionnaire au sein de l’Église», assure Mgr Peter Soon-Taick Chung.
L’archevêque de Séoul note une implication croissante des prêtres, religieux et laïcs sud-coréens, dans le travail missionnaire à l’étranger. Le message adressé au symposium organisé par le dicastère pour le Service du développement humain intégral à l’occasion du 10e anniversaire d’Evangelii Gaudium, François réaffirme que la mission d’évangélisation et la vie chrétienne ne peuvent négliger les pauvres, car ce sont eux qui marquent le chemin de la rédemption.
Document du 28 novembre 2023 traduit de l’italien par le copiste.
Initiée en 1986 à l’initiative du pape Jean-Paul II, la Journée mondiale de la jeunesse avait d’abord lieu chaque dimanche des Rameaux. En 2021, le pape François a déplacé l’événement au dimanche de la fête du Christ-Roi, qui marque la fin de l’année liturgique. « Le Mystère de Jésus Christ Rédempteur de l’homme demeure au centre, comme l’a toujours souligné Saint Jean Paul II, initiateur et patron des JMJ », avait expliqué le Saint-Père, avant d’exhorter les jeunes à « criez par leur vie que le Christ vit et règne ». Le pape François poursuit le rytme des JMJ annuels avec un pèlerinage intercontinental tous les trois ans et ceci depuis 2014.
Al-Azhar et l’Eglise Catholique demandent que ce Document devienne objet de recherche et de réflexion dans toutes les écoles, dans les universités et dans les instituts d’éducation et de formation, afin de contribuer à créer de nouvelles générations qui portent le bien et la paix et défendent partout le droit des opprimés et des derniers. Document publié suite au voyage apostolique du Pape François du 3 au 5 février 2019 à Abou Dabi.
« La joie de l’amour », AMORIS LAETITIA, est une exhortation apostolique post-synodale du pape François datée du 19 mars 2016 et publiée le 8 avril 2016. Elle fait suite aux deux synodes sur la famille tenus respectivement en 2014 et en 2015. Amoris lætitia porte sur l’amour dans la famille. Cette exhortation examine la question de l’accompagnement des couples et des familles. Le document aborde également l’accompagnement des diverses situations familiales. Il s’agit du premier document papal recelant des exposés suivis sur les aspects de la vie conjugale. Il dessine « un paysage radicalement nouveau dans le champ de la théologie et de la pastorale catholique du couple et de la famille ».
Le 19 juin 1623 naissait Blaise Pascal. Mathématicien et physicien, il consacra sa vie à la recherche de Dieu, à rapprocher foi et raison dans le respect de la grandeur de la foi. Ce 19 juin, le Saint-Père lui rend hommage dans une lettre apostolique intitulée « Sublimitas et miseria hominis » (Grandeur et misère de l’homme), à l’occasion du quatrième centenaire de sa naissance. « Un infatigable chercheur de vérité », c’est ainsi que le Pape François définit Blaise Pascal, mathématicien, physicien, philosophe et théologien, au jour du 400e anniversaire de sa naissance, dans le centre de la France, au coeur de l’Auvergne et de ses volcans éteints. François lui consacre une lettre apostolique « Sublimitas et miseria hominis » et part de cette phrase du psaume 8 « Qu’est-ce que l’homme pour que tu te souviennes de lui, le fils de l’homme pour que tu prennes soin de lui ? ». Une question existentielle, au coeur de tout être humain, que Pascal se posait de cette manière « Qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout à l’égard du néant ». L’interrogation reflète chez le mathématicien, toujours ouvert à la réalité, une autre ouverture « aux dimensions du savoir et de l’existence, ouverture aux autres, ouverture à la société ».
Catéchèses du Pape François
Le mercredi matin, le pape donne, au cours de l’audience générale, une catéchèse.
Depuis le 3 Avril 2013 le Pape a abordé les thèmes ci-dessous :
Le message du Pape François pour la 54ème Journée mondiale de la paix célébrée le 1er janvier 2021 a été dévoilé jeudi 17 décembre; il a pour thème «La culture du soin comme parcours de paix».
Une culture du soin pour éliminer celle de l’indifférence, du rejet et de l’affrontement, souvent prédominante aujourd’hui, explique le Souverain pontife.
L’exhortation apostolique consacrée à sainte Thérèse de Lisieux intitulée « C’est la confiance » est parue dimanche 15 octobre 2023, à l’occasion du 150e anniversaire de la naissance de la sainte normande, mais aussi du centenaire de sa béatification.
En 27 pages en français, le Pape ausculte le génie spirituel et théologique de Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face. « Seule la confiance, et « rien d’autre », il n’y a pas d’autre chemin pour nous conduire à l’Amour qui donne tout ». La date de cette publication, mémoire de sainte Thérèse d’Avila, a pour but de présenter sainte Thérèse de l’Enfant Jésus « comme un fruit mûr de la réforme du Carmel et de la spiritualité de la grande sainte espagnole », explique le Souverain pontife en préambule, touché par « la lumière et l’amour extraordinaires » rayonnant de la jeune religieuse morte à 24 ans, patronne des missions, patronne de la France.
COP28, Discours du Pape à la convention des Nations Unis du 2 décembre 2023.
Créer des alliances pour le bien commun, tel est le coeur du message vidéo que François a envoyé à Dubaï pour exprimer son regret de ne pas être présent à la COP28. Dans cette vidéo, le Pape souligne également l’importance du « Pavillon de la foi », tout premier pavillon religieux créé dans le cadre d’une conférence des Nations unies sur le changement climatique. En raison de l’absence du Souverain pontife, le discours préparé pour son inauguration a à nouveau été confié au secrétaire d’État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin.
« Le Christ vit », CHRISTUS VIVIT, du pape François a été signée lundi 25 mars 2019 dans la Sainte Maison de Lorette et adressée «aux jeunes et à tout le peuple de Dieu».
Cette Exhortation fait suite au Synode des jeunes à Rome tenu du 3 au 28 octobre 2018. Elle donne des instructions aux jeunes et des considérations plus générales sur l’Église catholique. Ce document, composé d’environ soixante-dix pages, est divisé en 9 chapitres. Christus vivit ! Pour des femmes accourues au tombeau et(…) pour des pêcheurs galiléens, ce cri qui déchira la nuit en remplit plusieurs de perplexité. Mais il remplit aussi d’espérance le cœur de celles et ceux qui s’étaient attristés, ayant vu le prophète de Galilée arrêté comme un criminel, jugé comme un blasphémateur et un impie et crucifié au milieu des malfaiteurs. La résurrection, qui scellait le jugement de Dieu sur celui qui était passé en faisant le bien, renversait, à la manière du jugement en appel, le jugement des hommes prononcé en première instance.
Le 25 mars, en effet, commençait à Florence l’année selon le calcul ab Incarnatione. Cette date, proche de l’équinoxe de printemps, et située dans la perspective de Pâques, est associée à la création du monde et à la rédemption opérée par le Christ sur la croix, début d’une nouvelle création. Dans la lumière du verbe incarné, elle invite par conséquent à contempler le dessein d’amour qui est au coeur même de la source inspiratrice de l’oeuvre la plus célèbre du Poète, la Divine Comédie. Au dernier chant, l’Incarnation y est rappelée par saint Bernard en ces vers célèbres : « Dans ton ventre, l’amour s’est rallumé, / par la chaleur de qui, dans le calme éternel / cette fleur ainsi est éclose » (Par. XXXIII, 7-9). Déjà, dans le Purgatoire, Dante représentait la scène de l’Annonciation sculptée sur un relief de pierre.
La formation liturgique, qui figure dans le titre complet de la lettre du pape François : Lettre apostolique Desiderio desideravi du saint-Père François aux évêques, prêtres et diacres, aux personnes consacrées et fidèles laïcs sur la formation liturgique du Peuple de Dieu, en constitue le coeur, moins parce qu’elle en occupe la partie centrale que parce qu’elle est, semble-t-il à son origine dans les projets du pape.
En ce sens François reprend une des grandes intuitions de la Constitution de Vatican II sur la sainte Liturgie qui associe du numéro 14 au numéro 20 formation liturgique à participation active, faisant même de la mise en place de la première une condition nécessaire à l’obtention de la seconde.
Cependant François se distingue de ses lointains prédécesseurs conciliaires en insistant au moins autant à la formation par la liturgie qu’à la formation à la liturgie. C’est probablement en ce sens qu’il faut accueillir le long chapitre, conclusif, qu’il consacre à l’art de célébrer, un appel qui vaut autant pour les laïcs que pour les ministres ordonnés, même si le pape centre son propos sur l’art de présider.
« Communion Épiscopale », EPISCOPALIS COMMUNION, est une constitution apostolique donnée par le pape François le 15 septembre 2018 et publiée le 18 septembre suivant. Elle prend acte des différentes organisations utilisées lors des précédents synodes des évêques, et définit que son document final « participe au magistère ordinaire ». Une des principales caractéristiques de Episcopalis communio est selon le secrétaire du conseil du synode Fabio Fabene « d’écouter autant que possible la réalité et les gens », avec notamment l’organisation d’enquêtes préalables. Le document précise également le travail qui doit être réalisé après le synode et prévoit également la possibilité d’une réunion présynodale comme pour le Synode des évêques sur la jeunesse, la foi et le discernement vocationnel. Elle est présentée comme la suite logique de l’exhortation apostolique Evangelii gaudium, car le pape entend selon le cardinal Baldisseri « remodeler profondément toutes les structures ecclésiales, afin qu’elles deviennent plus missionnaires ». La constitution a été signée le 15 septembre par le pape François, cette date fait mémoire de la création en 1965 par le pape Paul VI du Synode des évêques selon le cardinal Baldisseri.
Remise officiellement dimanche 24 novembre 2013 par le pape à 36 représentants de l’Eglise catholique et publiée mardi 26, cette lettre « L’Evangile de la joie », EVANGELII GAUDIUM, est la première exhortation apostolique de François.
Elle vient clôturer officiellement l’Année de la foi qui avait été lancée par Benoît XVI le 11 octobre 2012. Elle touche différents sujets tels que l’obligation qu’ont les chrétiens envers les pauvres ainsi que leur devoir de maintenir un ordre économique, politique et légal juste. Elle appelle les disciples du Seigneur à témoigner de leur appartenance évangélisatrice de façon toujours nouvelle. À la différence des lettres d’exhortation apostolique des papes précédents, Evangelii gaudium n’est pas écrite dans un style académique, mais plutôt dans un langage facilement compréhensible.
En 2021, l’Eglise Catholique a décidé de promulguer une journée mondiale consacrée aux grands-parents et aux personnes âgées.
La date choisie, en juillet, le 4ème dimanche de juillet précisément, n’est pas le fruit du hasard puisqu’elle a été choisie juste avant la fête de Sainte Anne et Saint Joachim, qui sont les parents de la Vierge Marie et donc les grands parents du Christ. En 2021 “Je suis avec toi tous les jours” ; 2022 « Ils portent encore des fruits dans la vieillesse » ; 2023 « Sa miséricorde s’étend d’âge en âge ».
Cinq ans après « Laudato si' », le pontife argentin publie « Tous frères », FRATELLI TUTTI, le dimanche 4 octobre 2020, sa deuxième encyclique. C’est le jour de la fête de Saint François d’Assise qu’il signe cette lettre encyclique dont l’incipit est l’expression, en italien, tirée d’un écrit du Saint qui s’adressait « à tous ses frères et soeurs, pour leur proposer un mode de vie au goût de l’Évangile ».
C’est d’une « fraternité ouverte qui permet de reconnaître, de valoriser et d’aimer chaque personne » dont va nous entretenir le Pape au long des 216 pages. LAUDATO SI’, concernait la crise écologique, celle-ci est consacrée à « la fraternité et l’amitié sociale », que l’on peut décrire comme le premier grand texte pontifical sur la mondialisation. Comme Laudato si’, elle est adressée non seulement aux catholiques, mais « à toutes les personnes de bonne volonté ». L’une et l’autre sont placées sous le patronage de François d’Assise, le saint italien du XIIIe siècle qui s’est fait pauvre parmi les pauvres et dont Jorge Mario Bergoglio a emprunté le nom. Sur 90 pages, ce pape de l’ère globale livre le premier document magistériel de l’Eglise catholique sur cette grande mutation qui affecte toutes les dimensions de l’existence, collectives comme individuelles. Cet écrit reprend, en les organisant, un grand nombre des thèmes qui lui tiennent à coeur et qu’il a abordés à de nombreuses reprises les années passées. De la montée des tensions entre Etats à l’individualisme au temps des réseaux sociaux, de l’avenir de la planète à l’accueil des migrants, du populisme au libéralisme, de la guerre mondiale par morceaux au dialogue interreligieux, le chef de l’Eglise catholique passe en revue ce qui pourrait « faire renaître un désir universel d’humanité » alors que l’époque lui semble au contraire être à la fragmentation, aux crispations nationalistes et à l’isolement des individus.
« Réjouissez-vous et exultez », GAUDETE ET EXSULTATE, est une exhortation apostolique du pape François datée du 19 mars 2018 et publiée le 9 avril 2018 sur l’appel à la sainteté dans le monde actuel.
Le Pape François poursuit sa mission d’exhortation paternelle du Peuple de Dieu en nous rappelant que nous sommes appelés à rien de moins que la sainteté. Il voudrait nous faire comprendre que nous sommes dans le temps d’un christianisme exigeant qui ne peut se satisfaire d’édulcorer les appels du Seigneur dans l’Évangile en les délayant dans l’esprit du monde.
Ce document, composé d’une quarantaine de pages, est divisé en 5 chapitres. le pape François lance un « appel à la sainteté dans le monde actuel » avec dix conseils : 1. Ne te défile pas § 14, 7 ; 2. Laisse-toi guider par les Béatitudes § 65, 70 à 89 ; 3. Tu veux aimer ? § 107, 98, 4 ; Cultive l’humilité § 118, 120 ; 5. Sois dans la joie § 122, 128 ; 6. Ose évangéliser § 129, 135 ; 7. Ne te résigne jamais § 137 ; 8. Prie chaque jour § 147, 149, 151 ; 9. Prépare-toi au combat § 158, 160, 161, 162 ; 10. Apprends à discerner ce que Dieu veut pour toi § 166, 169-170.
Lettre du Saint-Père François, le 15 janvier 2019 Humana communitas – La communauté humaine.
Lettre au président de l’Académie pontificale pour la vie à l’occasion du XXVe anniversaire de son institution.
Humana communitas est le titre de la lettre que le pape François a adressée à l’Académie le 6 janvier 2019, à l’occasion du 25e anniversaire de sa fondation, Mgr Paglia affirme que la pandémie du covid-19 a rendu « sensible une double conscience » : « D’une part, explique-t-il, elle nous fait voir à quel point nous sommes tous interdépendants … D’autre part, elle accentue les inégalités : nous sommes tous dans la même tempête, mais pas dans le même bateau. »
Suivi de la Note concernant l’urgence Covid-19 du 30 Mars 2020 et de la présentation «Etre de plus en plus digne de la communauté humaine» de Mgr Paglia du 22 juillet 2020.
Dans son message pour la 57e Journée mondiale de la paix, axé sur «intelligence artificielle et paix», le Pape souligne que les nouvelles technologies doivent toujours être orientées vers «la recherche de la paix et du bien commun», et qu’elle doivent être «au service du développement intégral des individus et des communautés». Sa réflexion sur l’impact de l’intelligence artificielle pour la paix mondiale est un avertissement contre une mauvaise utilisation de l’IA. Il exhorte la communauté internationale à adopter un traité contraignant pour réglementer le développement et l’utilisation des différentes formes d’intelligence artificielle, et soulève des questions éthiques étroitement liées à ces nouvelles technologies qui révolutionnent l’humanité dans toutes les sphères de la vie, capables du pire comme du meilleur. Ces technologies n’étant pas neutres, mais orientées par les concepteurs d’algorithmes, elles peuvent manipuler l’esprit humain et par là même, alimenter des conflits
« L’évolution des systèmes d’intelligence artificielle rend toujours plus naturelle la communication par et avec les machines, de sorte qu’il est devenu toujours plus difficile de distinguer le calcul de la pensée, le langage produit par une machine, de celui généré par l’être humain. Comme toutes les révolutions, celle basée sur l’intelligence artificielle pose également de nouveaux défis afin que les machines ne contribuent pas à la diffusion d’un système de désinformation à grande échelle et n’augmentent pas la solitude de ceux qui sont déjà isolés, en les privant de la chaleur que seule la communication entre les personnes peut donner ». C’est pourquoi, explique le Pontife, « il est important de guider l’intelligence artificielle et les algorithmes, afin qu’il y ait une prise de conscience responsable de chacun dans l’utilisation et le développement de ces différentes formes de communication, qui vont de pair avec celles des médias sociaux et de l’Internet ». l’accent est mis sur la capacité humaine de gouverner le comportement des machines, en particulier à travers des algorithmes, des séquences d’instructions qui résolvent les problèmes et déterminent mécaniquement différentes procédures, impliquant différents aspects de la vie quotidienne, y compris l’utilisation des réseaux sociaux.
La Constitution apostolique « Dans la communion des Eglises », IN ECCLESIARUM COMMUNIONE, a été publiée vendredi 6 janvier 2023, remplaçant la Constitution « Ecclesia in Urbe » de Jean-Paul II de 1988.
Elle entrera en vigueur le 31 janvier. Le Pape, en tant qu’évêque de Rome, sera plus présent dans les décisions du Vicariat. La Constitution s’ouvre avec une longue préface dans laquelle François trace une réflexion profonde sur son diocèse, Rome, dont il rappelle l’importance du point de vue ecclésial, mais aussi les difficultés des personnes qui y vivent et les activités en faveur des groupes sociaux les plus fragiles. La deuxième partie, en revanche, énumère les 45 articles qui empruntent beaucoup à ceux de la Constitution précédente, tout en introduisant plusieurs aspects nouveaux, à commencer par la figure du cardinal-vicaire, défini pour la première fois comme «auxiliaire», et le rôle plus important du Conseil épiscopal. En détaillant les 45 articles de la Constitution, le Pape s’attarde sur les figures de proue du Vicariat : le cardinal vicaire, le vice-président et les évêques auxiliaires. Tous, écrit-il, « sont nommés par moi pour une durée indéterminée et cessent leurs fonctions par mon décret ». Le règlement du Conseil diocésain pour les affaires économiques, un organe qui assiste le Pape dans l’administration économique du diocèse, doit également être approuvé par le Pape, indiquant des « critères de transparence dans la gestion des fonds ». Enfin, dans l’organigramme général, le Service de la protection des mineurs et des personnes vulnérables a été créé. Vendredi 6 janvier, le Pape a nommé l’un des évêques auxiliaires, Mgr Baldassare Reina, comme nouveau vice-gérant du diocèse de Rome.
Traduction libre de la version italienne.
Le pape s’est rendu en Irak pour la première fois.
En deux mille ans d’Histoire, jamais un chef de l’Eglise catholique n’avait foulé le sol irakien, avant la visite du pape François prévue du vendredi 5 mars 2021 au lundi 8 mars 2021. C’est un voyage dans un pays à la fois berceau de la civilisation et des trois grandes religions monothéistes : le prophète Abraham de l’Ancien Testament « qui réunit en une seule famille musulmans, juifs et chrétiens », a rappelé le pape, serait né dans la ville d’Ur où auraient en outre été inventés l’écriture, l’agriculture, l’Etat et la ville il y a six mille ans. Lors de cette visite de 1.450 km, l’avion ou l’hélicoptère du pape a forcément survoler des zones où opèrent encore des combattants de Daech. Bagdad, où ont été déployés de nombreux posters de bienvenue ces derniers jours, sait donc que sa réputation est en jeu et le gouvernement a chargé la Golden division, son unité d’élite, de la sécurité du souverain pontife. Les risques sont aussi diplomatiques dans un Proche-Orient zébré de fortes tensions confessionnelles et où les seules visites d’un chef de l’Eglise catholique étaient jusqu’ici celles de Paul VI en Israël et Jordanie en 1964, Jean-Paul II en Egypte, Israël, Jordanie, Territoires palestiniens et Syrie en 2000-2001, Benoit XVI en Israël et Palestine en 2009 puis Liban en 2012 et François en Jordanie, Israël et Palestine en 2014.
« Louez Dieu », LAUDATE DEUM, est l’exhortation apostolique du pape François publiée le 4 octobre 2023 et qui s’inscrit dans la suite de l’encyclique « Laudato si' », consacrée aux questions environnementales et sociales.
L’exhortation est publiée le jour de la fête de saint François d’Assise qui clôt le Temps de la Création chez les chrétiens. Tout comme les encycliques Laudato si’ et Fratelli tutti, elle est adressée « à toutes les personnes de bonne volonté ». Elle porte plus particulièrement « sur la crise climatique ». Le texte est publié à quelques semaines de l’ouverture de la Conférence de Dubaï de 2023 sur les changements climatiques (COP 28), le 30 novembre 2023. Très inquiet par la tournure que prend le changement climatique sous l’effet de l’avancée du paradigme technocratique « qui s’alimente lui-même de façon monstrueuse », et préoccupé par le peu d’efficacité des politiques internationales qu’il qualifie de « vieille diplomatie », le pape exhorte les dirigeants à prendre leurs responsabilités : « on ne peut qu’attendre des formes contraignantes de transition énergétique qui présentent trois caractéristiques : efficaces, contraignantes et facilement contrôlables » (LD 59). Le pape ne reprend pas à frais nouveaux les traits principaux de l’écologie intégrale où s’entrecroisent le souci du pauvre et la protection de la nature. Mais il en reprend, pour le dénoncer une fois de plus, le concept de paradigme technocratique et il redit l’urgence de changer de modes de vie personnelle et relation entre États. L’incipit Laudate Deum désignait déjà une lettre apostolique donnée par le pape Jean-Paul II le 22 octobre 1989 pour la béatification des Martyrs de Songkhon.
« Lumière de la foi », LUMEN FIDEI, est la première encyclique du Pape François du 29 Juin 2013 et promulguée le 5 juillet.
Cette encyclique est le fruit d’un travail largement entamé sous le pontificat de Benoît XVI, travail repris et complété par le nouveau pape. Publiée au cours de l’année de la foi, elle forme avec les encycliques de Benoît XVI « Deus caritas est » et « Spe salvi » une trilogie sur les vertus théologales (charité, espérance et foi). Le Pape François cherche à démontrer le caractère lumineux de la foi qui se construit dans l’être humain et aide à distinguer le Bien du Mal. Cette justification de la foi est particulièrement importante dans une époque comme la nôtre où la foi est perçue comme une lumière illusoire qui empêche l’homme d’aller vers la connaissance et qui restreint sa liberté. Le texte du Pape François retrace l’histoire de la foi de l’Eglise depuis l’appel de Dieu à Abraham et au peuple d’Israël jusqu’à la résurrection du Christ. Puis, il décrit la relation entre foi et raison, le rôle de l’Eglise dans la transmission de la foi et les bénéfices de celle-ci dans la construction des sociétés en recherche du bien commun. Le texte se conclut sur une prière à la Vierge Marie qui est présentée comme un modèle de foi.
« Loué sois-tu », LAUDATO SI’, est la seconde encyclique du pape François datée du 24 mai 2015 et publiée le 18 juin 2015.
Elle a pour sous-titre « sur la sauvegarde de la maison commune », elle est consacrée aux questions environnementales et sociales, à l’écologie intégrale, et de façon générale à la sauvegarde de la Création. En effet, dans cette encyclique, le pape critique le consumérisme et le développement irresponsable tout en dénonçant la dégradation environnementale et le réchauffement climatique provoqué par l’activité humaine. Le texte s’appuie sur une vision systémique du monde et appelle le lecteur à repenser les interactions entre l’être humain, la société et l’environnement. Cette encyclique « s’ajoute au magistère social de l’Église » en ce qui concerne l’écologie et le réactualise. Le pape François l’adresse « à toutes les personnes de bonne volonté » (LS 62), mais également « à chaque personne qui habite cette planète » (LS 3), les appelant à passer à l’action rapidement et globalement. Il rappelle que, pour éviter une guerre, saint Jean XXIII avait adressé l’encyclique Pacem in Terris afin de transmettre une proposition de paix « aux fidèles de l’univers » tout entier, « ainsi qu’à tous les hommes de bonne volonté » (LS 3). Il s’agit de la première encyclique entièrement rédigée par le pape François ; la précédente, « Lumen fidei », qu’il avait signée en juillet 2013, quatre mois après son élection, avait été rédigée essentiellement par son prédécesseur Benoît XVI.
« Miséricorde et paix », MISERICORDIA et MISERA, une lettre apostolique donnée par le pape François le 21 novembre 2016 en la solennité du Christ Roi de l’univers et publiée le lendemain au Vatican.
La publication de la lettre est annoncée le 19 novembre par la Salle de presse du Saint-Siège, elle est alors annoncée pour le 21 novembre suivant dans le cadre d’une conférence de presse présidée par Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation. Elle est signée par le pape François à la fin de la messe conclusive du Jubilé de la miséricorde, et est remise à plusieurs personnes « représentantes du peuple de Dieu », dont notamment le cardinal Luis Antonio Tagle.
Dès le début de la lettre apostolique, le pape cherche à expliquer que ce jubilé de la miséricorde « ne peut être une parenthèse dans la vie de l’Église ». Il veut définir ce que signifie l’« abstraction » définie par le péché intellectuel, celui-ci nous empêchant souvent de pardonner alors que « Au centre, il n’y a pas la loi ni la justice de la loi, mais l’amour de Dieu qui sait lire dans le cœur de chacun ». Il s’appuie notamment sur le récit de Jésus et la femme adultère4. S’appuyant ensuite de l’épisode de la femme pécheresse tiré de l’évangile selon Saint-Luc au chapitre Le Repas chez Simon, il explique que « Aucun d’entre nous ne peut poser de conditions à la miséricorde ».
« Le visage de la Miséricorde », MISERICORDIAE VULTUS, est une bulle d’indiction du pape François, publiée le 11 Avril 2015 à l’occasion des premières vêpres du dimanche de la divine Miséricorde.
Elle proclame une année sainte extraordinaire, sous le signe d’un jubilé de la Miséricorde. Des extraits en ont été lus devant la Porte Sainte de la basilique Saint-Pierre par le régent de la maison pontificale Mgr Leonardo Sapienza en présence du pape François et de nombreux cardinaux et évêques. La bulle a ensuite été remise aux archiprêtres des quatre basiliques majeures, ainsi qu’à des représentants de l’Église des différentes parties du monde. La Bulle proclame le 8 décembre 2015, jour marquant le 50e anniversaire de la clôture du concile Vatican II, comme date d’ouverture de l’Année Sainte car, selon François, « l’Église ressent le besoin de garder vivant cet événement», la clôture de l’année sainte est prévue au 30 novembre 2016.
note : les titres ont été ajoutés par le copiste.
Le pape François a publié mardi 8 décembre 2020 une lettre apostolique intitulée « Patris corde » dans laquelle il partage ses réflexions sur saint Joseph.
AVEC UN COEUR DE PERE : C’est ainsi que Joseph a aimé Jésus, qui est appelé dans les quatre Évangiles « le fils de Joseph ». Les deux évangélistes qui ont mis en relief sa figure, Matthieu et Luc, racontent peu, mais bien suffisamment pour le faire comprendre, quel genre de père il a été et quelle mission lui a confiée la Providence.
Lettre du Pape François, « Peuple de Dieu, POPULUS DEI, publiée le 20 Août 2018, après la publication du rapport sur les cas d’abus sexuels en Pennsylvanie à la mi-août, le Pape François publie une lettre qu’il adresse au Peuple de Dieu.
Il y exprime la douleur et la honte ressentie. Il y fustige le cléricalisme et appelle l’ensemble des baptisés à s’engager pour mener la lutte contre les abus et toute forme de corruption spirituelle. Le titre de cette lettre : « Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui » (1 Cor 12,26). Le pape commence par sa souffrance de l’ampleur des abus sexuels sur les mineurs, mais il introduit de suite une nuance forte : « la souffrance vécue par de nombreux mineurs à cause d’abus sexuels, d’abus de pouvoir et de conscience ». François élargit le crime terrible des clercs et des personnes consacrées : pas seulement la pédophilie, mais aussi l’abus de pouvoir et de conscience, ces trois abus mis sur un pied d’égalité.
Praedicate Evangelium est la constitution Apostolique de François sur la Curie Romaine du 19 mars 2022.
Il devient normatif à la place des documents de Jean Paul II: Pastor Bonus (PB) et la Constitution de la Curie Romaine (CCR).
Traduction libre de la version Italienne de la constitution apostolique « Paissez le troupeau de Dieu », PASCITE GREGEM DEI, réformant le livre 6 du droit canon en ce 1er juin 2021.
«Soyez les pasteurs du troupeau de Dieu; veillez sur lui, non par contrainte mais de plein gré, selon Dieu» (1P 5,2): c’est par ces mots de l’apôtre saint Pierre que débute la Constitution Apostolique Pascite Gregem Dei datée de la solennité de la Pentecôte, le 23 mai 2021, rendue publique ce mardi 1er juin, et dont le contenu entrera en vigueur le 8 décembre 2021. François entend ainsi réformer une partie du Code de droit canonique promulgué il y a 38 ans par saint Jean-Paul II, le livre VI sur les sanctions pénales dans l’Église. Suivi du document que Le Saint-Siège a publié ce 1er juin 2021 à propos des modifications au livre VI du Code de Droit canonique – qui régit le droit dans l’Eglise – portant sur les sanctions pénales. Le texte, plus précis sur les délits concernés, renforce les sanctions, réduit les marges laissées à l’appréciation de l’autorité locale.
Mercredi 12 février 2020, François a publié son exhortation apostolique « Amazonie bien-aîmée », QUERIDA AMAZONIA, du 2 Février.
Elle intervient trois mois et demi après la fin des débats du Synode sur l’Amazonie, la réunion mondiale des évêques qui s’est tenue du 6 au 27 octobre 2019 et avait pour sujet : « Amazonie : de nouveaux chemins pour l’Église et pour une écologie intégrale ». Plusieurs observateurs font remarquer que cette dernière date, le 12 Février 2020, correspond au quinzième anniversaire de l’assassinat de Dorothy Stang, religieuse américaine avocate des Indiens et tuée par des tueurs à gage au service de Regivaldo Pereira Galvão, grand propriétaire terrien. Le texte de l’exhortation s’étend sur 88 pages et est structuré en quatre « rêves ». Le premier chapitre est consacré au « rêve social », le second au « rêve culturel », le troisième au « rêve écologique », enfin le dernier au « rêve ecclésial ».
A l’occasion de la publication de la Lettre apostolique du pape François, « Scripturae Sacrae affectus », le 30 septembre 2020, pour le XVIe centenaire de la mort de saint Jérôme, le quotidien catholique italien Avvenire a publié une présentation de la Lettre par le cardinal Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical pour la Culture, dans un article intitulé « Jérôme, ascète de l’Écriture ». Il est bibliste de formation. Le pape avait annoncé en italien la raison du nouveau document au terme de l’audience générale de ce mercredi 30 septembre 2020, dans la Cour Saint-Damase du Vatican, justement en la fête de S. Jérôme : « Pour que grandisse en tous l’amour de la Sainte Écriture ». Il avait ajouté : « Que l’exemple de ce grand docteur et père de l’Église, qui a mis la Bible au centre de sa vie, suscite en tous un amour renouvelé pour la Sainte Écriture et le désir de vivre en dialogue personnel avec la Parole de Dieu. »
« La recherche du visage de Dieu », VULTUM DEI QUAERERE, est une constitution apostolique donnée par le pape François le 28 juin 2016 en la Solennité des saints Pierre et Paul et publiée le 22 juillet suivant en la fête nouvelle instituée de Sainte Marie-Madeleine sur la vie contemplative féminine. Le texte dans son début loue avec éloquence la vocation contemplative et cherche à y expliquer sa nature essentielle.
Le pape s’appuie sur les cinquante années depuis le concile Vatican II et sur le fait que les conditions socio-culturelles ont changé, il faut donc selon lui bâtir un nouveau dialogue en respectant les valeurs fondamentales sur lesquelles la vie contemplative est fondée. Le pape François consacre un chapitre à faire les louanges de la vocation de la vie contemplative. Il distingue douze aspects de la vie contemplative qui peuvent aider les religieuses contemplatives à atteindre le but de leur vocation, ce sont : « la formation, la prière, la parole de Dieu, les sacrements de l’Eucharistie et de la Réconciliation, la vie fraternelle en communauté, l’autonomie, les fédérations, la clôture, le travail, le silence, le discernement dans l’utilisation des médias (en particulier les moyens de communication digitaux) et l’ascèse. » Il note en conclusion que les moniales sont nécessaires au monde et à l’Église comme des « phares qui illuminent le chemin des hommes et des femmes de notre temps. » Cette constitution établit de nouvelles règles devant régir la vie contemplative féminine, en mettant l’accent sur l’importance de la nature centrée sur Dieu de la vie monastique. Elle définit aussi de nouvelles modalités pour favoriser les fédérations de communautés contemplatives. Le texte a pour but d’être appliqué aux monastères de rites latins, commençant par un texte composé de nombreux paragraphes sur de nouvelles réflexions, il se termine par une partie en 14 articles, d’actes déterminants pour le côté opérationnel de la réforme.
« La joie de la vérité », VERITATIS GAUDIUM, est une constitution apostolique du pape François signée le 8 décembre 2017 et publiée le 29 janvier 2018.
Elle concerne les universités et les facultés ecclésiastiques. La publication de Veritatis gaudium s’inscrit dans la lignée de Sapientia Christiana, constitution apostolique publiée par Jean-Paul II le 15 avril 1979, mais aussi de Fides et ratio, l’encyclique du même pape portant sur le dialogue entre foi et raison. La constitution apostolique vise à réorganiser l’enseignement et la recherche en « sciences ecclésiastiques », soit théologie, philosophie et droit canonique. Cette réorganisation se veut sur quatre axes : la contemplation du kérygme permettant un retour « à la source » ; un dialogue favorisant « l’expérience communautaire de la joie de la vérité » ; une transdisciplinarité permettant un dépassement des cloisonnements ; enfin une mise en réseau en vue de proposer des réponses concrètes aux « problèmes de l’humanité ».
Textes d’autres Papes
Compilation of magisterial documents; the notices on Popes and the topics are extracted from the “Catholic Software 2.0” CD.
Florilège de textes du magistère au long de l’histoire
Textes tirés du site: http://membres.lycos.fr/lesbonstextes/magistere.htm
Benedictus XIV.
Apostolicae litterae Quam Ardenti.
Apostolicae Litterae « Quam Ardenti ».
De nova ritualis, caeremonialis episcoporum.
Ex Benedicto XIV.
Du droit
Lettre apostolique pour la défense De la foi de l’Eglise. S’y trouve plusieurs Normes qui doivent être intégrées aux Codes De Droit Canonique (tant Occidental qu’Oriental) Ce document est paru le 18 Mai 1998
CCR est la seconde partie de la constitution Pastor Bonus, du 28 Juin 1988.
Ce document comprenait deux parties importantes:
Afin de gagner en clarté, surtout lors des recherches de citations, nous avons divisé ce document en ces deux parties: Pastor Bonus conserve ses initiales (PB); tandis que la seconde partie prend celles de CCR (Constitution Curie Romaine).
En annexe I (n. 200) les textes de la visite ad limina
En annexe II (n. 210) collaborateurs du Siège Apostolique en communauté
Codex Iuris Canonicis, Code de Droit Canonique de l’Eglise romaine, promulgué sous l’autorité de Jean Paul II le 25 janvier 1983 (version latine), incluant les modifications de 2017-2021.
Plan du Code:
Cette version spéciale du Code de droit canonique est référencée au Code de droit pour les Eglises Orientales (CIO) et au Code de droit Canonique de 1917 (CIS).
Les modifications apportées par Benoit XVI et François (2017) ont été intégrées en ajout du texte de la version originale de 1983, ainsi que la réécriture du Livre VI, publiée en 2021.
Le texte des articles du code est suivi de la préface et de la Constitution « Sacrae disciplinae leges » et des interprétations officielles de certains canons (RB 2017).
Dans l’ordre alphabétique du français traduction en anglais/espagnol/latin d’après un document vers 1970 dans les officialités. Après ouverture, trouver les occurences par « recherche » du mot dans le « document courant »
Code de Droit Canon des Eglises Orientales.
Ce code, non appliqué dans nos Eglises latines, doit être lu en liaison avec le CIC (code des églises latines) et le CIS (code de 1917).
Il a été promulgué le 18 octobre 1990. Inclut les modifications de « ad tuendam fidem » (1998)
Code de Droit Canon de 1917, incorporé ici en raison des sources canoniques qu’il propose.
Le Code actuel (CIC de 1983) plonge ses racines dans ces sources et il a semblé important que les canonistes et étudiants puissent y accéder le plus simplement possible.
Cinq livres composent ce droit :
Déclaration du conseil Pontifical pour les textes législatifs du 6 juillet 2000. Le texte s’attarde à relire quelques canon du CIC en fonction de certaines interprétations
Motu proprio à propos de la fondation de la Commission Pontificale pour la Pastorale des services de la Santé qui fera fonction d’organisme de coordination de toutes les Institutions catholiques, religieuses et laïques, engagées dans la pastorale des malades. Elle sera unie au Conseil Pontifical pour les laïcs
A l’usage des canonistes.
Venant compléter le Code en précisant pour les seules causes de nullité de mariage quelle doit être la procédure à suivre.
Le but étant d’avoir un compendium et en même temps des précisions L’instruction vient jouer le rôle d’un nouveau « Provida Mater »
Ce document regroupe quelques publications du droit particulier français:
Costituzione apostolica « Divinus Perfectionis Magister » circa la nuova legislazione per le cause dei Sainti
Ce document est un ensemble de 5 communications sur le For Interne:
Motu proprio du Pape François Modifiant la procédure pour les causes de nullité de mariage.
Document principalement à l’usage des Officialités, des Chancelleries et de ceux qui travaillent sur le mariage.
A partir du 18e siècle des documents épars provenant du Magistère à propos du mariage sont regroupés, avec un index analytique pour une recherche par sujet ou mot-clef.
Ces documents sont groupés sous trois modes d’accès: Voici la liste des documents présents à ce jour:
A partir de la fin du Concile Vatican II, des documents juridiques (en majorité des Motu Proprio) vont compléter et parfois modifier les normes du Droit.
Lettre apostolique de Jean-Paul II du 22 mai 1994, adressée aux évêques de l’Église catholique, qui déclare que le sacerdoce ne peut être conféré aux femmes.
Reprenant les affirmations de Inter insigniores, un document de la congrégation pour la doctrine de la foi datant de 1976, cette lettre se fonde sur le fait que Jésus a choisi pour apôtres exclusivement des hommes, tout comme le furent leurs successeurs, d’après l’ancienne conception juive du sacerdoce. La lettre est brève et srésume l’enseignement traditionnel. Elle se conclut ainsi : « Declaramus Ecclesiam facultatem nullatenus habere ordinationem sacerdotalem mulieribus conferendi, hancque sententiam ab omnibus Ecclesiae fidelibus esse definitive tenendam. » C’est-à-dire : « L’Église estime ne pas avoir autorité pour conférer le sacerdoce aux femmes ; cela doit être considéré ainsi définitivement par tous les fidèles. » En tant que lettre apostolique, Ordinatio sacerdotalis est a priori un acte du magistère ordinaire du pape, définissant un point particulier de doctrine ou de discipline de l’Église. Cela lui donne un statut doctrinal important mais de moindre ampleur — elle s’adresse uniquement aux évêques — qu’à une encyclique. Cependant, à l’occasion de la publication du motu proprio Ad tuendam fidem, il est affirmé que certaines vérités sont tranchées de manière définitive, et relèvent du domaine de l’infaillibilité du Magistère. Il y est précisé que « celui qui récuse ces points qui doivent être tenus pour définitifs s’oppose donc à la doctrine de l’Église catholique ».
La constitution Pastor Bonus, du 28 Juin 1988, comprend deux parties importantes : 1. Pastor Bonus, texte introductif ; 2. les normes relatives à la curie romaine. Afin de gagner en clarté, surtout lors des recherches de citations, on a divisé ce document en ces deux parties : Pastor Bonus conserve ses initiales (PB) ; tandis que la seconde partie prend celles de CCR (Constitution Curie Romaine). Retenez que ces deux documents forment un tout.
Officialités
Codex Iuris Canonicis, Code de Droit Canonique de l’Eglise romaine, promulgué sous l’autorité de Jean Paul II le 25 janvier 1983 (version latine), incluant les modifications de 2017-2021.
Plan du Code:
Cette version spéciale du Code de droit canonique est référencée au Code de droit pour les Eglises Orientales (CIO) et au Code de droit Canonique de 1917 (CIS).
Les modifications apportées par Benoit XVI et François (2017) ont été intégrées en ajout du texte de la version originale de 1983, ainsi que la réécriture du Livre VI, publiée en 2021.
Le texte des articles du code est suivi de la préface et de la Constitution « Sacrae disciplinae leges » et des interprétations officielles de certains canons (RB 2017).
A l’usage des canonistes.
A partir de 1939, les allocutions à la Rote et les Discours des Papes aux canonistes sont suivis par une Table et un Index par sujets.
Pro MANUSCRIPTO – Document exclusivement à l’usage des officialités et de leur personnel.
Il s’agit d’un recueil de normes émanant des différents dicastères sur des points utiles ou importants pour les officialités.
Trois accès
Lettre apostolique du pape Benoît XVI, en forme de Motu proprio, apportant des modifications à quelques canons du Code de Droit Canonique.
A l’usage des canonistes Jurisprudence de la Rote Romaine sur quelques chefs de nullité – 2007. (traduction ARRAS le dernier fascicule étant JU 34)
Pro MANUSCRIPTO – Document exclusivement à l’usage des officialités et de leur personnel. Il s’agit d’articles ou de conférences produits par des techniciens d’officialité ou par des spécialistes éminents sur des thèmes importants pour les officialités. Trois accès:
Des Dicastères
Synodes
Le document « La justice dans le monde », présenta, avec un regard critique, la réalité du monde en temps du Concile Vatican II, et affirma : « Nous avons pu nous rendre compte des graves injustices qui entourent le monde humain avec un réseau des dominations, des oppressions et des abus qui suffoquent la liberté et empêchent à la plupart du genre humain de participer dans l´édification et la jouissance d´un monde plus égale et plus fraternel ». D´une autre part, il reconnaît l´apport de ceux qui sont dociles à l´action de l´Esprit et qui sèment l´espérance, engagés pour un monde meilleur : « Ils ne manquent pas les faits qui constituent une contribution à la promotion de la justice. Elle naît dans les groupes humains et même dans les peuples une conscience nouvelle qui les secoue contre la résignation au fatalisme et les pousse à leur libération et à la responsabilité de son propre sort. Apparaissent des mouvements humains que reflètent l´espérance d´un monde meilleur et la volonté de changer tout ce que l´on ne peut plus déjà tolérer ». Il est organisé en quatre parties. La première, la justice sociale et la société mondiale, avec quatre apartés : la crise de solidarité universelle, le droit au développement, l´injustice sans voix et le besoin du dialogue. La deuxième partie du document, l´annonce de l´Évangile et la mission de l´Église, se présente en deux apartés : la justice salvifique de Dieu par le Christ et la mission de l´Église, de la hiérarchie et des chrétiens. La troisième partie, la pratique de la justice, présente six apartés : le témoignage de l´Église, l´éducation pour la justice, la coopération entre les églises locales, la collaboration oecuménique, l´action internationale et termine exprimant brièvement les désirs du Synode. La quatrième partie, anime avec un mot d´espérance : « La transformation radicale du monde dans la Pâques du Seigneur, donne un sens plein aux efforts des hommes et particulièrement des jeunes pour la diminution de l´injustice, de la violence et de la haine, et par le progrès de tous ensemble dans la justice, la liberté, la paternité et l´amour ».
Le synode des évêques des Pays Bas convoqué à Rome par Jean Paul II commence le lundi 14 janvier.
Son thème est : » L’action pastorale de l’Église en Hollande dans la situation actuelle « . Mgr Tomko, secrétaire général du synode des évêques a précisé, vendredi 11 janvier à Rome, au cours d’une conférence de presse tenue aux cotés du cardinal Willebrands que cette réunion se placerait sous le signe de la » communication » et de l' » unité dans la diversité « , ce qui est une manière voilé de désigner les profondes divergences qui séparent les évêques des Pays-Bas. Les propos tenus au cours de cette réunion, que nous rapporte notre correspondant à Rome, et les commentaires suscités aux Pays-Bas par la perspective du synode, renvoient à la même réalité : de profondes divergences séparent les évêques des Pays-Bas.
Certains milieux chrétiens de ce pays semblent même redouter que les résultats du synode soient négatifs et entraînent une régression de la liberté du comportement religieux.En plus du pape, dix-huit personnes participeront à l’Assemblée ; les sept évêques résidentiels des Pays-Bas : le secrétaire général du synode, Mgr Tomko (de nationalité tchécoslovaque) : le nouvel archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr Danneels, délégué par le pape ; le Père Joseph Lescrauwaet, nommé secrétaire spécial ; deux religieux hollandais, les Pères Van Luyn, salésien et Van den Biesen, bénédictin. Ce dernier a été désigné à la demande du pape qui tenait à la présence d’un moine. Quant aux cardinaux préfets des congrégations romaines (doctrine de la foi, évêques, sacrement et culte divin, clergé religieux et instituts séculiers, éducation catholique), ils n’assisteront qu’aux séances relevant de leurs compétences respectives. Aucun laïc n’a été invité. On n’exclut pas, en revanche, la présence d’un observateur non catholique, quoique personne ne semble encore avoir été contacté.
L’assemblée spéciale du Synode des évêques pour l’Europe, annoncée par le Pape Jean-Paul II le 22 avril 1990, a fait l’objet d’une préparation rapide mais intense. L’assemblée, qui s’est tenue à Rome du 28 novembre au 14 décembre 1991, a évoqué plusieurs questions fondamentales, parmi lesquelles : l’échange des dons entre les Églises particulières de l’Est et de l’Ouest, les relations entre catholiques et orthodoxes au sortir du communisme, l’actualité du droit civil à la liberté religieuse en Europe. Il y a lieu aussi de s’interroger sur l’avenir des structures épiscopales dans l’Europe recomposée. Ce premier Synode épiscopal à l’échelle d’un continent a fait ressortir la spécificité « catholique » de l’institution synodale.
Rome, 31 mai 2004 (Apic)
Le Saint-Siège a publié vendredi les «Lineamenta» et le questionnaire destinés aux évêques pour la préparation de la 11e Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques. L’Assemblée, dont le travail se déroula autour du thème «l’Eucharistie source et sommet de la vie et de la mission de l’Eglise», a été décidée par Jean Paul II le 29 novembre 2003. Elle s’est tenue au Vatican du 2 au 9 octobre 2005. Le document de préparation de ce synode ou «Lineamenta» (terme latin signifiant «grandes lignes») compte sept chapitres et un questionnaire de vingt questions (à partir du chapitre 101 dans ce document). Il a été envoyé aux Conférences épiscopales – qui choisiront le ou les évêques qui se rendront à Rome afin de participer au Synode -, le 31 mars 2004. Les réponses à ce document sont attendues au Saint-Siège avant le 31 décembre 2004, afin de pouvoir préparer l’»Instrumentum laboris», le texte qui servira de base au travail au Synode. Le texte, première phase de préparation du Synode, a été élaboré selon les indications du Conseil du Secrétariat général du Synode et d’experts, afin de proposer à la réflexion de «toutes les forces vives de l’Eglise», les principaux thèmes touchant à l’Eucharistie. Le but des «Lineamenta» est double : faire participer les fidèles au processus synodal, et susciter des réponses des évêques résidentiels, de la curie romaine et de l’Union des supérieurs généraux, de façon à élaborer, dans une phase successive, l’«Instrumentum laboris» sur lequel planchera le Synode. La présence de ce document dans la base de données d’Ictuswin se justifie pour deux raisons : la première permet d’avoir un texte de réflexion avant synode ; la seconde est qu’il est un complément essentiel aux réflexions synodales (cf. Intrumentum laboris de 2005 et aux Propositions du Synode de 2007)
L’idée principale qui se dégage de l’ Instrumentum Laboris, document de travail pour les Pères synodaux, est qu’il ne faut pas banaliser dans l’Église cet «acte de transformation qui est seul en mesure de renouveler vraiment le monde», comme l’a dit le pape. De fait, les implications pastorales touchent à nombre de problèmes posés aujourd’hui à l’Église : la diminution de la pratique de la messe dominicale, d’abord, avec le risque de ce que le pape appelle une « protestantisation » des catholiques qui perdraient le sens du sacrement. Le manque de prêtres, et la difficulté croissante d’assurer l’Eucharistie à toutes les communautés : voilà ce qui pose à beaucoup la question de l’ordination des hommes mariés. Autre enjeu, la cohérence de chaque chrétien entre sa participation à l’Eucharistie et son comportement personnel. Notamment pour les hommes politiques, sujet très sensible aux États-Unis
ROME, Lundi 7 novembre 2005 – A la fin du Synode des évêques sur l’Eucharistie, qui s’est achevé dimanche 23 octobre, les pères synodaux ont rédigé une liste de 50 propositions (dont le texte officiel est en latin) destinées au pape Benoît XVI. Celui-ci a autorisé la publication d’une version non officielle en italien de ces propositions. Nous proposons ci-dessous la traduction de l’ensemble des propositions (Texte original italien – Traduction réalisée par Zenit). Document repris dans l’exhortation apostolique post-synodale sacramentum caritatis du pape Benoit XVI le 22 février 2007
L’Instrumentum laboris est venu des réponses au questionnaire du Document préparatoire, rendu public au mois de novembre 2013, structuré en huit groupes de questions concernant le mariage et la famille, et qui a été largement diffusé. Le texte est structuré en trois parties et reprend, selon un ordre établi en fonction de l’Assemblée synodale, les huit thématiques proposées dans le questionnaire. La première partie est consacrée à l’Évangile de la famille, entre dessein de Dieu et vocation de la personne dans le Christ. La deuxième partie traite des diverses propositions de pastorale familiale, des défis qui s’y rapportent et des situations difficiles. La troisième partie a trait à l’ouverture à la vie et à la responsabilité éducative des parents, qui caractérise le mariage entre l’homme et la femme, avec une référence particulière aux situations pastorales actuelles
La XIVe Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Évêques, « le Synode des Évêques sur la Famille » du 4 au 25 octobre 2015 sous la présidence de notre Saint Père, le Pape François, a pour thème : « La vocation et la mission de la Famille dans l’Église et dans le monde contemporain ».
Voici de nombreuses informations sur ce Synode 2015 comme la Composition de l’Assemblée Synodale, les Médias qui déchantent, la Veillée de prière au Synode du samedi 3 octobre, l’Homélie du Pape François à la Messe d’ouverture du 4 octobre, l’introduction du Synode par le Saint-Père le 5 octobre, le mot d’ouverture au Synode du Cardinal André Vingt-Trois, les interventions de Mgr Stanislaw Gadecki, Mgr Robert Sarah, Mgr Olivier de Germay, Mgr Raymond Burke, et le « rapport final » du Synode des Évêques sur la Famille (Relazione Finale del Sinodo dei Vescovi).
Le synode des évêques d’octobre 2018 sur « les jeunes, la foi et le discernement vocationnel » a été convoqué par le pape François en octobre 2016.
On voit se dessiner une dynamique de réflexion riche et stimulante pour tous ceux qui dans l’Église et la société sont au service des jeunes et des vocations. En outre, ce document de référence pour le synode 2018 enrichis des discours du Pape aux jeunes et de l’éclairage de trois théologiens constituent un véritable « manuel » bienvenu pour l’évangélisation des jeunes et la pastorale des vocations. Celui-ci aidera à relire des pratiques et à ouvrir de nouveaux chemins d’accompagnement des jeunes.
Après un long chemin synodal d’écoute du Peuple de Dieu dans l’Église d’Amazonie, souligne notamment le document dans son introduction, le Synode s’est tenu à Rome (6-27 octobre 2019) dans un climat « marqué par des échanges ouverts, libres et respectueux entre les évêques pasteurs en Amazonie, des missionnaires, des laïcs et des représentants de peuples indigènes ».
Ainsi, l’affirmation qui a surgi au cours du processus préparatoire selon laquelle « l’Église était une alliée du monde amazonien » a été réaffirmée « avec force » au cours des travaux. « Ce Synode se termine avec une grande joie et l’espoir d’embrasser et de pratiquer le nouveau paradigme de l’écologie intégrale, de la sauvegarde de la « maison commune » et de la défense de l’Amazonie », affirme également le document final du Synode.
Cette lettre au peuple de Dieu issue de la XVIème assemblée synodale réunie au Vatican en octobre 2023, publiée le 25 octobre, raconte l’expérience vécue par les 365 participants. Alors que nous approchons de la conclusion de cette première session de travail du Synode 2021-2024 sur la synodalité, tous les fidèles catholiques sont invités à lire cette lettre (Partie 1). La lecture de la première version de la lettre, lundi 23 octobre, en fin de matinée a été accueillie par des applaudissements, a déclaré le président de la commission pour l’information du synode, Paolo Ruffini, mais quelques ajustements sont encore possibles. Quant au document de synthèse de l’assemblée synodale, il sera connu samedi soir, au terme des travaux.
Avant sa publication le samedi 28, la publication, dans la soirée du mercredi 25 octobre, d’un discours choc du pape François a éclipsé cette « Lettre au peuple de Dieu » (Partie 2).
Le copiste a pris le parti de regrouper ces deux éléments pour deux raisons : l’histoire de ce synode et les questions qu’il soulève en ce troisième millénaire (ce n’est pas qu’une question d’égo) ; la question du rapport entre synodalité et la primauté de Pierre (débat déjà soulevé par nos frères des églises protestantes).
Doctrine de la Foi
Documents de la Congrégation pour la doctrine de la foi à propos des doutes sur l’interprétation du Décret Ecclesiae Pastorum.
Il est composé de deux lettres précédées d’un préambule.
On y verra ici un complément d’information sur la bonne iompréhension de certains canons du nouveau Code de Droit Canonique en matière de publication.
Conférence » De l’athéisme moderne au Dieu Chrétien » de Mgr Gerhard Ludwig Müller à l’Université pontificale de Comillas – Madrid, le 2 octobre 2013.
Traduction libre de la version espagnole » Al Dios cristiano desde el ateísmo moderno « . Gerhard Ludwig Müller, né le 31 décembre 1947 à Mayence, alors en RFA, est un archevêque et cardinal catholique allemand, qui fut préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 2 juillet 2012 au 1er juillet 2017. Il est considéré comme critique de certaines orientations pastorales ou politiques du pape François. Appelé à Rome par Benoît XVI le 2 juillet 2012 alors qu’il était évêque de Ratisbonne. Peu de mois après son accession au siège de Pierre, le Pape François l’avait confirmé dans sa charge, et l’avait créé cardinal, en février 2014, lors du premier consistoire de son pontificat. Quelques mois plus tard, à l’occasion des synodes sur la famille, les prises de position du Cardinal Müller, largement relayées par la presse, n’étaient pas passées inaperçues. Il avait par exemple fait part de ses réticences face aux ouvertures préconisées par l’exhortation Amoris Laetitia, et avait mis en garde contre les «interprétations confuses» qui pouvaient en être faites, notamment sur l’épineuse question de l’accès à la communion pour les divorcés-remariés. Au-delà de ces faits, ce document toujours présent dans les archives du vatican garde toute sa place dans la réflexion chrétienne.
Ce qui suit est le texte intégral de l’Instruction de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, « Ad resurgendum cum Christo », (Ressusciter avec le Christ) concernant l’enterrement du défunt et la conservation des cendres en cas de crémation, publiée le 25 octobre 2016 et signée par le Cardinal Gerhard Ludwig Müller et l’archevêque Luis Francisco Ladaria Ferrer, respectivement préfet et secrétaire du dicastère.
Le document est suivi par le texte de sa présentation faite par le cardinal Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi; Fr. Serge-Thomas Bonino, OP, secrétaire de la Commission théologique internationale; et Mgr. Angel Rodríguez Luño, consultant de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi.
Le 5 juin 2022, deux ans après sa première édition (16 juillet 2020), le Dicastère pour la doctrine de la foi a publié une mise à jour de son Vademecum (mode d’emploi) sur quelques points de procédure dans le traitement des cas d’abus sexuel sur mineur commis par des clercs.
Une mise à jour, explique le Vatican, devenue nécessaire principalement en raison de l’entrée en vigueur du Livre VI du Code de droit canonique et des Normes sur les délits réservés à la Congrégation pour la doctrine de la foi (8 décembre 2021), des motu proprio Fidem servare – modifiant la structure interne de la Congrégation pour la doctrine de la foi (14 février 2022) -, Competentias quasdam decernere – par lequel sont modifiées certaines normes du code de droit canonique et du code des canons des Églises orientales (15 février 2022) -, et enfin de la Constitution apostolique Praedicate Evangelium (5 juin 2022). Ce texte ne modifie pas la législation en la matière, est-il souligné dans l’introduction, mais il a pour objectif de clarifier le parcours processuel. L’application en est tout de même recommandée, avec la conscience qu’une pratique homogène contribue à rendre plus claire l’administration de la justice. » Cet outil développé par le Dicastère pour la doctrine de la foi entend aider les ordinaires et les hiérarques, ainsi que leurs collaborateurs, à traiter correctement du point de vue canonique les situations délicates dans lesquelles un clerc est accusé de crimes contre le sixième commandement du Décalogue avec des mineurs. Les principales références du Vademecum sont les deux codes en vigueur (CIC et CCEO), les Normes sur les délits réservés à la Congrégation pour la doctrine de la foi – dans la version modifiée du 11 octobre 2021 – publiées avec le motu proprio Sacramentorum Sanctitatis Tutela, compte-tenu des nouveautés apportées par les Rescripta ex Audientia des 3 et 6 décembre 2019, le motu proprio Vos estis lux mundi et – dernière mais pas la moindre – la pratique du Dicastère pour la doctrine de la foi, qui s’est de plus en plus précisée et consolidée ces dernières années.
POSTORALIS ACTIO sur le baptême des petits enfants du 20 octobre 1980.
Le baptême des « tout petits » est en usage dans l’Église depuis au moins le IIème siècle. Il a été reconnu comme une pratique d’origine apostolique. Certes il a connu des oppositions et l’usage en a été retardé non pour des raisons doctrinales liées au sacrement lui-même mais à cause même de son efficacité ou plutôt de son incompréhension. Si cette pratique a été très tôt appliquée, c’est en effet parce que les chrétiens croyaient aux effets de son sacrement donc à la mort spirituelle et au péché originel.
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La déclaration de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi répond négativement à la possibilité d’accorder des bénédictions aux couples formés par des individus du même sexe: « Ce n’est pas une discrimination injuste, aucun jugement sur les personnes ».
Responsum du 22 février 2021.
Il est «moralement acceptable d’utiliser des vaccins anti-Covid-19 qui ont eu recours à des lignées cellulaires de foetus avortés dans leur processus de recherche et de production».
Dans le cas de la pandémie actuelle, «tous les vaccins reconnus comme cliniquement sûrs et efficaces peuvent être utilisés en restant conscient que le recours à ces vaccins ne signifie pas une coopération formelle avec l’avortement dont sont issues les cellules à partir desquelles les vaccins ont été produits». C’est la Congrégation pour la Doctrine de la Foi qui l’affirme dans une note signée par le préfet, le cardinal Luis Ladaria, et le secrétaire, l’archevêque Giacomo Morandi, et explicitement approuvée par le Pape François jeudi 17 décembre. Le document de la Congrégation, publié alors que de nombreux pays s’apprêtent à mettre en oeuvre des campagnes de vaccination, fait autorité. Il clarifie les doutes et les questions qui ont émergé des déclarations parfois contradictoires sur le sujet. La note «sur la moralité de l’utilisation de certains vaccins anti-Covid 19» rappelle trois prises de position antérieures sur le même sujet : celle de l’Académie pontificale pour la Vie en 2005 ; l’instruction Dignitas Personae de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi en 2008 ; et enfin une nouvelle note de l’Académie pontificale pour la Vie en 2017.
La présente Lettre veut affronter ces tendances réductionnistes de notre temps – néo-pélagianisme, néo-gnosticisme – « qui menacent le christianisme actuel et redire que le salut, selon le dessein d’Alliance du Père, consiste dans notre union au Christ » : c’est ainsi que Mgr Luis F. Ladaria Ferrer, jésuite espagnol, a présenté la lettre Placuit Deo au Vatican, ce jeudi 1er mars 2018, avec le secrétaire du même dicastère, Mgr Morandi. Il signe, en tant que préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, cette lettre « aux évêques de l’Église catholique, sur certains aspects du salut chrétien », approuvée par le pape François.
« Nous espérons que cette Lettre pourra aider les fidèles pour qu’ils prennent davantage conscience de leur dignité d’ « enfants de Dieu » (Rm 8,16) », a conclu le préfet de la Congrégation. « Le salut ne peut se réduire simplement à un message, à une pratique, à une gnose ou à un sentiment intérieur ».
L’Eglise lève toutes les ambiguïtés sur son rapport à la peine de mort.
Conformément au vif souhait exprimé par le Pape François, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a procédé à la modification de l’article 2267 du Catéchisme de l’Eglise catholique, qui stipule donc désormais le rejet total de cette pratique jugée contraire à la dignité humaine. Une lettre, signée par le cardinal Ladaria Ferrer, a été envoyée à tous les évêques du monde afin d’expliciter le processus de maturation de cette décision.
Experte en humanité, l’Église s’est toujours intéressée à ce qui concerne l’homme et la femme.
Ces derniers temps, on a beaucoup réfléchi sur la dignité de la femme, sur ses droits et ses devoirs dans divers secteurs de la vie sociale et ecclésiale. Ayant contribué à l’approfondissement de ce thème fondamental, en particulier par l’enseignement du Pape Jean-Paul II, l’Église est aujourd’hui interpellée par certains courants de pensée dont bien souvent les thèses ne coïncident pas avec les perspectives authentiques de la promotion de la femme. Ce document est signé par le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la congrégation pour la Doctrine de la Foi et par le secrétaire de ce dicastère, Mgr Angelo Amato, sdb, et il est en date du 31 mai 2004, fête de la Visitation de la Vierge Marie.
Dominus Iesus (« le Seigneur Jésus ») est une déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi sur l’unicité et l’universalité de Jésus-Christ et de l’Église catholique.
Elle a été approuvée par le pape Jean-Paul II le 16 juin 2000 et publiée le jour de la fête de la Transfiguration (6 août) en 2000. Le document est signé par le préfet et par le secrétaire de la Congrégation à l’époque, respectivement Joseph Ratzinger (futur pape Benoît XVI) et Tarcisio Bertone.
Le relativisme en matière de religion s’oppose aux doctrines de la révélation du Christ, de l’Écriture, et de l’unité du Verbe incarné et du Saint-Esprit, de la médiation salvifique et de la subsistance de la seule Église catholique. Les doctrines à réfuter sont l’éclectisme théologique, le subjectivisme religieux, l’agnosticisme théologique, et l’opposition que l’on a bâtie entre l’Orient et l’Occident. Pour remédier à tous ces problèmes, il faut reconnaître la complétude de l’Évangile de Jésus-Christ. La thèse qui soutient que Jésus n’a pas annoncé une révélation complète est donc jugée contraire à la doctrine de l’Église. Cette thèse a pour origine l’idée qu’aucune religion ni même celle de Jésus-Christ ne pourrait être comprise par personne. Cela est donc en contradiction radicale avec les affirmations de la foi.
Le Saint Siège a publié le lundi 17 septembre 2001, une notification pour expliquer que les cours visant à préparer des femmes au diaconat dans l’Eglise catholique sont dépourvus de tout fondement doctrinal. Cette notification est signée de trois congrégations.
Dans les Églises chrétiennes, le diaconat féminin est une fonction exercée par des femmes, les diaconesses, ou femmes-diacres analogue à celle des diacres chez les hommes, consistant à assister le chef d’une église dans la conduite de sa communauté. Le diaconat féminin existait dans les débuts de christianisme avant de disparaitre au cours du XIIe siècle en Occident et XVIe siècle en Orient. Réapparu dans les églises protestantes dès le XVIe siècle, sa remise en place dans les églises orthodoxes et catholiques est en cours de discussion depuis le milieu du XXe siècle.
La réception de la communion eucharistique de la part des fidèles divorcés remariés du 14 septembre 1994 a rencontré un grand écho en divers lieux de l’Église.
À côté de nombreuses réactions positives, on a aussi entendu bon nombre de critiques. En ce qui concerne la position du Magistère sur le problème des divorcés remariés, il faut en outre souligner que les documents récents de l’Église unissent, de manière très équilibrée, les exigences de la vérité et celles de la charité. Si, par le passé, dans la présentation de la vérité, parfois la charité n’a pas resplendi suffisamment, à l’inverse le danger est grand aujourd’hui de se taire ou de compromettre la vérité au nom de la charité. Certes, la parole de vérité peut faire mal et être incommode. Mais elle est le chemin de la guérison, de la paix, de la liberté intérieure. Une pastorale qui veut vraiment aider les personnes doit toujours se fonder sur la vérité. Seul ce qui est vrai peut être aussi pastoral. « Alors, vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres » (Jn 8,32)
À propos de certains doutes sur le caractère définitif de la doctrine d’Ordinatio sacerdotalis (29 mai 2018) de Luis Francisco Ladaria Ferrer.
Il est né le 19 avril 1944 à Manacor (Espagne), c’est un prélat catholique espagnol, membre de la Compagnie de Jésus, professeur de théologie à l’université grégorienne et depuis 2017, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi après en avoir été le secrétaire pendant neuf ans. Il est créé cardinal au cours du consistoire du 29 juin 2018.
Publiée en 2008 est la nouvelle instruction romaine de la Congrégation pour la doctrine de la foi sur « certaines questions de bioéthique ».
Elle se veut une actualisation de l’instruction romaine précédente, Donum Vitae, qui datait de 1987. Par là, elle donne l’avis de l’Église sur plusieurs sujets : avortement ; procréation médicalement assistée ; euthanasie. Elle a été écrite par le cardinal William Levada, préfet de la congrégation pour la doctrine de la Foi, et son secrétaire Luis Ladaria Ferrer et approuvée par le Pape Benoît XVI le 21 juin 2008. C’est un document fondamental pour l’éthique de l’Église catholique romaine, notamment pour l’assistance médicale à la procréation.
Elle se veut une actualisation de l’instruction romaine précédente, Donum Vitae, qui datait de 1987
Au cours de ces dernières années, les sciences biomédicales ont fait d’énormes progrès qui ouvrent de nouvelles perspectives thérapeutiques.
Ces techniques ne manquent pas toutefois de susciter de sérieuses interrogations qui n’ont pas été explicitement abordées par l’Instruction Donum vitae (22 février 1987). Ce document, de la CDF, veut être une aide à la lecture du document « Dignitas Personae sur certaines questions de Bioéthique » paru le 8 septembre 2008
Donum Vitae, « Le Don de la vie », est l’instruction romaine de la Congrégation pour la doctrine de la foi sur « Le respect de la vie humaine naissante et la dignité de la procréation ».
Par là, elle donne l’avis de l’Église sur les méthodes de procréation artificielle. Elle a été écrite par le cardinal Joseph Ratzinger et son secrétaire Alberto Bovone et approuvée par le Pape Jean-Paul II le 22 février 1987. C’est un document fondamental pour l’éthique de l’Église catholique romaine de l’assistance médicale à la procréation. Cette instruction a été mise à jour par l’instruction Dignitas Personae de 2008, également issue de la congrégation pour la doctrine de la foi.
L’Ecclésialité du Catéchisme – Conférence (St. Patrick’s College de Maynooth, Irlande – 17 mai 2014) traduction libre de la conférence en langue anglaise « The Ecclesiality of the Catechism » by Gerhard Card. Müller du 17 mai 2014.
Gerhard Ludwig Müller, né le 31 décembre 1947 à Mayence, alors en RFA, est un archevêque et cardinal catholique allemand, qui fut préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 2 juillet 2012 au 1er juillet 2017. Il est considéré comme critique de certaines orientations pastorales ou politiques du pape François. Appelé à Rome par Benoît XVI le 2 juillet 2012 alors qu’il était évêque de Ratisbonne. Peu de mois après son accession au siège de Pierre, le Pape François l’avait confirmé dans sa charge, et l’avait créé cardinal, en février 2014, lors du premier consistoire de son pontificat. Quelques mois plus tard, à l’occasion des synodes sur la famille, les prises de position du Cardinal Müller, largement relayées par la presse, n’étaient pas passées inaperçues. Il avait par exemple fait part de ses réticences face aux ouvertures préconisées par l’exhortation Amoris Laetitia, et avait mis en garde contre les «interprétations confuses» qui pouvaient en être faites, notamment sur l’épineuse question de l’accès à la communion pour les divorcés-remariés. Au-delà de ces faits, ce document toujours présent dans les archives du vatican garde toute sa place dans la réflexion chrétienne.
Rapport à propos de » La nature théologique des commissions doctrinales et la tâche des évêques en tant qu’enseignants de la foi » de Mgr Gerhard Ludwig Müller à Esztergom, 13 janvier 2015.
Traduction libre de la version italienne » La natura teologica delle Commissioni Dottrinali e il compito dei Vescovi come maestri della fede « .
Gerhard Ludwig Müller, né le 31 décembre 1947 à Mayence, alors en RFA, est un archevêque et cardinal catholique allemand, qui fut préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 2 juillet 2012 au 1er juillet 2017. Il est considéré comme critique de certaines orientations pastorales ou politiques du pape François. Appelé à Rome par Benoît XVI le 2 juillet 2012 alors qu’il était évêque de Ratisbonne. Peu de mois après son accession au siège de Pierre, le Pape François l’avait confirmé dans sa charge, et l’avait créé cardinal, en février 2014, lors du premier consistoire de son pontificat. Quelques mois plus tard, à l’occasion des synodes sur la famille, les prises de position du Cardinal Müller, largement relayées par la presse, n’étaient pas passées inaperçues. Il avait par exemple fait part de ses réticences face aux ouvertures préconisées par l’exhortation Amoris Laetitia, et avait mis en garde contre les «interprétations confuses» qui pouvaient en être faites, notamment sur l’épineuse question de l’accès à la communion pour les divorcés-remariés. Au-delà de ces faits, ce document toujours présent dans les archives du vatican garde toute sa place dans la réflexion chrétienne.
Conférence » Écouter la Parole de Dieu – voir le monde à la lumière de la foi » de Mgr Gerhard Ludwig Müller ) l’Université pontificale grégorienne le 18 novembre 2015 à l’occasion du 50e anniversaire de la promulgation de la Constitution dogmatique Dei Verbum.
Traduction libre de la version italienne » Ascoltare la Parola di Dio – vedere il mondo alla luce della fede « . Gerhard Ludwig Müller, né le 31 décembre 1947 à Mayence, alors en RFA, est un archevêque et cardinal catholique allemand, qui fut préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 2 juillet 2012 au 1er juillet 2017. Il est considéré comme critique de certaines orientations pastorales ou politiques du pape François. Appelé à Rome par Benoît XVI le 2 juillet 2012 alors qu’il était évêque de Ratisbonne. Peu de mois après son accession au siège de Pierre, le Pape François l’avait confirmé dans sa charge, et l’avait créé cardinal, en février 2014, lors du premier consistoire de son pontificat. Quelques mois plus tard, à l’occasion des synodes sur la famille, les prises de position du Cardinal Müller, largement relayées par la presse, n’étaient pas passées inaperçues. Il avait par exemple fait part de ses réticences face aux ouvertures préconisées par l’exhortation Amoris Laetitia, et avait mis en garde contre les «interprétations confuses» qui pouvaient en être faites, notamment sur l’épineuse question de l’accès à la communion pour les divorcés-remariés. Au-delà de ces faits, ce document toujours présent dans les archives du vatican garde toute sa place dans la réflexion chrétienne
Lettre de la congrégation pour la doctrine de la foi sur l’accès à la communion eucharistique de la part des fidèles divorcés-remariés.
Le message de Fatima a fait coulé beaucoup d’encre, voici comment la Congrégation de la doctrine de la Foi nous propose de réceptionner ces événements et le sens pour notre foi.
Cette première partie est suivie de l’exposition de l’histoire de Fatima et du témoignage des voyants. La réaction de Jean Paul II, les divers témoignages du magistère, et enfin une regard théologique sur les événements.
A une période où l’idée même du démon, du diable, de l’adversaire est mal acceptée et mal reçue, tant par les non croyants que par les catholiques eux-mêmes, l’Église nous rappelle que le démon existe et qu’il continue à nuire.
Un rappel illustré par l’Histoire de la pensée chrétienne sur le démon. Ce document offre au fidèle une base sûre pour réaffirmer la doctrine du Magistère de l’Église.
Dans une « déclaration » du dicastère pour la Doctrine de la foi, intitulée « Fiducia supplicans » (« La confiance suppliante »), publiée ce lundi 18 décembre 2023, le Vatican a pour la première fois autorisé la « bénédiction » des couples homosexuels, et « en situation irrégulière » (vivant en dehors du cadre du mariage traditionnel), mais « sous une forme » qui ne devra pas être « fixée rituellement par les autorités ecclésiales ».
Le pape François l’avait déjà suggéré en octobre dernier, en réponse à un groupe de cardinaux conservateurs qui le sollicitaient sur ces questions – éludées du synode sur l’avenir de l’Église – estimant que l’application de la doctrine de l’Église n’empêchait pas de « faire preuve de bonté, compréhension et tendresse » : « Nous ne pouvons pas être des juges qui ne font que nier, rejeter, exclure », avait insisté le Pontife.
Dans une note intitulée Gestis verbisque – Par des gestes et des mots – approuvée par le pape François et rendue publique le 3 février 2024, le dicastère pour la Doctrine de la foi fait une mise au point sur la célébration des sacrements, rappelant aux prêtres qu’ils ne peuvent modifier la liturgie de leur propre initiative, sous peine de rendre le sacrement « invalide ».
Rome affirme que toute fantaisie est « toujours un acte gravement illicite et mérite une peine exemplaire ». Dans la présentation de cette note technique d’une dizaine de pages, le préfet du dicastère pour la Doctrine de la foi, le cardinal Víctor Manuel Fernández, explique que les membres du dicastère ont approuvé unanimement ce document lors de leur assemblée plénière, le 25 janvier dernier.
Traduction personnelle, texte publié en latin.
Les prières de guérison, de délivrance ou de libération connaissent un essor qui mérite une attention toute particulière. Dans son dernier rapport, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) s’inquiète d’une augmentation des offres suspectes d’emprise à caractère sectaire dans le domaine de la santé.
Du côté de l’Église, la vigilance accrue devant les abus de pouvoir à caractère spirituel a conduit à regarder de plus près ce qui se passe dans des sessions de guérison du type « Agapè » et à en remanier le contenu pour éviter les dérives, voire les drames.
Dans un long article intitulé « La Force de la grâce », et publié le 23/10/2013 dans l’Osservatore Romano, Mgr Gerhard Mueller, le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, rappelle la position traditionnelle de l’Eglise sur le mariage.
Ces propos tenus récemment dans L’Osservatore Romano par le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi à propos de l’indissolubilité du mariage et des divorcés remariés n’ont évidemment rien de surprenant. Continuité doctrinale oblige, même pour un pape réformiste comme François. Que l’on nous permette cependant de poser cette question : une telle rigidité reflète-t-elle vraiment les données du Nouveau Testament ? Regardons-y de plus près. Il ne semble pas contestable que Jésus, juif fidèle à la Torah, ait tenu des propos révolutionnaires sur le divorce, institution tenue pour nécessaire dans toutes les sociétés socialement organisées du Moyen-Orient à cette époque. Nous le savons par les Esséniens de Qumrân, l’amour respectueux de la Torah n’excluait pas la reformulation de certaines parties du Pentateuque. Et Jésus l’a fait : il refuse la répudiation que Moïse avait accordée aux Israélites par humanité.
Intitulée Iuvenescit Ecclesia (“Rajeunir l’Église”), cette lettre est destinée aux évêques pour qu’ils sachent reconnaître les différents charismes au sein des Églises locales, qu’il s’agisse de mouvements, de communautés nouvelles, d’associations diocésaines ou de laïcs.
Comment intégrer les nouvelles réalités charismatiques qui se sont développées après le Concile Vatican II ? Comment mettre en valeur les rapports dynamiques entre les réalités ecclésiales locales et la hiérarchie ? Comment discerner, surtout ces dons pour qu’ils puissent rester fidèles au Magistère et bénéficier d’un caractère ecclésial authentique ?
Autant de questions à laquelle ce texte répond. «Il s’agit d’un cadre conceptuel et spirituel dont la finalité est de rassembler des réalités très diverses», a souligné le père Federico Lombardi. Le texte a été présenté le mardi 14 juin 2016 en Salle de presse par le cardinal Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi et le cardinal Marc Ouellet, préfet de la Congrégation pour les évêques.
La déclaration Inter Insigniores (sur la question de l’admission des femmes au sacerdoce ministériel) a été produite par le Cardinal Franjo Šeper avec la collaboration de l’archevêque Jérome Hamer.
Elle est commandée à la Congrégation pour la doctrine de la foi par le pape Paul VI, qui fait de cette institution héritée de l’Inquisition un organe important pour l’Église catholique en 1965. Elle a notamment le rôle de « défendre la doctrine de la Foi et des moeurs dans l’univers catholique tout entier » et doit donc s’assurer que les enseignements catholiques soient conformes aux valeurs de l’Église. Après avoir approuvé cette déclaration, le pape en ordonne finalement la publication le 15 octobre 1976.
Ce texte s’articule en six points qui expliquent brièvement la position de l’Église catholique sur la place et le rôle de la femme dans cette institution, plus particulièrement sur la question de l’Ordination des femmes dans l’Église catholique.
Le 5 mai 1980, la Congrégation pour la Doctrine de la foi, après de nombreuses consultations avec des spécialistes, a rendu publique sa Déclaration sur l’euthanasie (Iura et bona).
Ce document rappelle le caractère sacré de la vie, don de Dieu, que l’homme ne peut jamais s’approprier. Puisque ce texte est amplement cité par tous les documents ecclésiaux ultérieurs sur l’euthanasie, Croire.com, en partenariat avec la revue « Questions Actuelles » vous propose un résumé suivi d’une mise en perspective de ce texte. Avec les progrès de la médecine, se pose avec une nouvelle acuité le problème de l’euthanasie. L’homme se sent démuni face aux souffrances qu’il est parfois amené à supporter. L’euthanasie lui apparaît alors comme le moyen de faire cesser ces souffrances jugées intolérables. L’euthanasie ? acte posé (ou omis) dans l’intention de donner la mort afin de supprimer la douleur ? est incompatible avec la foi chrétienne, car elle s’oppose à la vie. Dans les situations difficiles, l’Église propose une aide et un accompagnement aimant des souffrants. Elle soutient l’utilisation d’analgésiques pour soulager le malade, même si dans certaines circonstances cela hâte sa mort. L’Église souligne encore l’importance de discerner si un traitement, particulièrement pénible, est proportionné aux bénéfices qu’il peut apporter au malade. Toute décision dans ce domaine doit être prise dans le plus grand respect de la dignité de la personne.
Le concept de « communion », déjà mis en lumière dans les textes du concile Vatican II, convient particulièrement pour exprimer l’intimité du mystère de l’Église et peut certainement être une clé de lecture pour un renouvellement de l’ecclésiologie catholique.
L’approfondissement de la réalité de l’Église comme communion est, en effet, un défi d’une importance particulière, offrant un vaste champ à la réflexion théologique sur le mystère de l’Église, » dont la nature est telle qu’elle permet toujours des recherches nouvelles et plus profondes « .
Libertatis Nuntius mettait en garde contre les risques d’une lecture trop politisée des Écritures, une articulation trop étroite des sciences et de la foi, la valorisation scientifique du marxisme.
Mais en 1986, ce nouveau document de la même congrégation romaine, tout en restant critique, reconnait la validité des théologies de la libération. Elles sont dès lors officiellement reconnues comme faisant partie du patrimoine de toute l’Église. « La théologie de la libération n’est pas seulement opportune, mais utile et nécessaire », déclarait la même année Jean-Paul II dans sa lettre à la Conférence des évêques du Brésil.
Un communiqué du cardinal-préfet et du secrétaire du dicastère pour la Doctrine de la foi apporte des précisions sur le document publié le 18 décembre « Fiducia Supplicans » : la doctrine sur le mariage ne change pas, les évêques peuvent discerner l’application selon le contexte et les bénédictions pastorales ne sont pas comparables aux bénédictions liturgiques et ritualisées.
Texte intégral du Dicastère pour LA DOCTRINE DE LA FOI du 4 Janv 2024.
La présente Instruction de la congrégation pour la doctrine de la foi, de 1984, a un but précis et limité : elle attire l’attention des pasteurs, des théologiens et de tous les fidèles, sur les déviations et les risques de déviation, ruineux pour la foi et pour la vie chrétienne, que comportent certaines formes de théologie de la libération qui recourent, d’une manière insuffisamment critique, à des concepts empruntés à divers courants de la pensée marxiste.
Ce document veut être une actualisation de la « Lettre aux évêques de l’Église catholique sur la pastorale à l’égard des personnes homosexuelles », publiée en 1986 par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi.
La seconde partie traite de leur application à la lumière de l’évolution des mentalités et des lois nouvellement approuvées dans certaines sociétés civiles.
La Congrégation pour la doctrine de la foi et le Dicastère pour le service du développement intégral ont fait paraître le 17 mai 2018 un document intitulé Oeconomicae et pecuniariae quaestiones, considérations pour un discernement éthique sur certains aspects du système économique et financier actuel.
Le texte qui a été salué par le pape François, analyse les ressorts du système économique et financer actuel et suggère des critères de discernement éthique.
« Créée à l’image et ressemblance de Dieu, la personne humaine ne peut trouver sa figure adéquate dans une réduction à sa seule orientation sexuelle. »
L’Église, par la congrégation pour la doctrine de la foi le 1 octobre 1986, transmet à ses évêques un document clair, concis et précis en ce qui concerne l’accompagnement des personnes homosexuelles et l’appréhension de cette tendance.
Comment vivre à la fois son orientation sexuelle et sa foi chrétienne ? Comment l’Église accueille-t-elle et accompagne-t-elle ceux qui se découvrent un amour pour une personne du même sexe ?
La question pourrait paraître aujourd’hui complètement obsolète, mais la situation de clandestinité et de souffrance de bien des personnes homosexuelles dans l’Église est une réalité. L’Église invite les personnes homosexuelles à vivre dans le célibat continent et chasteté.
Conférence » la présence et la mission de l’église dans une société pluraliste » de Mgr Gerhard Ludwig Müller à Cordoba, le 29 Septembre 2014.
Traduction libre de la version espagnole » la presencia y la misión de la iglesia en una sociedad pluralista « .
Gerhard Ludwig Müller, né le 31 décembre 1947 à Mayence, alors en RFA, est un archevêque et cardinal catholique allemand, qui fut préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 2 juillet 2012 au 1er juillet 2017. Il est considéré comme critique de certaines orientations pastorales ou politiques du pape François. Appelé à Rome par Benoît XVI le 2 juillet 2012 alors qu’il était évêque de Ratisbonne. Peu de mois après son accession au siège de Pierre, le Pape François l’avait confirmé dans sa charge, et l’avait créé cardinal, en février 2014, lors du premier consistoire de son pontificat. Quelques mois plus tard, à l’occasion des synodes sur la famille, les prises de position du Cardinal Müller, largement relayées par la presse, n’étaient pas passées inaperçues. Il avait par exemple fait part de ses réticences face aux ouvertures préconisées par l’exhortation Amoris Laetitia, et avait mis en garde contre les «interprétations confuses» qui pouvaient en être faites, notamment sur l’épineuse question de l’accès à la communion pour les divorcés-remariés. Au-delà de ces faits, ce document toujours présent dans les archives du vatican garde toute sa place dans la réflexion chrétienne.
En deux mille ans d’histoire, l’engagement des chrétiens dans le monde s’est réalisé sous des formes diverses.
L’une d’entre elles a été la participation à l’action politique : les chrétiens, affirmait un écrivain ecclésiastique des premiers siècles, «participent à la vie publique comme citoyens». Parmi ses saints, l’Église vénère beaucoup d’hommes et de femmes qui ont servi Dieu par leur engagement généreux dans les activités politiques et gouvernementales. L’un d’entre eux, saint Thomas More, proclamé Patron des responsables de gouvernement et des hommes politiques, a su témoigner jusqu’à la mort de «la dignité inaliénable de la conscience». Bien que soumis à diverses formes de pressions psychologiques, il a refusé tout compromis et, sans renier «sa constante fidélité à l’autorité et aux institutions légitimes» qui l’avait distingué, il a affirmé par sa vie et par sa mort que l’«on ne peut séparer l’homme de Dieu, ni la politique de la morale».
Ce document de 1975 permet d’approfondir le sens de la doctrine chrétienne concernant le mariage et la filiation mais aussi la signification profonde de la sexualité, en particulier celle de la différence sexuelle et celle de la chasteté vécue dans le mariage et dans le célibat.
Chaque fidèle est invité à éclairer sa réflexion par la Parole de Dieu, la théologie, les sciences humaines et le magistère qui intègre ces sources à leur juste place. Cette déclaration est très claire et s’adresse à tous : aux jeunes, aux confesseurs, aux chrétiens et aussi aux artistes et écrivains (des rappels salutaires). Elle aborde l’éthique en matière de sexualité ainsi que toutes les questions délicates comme celles de l’homosexualité, de la fidélité, de l’avortement.
Depuis toujours, l’Église veille à enseigner l’Évangile dans toute sa pureté, à « garder le dépôt » (1Tm 6,20), et donc à éviter que se répandent de fausses interprétations de la Bonne Nouvelle, « des fables et des généalogies sans fin » (1Tm 1,4), un « évangile différent » (Ga 1,6.8.9). S’il paraît inévitable que naissent ici ou là des hérésies (voir 1Co 11,19), il est aussi indispensable de les dénoncer et de les ’anathématiser’ (Ga 1,9).
Le concile Vatican II semble être le premier et le seul de tous les conciles à n’avoir formulé aucun anathème contre des pensées déviantes. Est-ce l’indice d’une faiblesse, ou d’un renouveau herméneutique ? Juste après le Concile, le pape Paul VI a voulu réorganiser la Curie romaine et le rapport du Magistère aux théologiens s’est précisé. Il y a une vingtaine d’années, bien des choses ont évolué dans la Procédure pour l’examen des doctrines, non sans susciter certaines critiques ou des propositions locales complémentaires.
Conférence du Card. Gerhard Ludwig Müller (Université pontificale du Latran, 14 novembre 2016).
Traduction libre de la langue allemande « Was bedeutet Reform in der Kirche? »
Gerhard Ludwig Müller, né le 31 décembre 1947 à Mayence, alors en RFA, est un archevêque et cardinal catholique allemand, qui fut préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 2 juillet 2012 au 1er juillet 2017. Il est considéré comme critique de certaines orientations pastorales ou politiques du pape François. Appelé à Rome par Benoît XVI le 2 juillet 2012 alors qu’il était évêque de Ratisbonne. Peu de mois après son accession au siège de Pierre, le Pape François l’avait confirmé dans sa charge, et l’avait créé cardinal, en février 2014, lors du premier consistoire de son pontificat. Quelques mois plus tard, à l’occasion des synodes sur la famille, les prises de position du Cardinal Müller, largement relayées par la presse, n’étaient pas passées inaperçues. Il avait par exemple fait part de ses réticences face aux ouvertures préconisées par l’exhortation Amoris Laetitia, et avait mis en garde contre les «interprétations confuses» qui pouvaient en être faites, notamment sur l’épineuse question de l’accès à la communion our les divorcés-remariés. Au-delà de ces faits, ce document toujours présent dans les archives du vatican garde toute sa place dans la réflexion chrétienne.
Fondations et implications théologiques du sacrement de réconciliation (Mercredi 4 décembre 2019) de Luis Francisco Ladaria Ferrer.
Traduction libre du document italien » FONDAMENTI E IMPLICAZIONI TEOLOGICHE DEL SACRAMENTO DELLA RICONCILIAZIONE « .
Il est né le 19 avril 1944 à Manacor (Espagne), c’est un prélat catholique espagnol, membre de la Compagnie de Jésus, professeur de théologie à l’université grégorienne et depuis 2017, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi après en avoir été le secrétaire pendant neuf ans. Il est créé cardinal au cours du consistoire du 29 juin 2018.
« Protéger la dignité de la fin de vie signifie exclure tant l’anticipation de la mort que son report par ce qu’on appelle l’ »acharnement thérapeutique » »: c’est ce que rappelle ce document du Saint-Siège d’une vingtaine de pages sur « le soin des personnes dans des phases critiques et terminales de la vie ».
Il présente un refus net de l’euthanasie et de la logique du « rejet » comme de l’acharnement thérapeutique. Il réfléchit à des questions délicates comme la vie pré-natale et des états de conscience réduite. Il réaffirme le droit à l’objection de conscience du personnel soignant. Cette nouvelle « lettre » de la Congrégation pour la Doctrine de la foi sur la fin de vie s’intitule « Le Bon Samaritain ». Elle a été publiée et présentée à la presse mardi 22 septembre 2020. Elle a été approuvée par le pape François le 25 juin dernier et il en a ordonné la publication. Le dicastère avait adopté le texte le 29 janvier. « Samaritanus Bonus » est en date du 14 juillet, mémoire liturgique de S. Camille de Lellis (+1614), prêtre italien, saint patron du personnel soignant. Il disait : « La musique que je préfère, c’est celle que font les pauvres malades lorsque l’un demande qu’on lui refasse son lit, l’autre qu’on lui rafraîchisse la langue ou qu’on lui réchauffe les pieds. » C’est bien l’esprit des soins palliatifs, quand il reste « beaucoup à faire ». Le document réaffirme de fait une « éthique du prendre soin », avec ce principe: « quand guérir est impossible, soigner l’est toujours ». Après l’interdiction de l’euthanasie et du suicide assisté, il y a cette seconde réaffirmation du magistère de l’Eglise : « l’obligation morale d’exclure l’acharnement thérapeutique » (ch. 5 §2).
Les nouvelles procédures « claires et coordonnées », énoncées dans cette « lettre circulaire » devront être fondées sur « l’écoute et la protection » des victimes, une meilleure formation et un suivi des clercs, notamment ceux qui passent d’un diocèse ou d’un séminaire à l’autre. La lettre prévoit aussi l’implication des supérieurs des instituts religieux.
Conférence » La TRADITION comme principe propre de la théologie catholique » de Mgr Gerhard Ludwig Müller du 14 juin 2015.
Traduction libre de la version italienne » La Tradizione come principio proprio della teologia cattolica « .
Gerhard Ludwig Müller, né le 31 décembre 1947 à Mayence, alors en RFA, est un archevêque et cardinal catholique allemand, qui fut préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 2 juillet 2012 au 1er juillet 2017. Il est considéré comme critique de certaines orientations pastorales ou politiques du pape François. Appelé à Rome par Benoît XVI le 2 juillet 2012 alors qu’il était évêque de Ratisbonne. Peu de mois après son accession au siège de Pierre, le Pape François l’avait confirmé dans sa charge, et l’avait créé cardinal, en février 2014, lors du premier consistoire de son pontificat. Quelques mois plus tard, à l’occasion des synodes sur la famille, les prises de position du Cardinal Müller, largement relayées par la presse, n’étaient pas passées inaperçues. Il avait par exemple fait part de ses réticences face aux ouvertures préconisées par l’exhortation Amoris Laetitia, et avait mis en garde contre les «interprétations confuses» qui pouvaient en être faites, notamment sur l’épineuse question de l’accès à la communion pour les divorcés-remariés. Au-delà de ces faits, ce document toujours présent dans les archives du vatican garde toute sa place dans la réflexion chrétienne.
La Congrégation pour la Doctrine de la Foi a publié, le 31 juillet 2003, ce texte.
Il conteste le bien fondé de vouloir légitimer les « unions » homosexuelles et, de ce fait, d’en faire un modèle social qui aurait la même valeur que l’union fondée entre un homme et une femme. La loi créant, habituellement, la réalité sociale, il est impossible de laisser se développer des législations qui sont contraires à la loi naturelle(n. 1) en donnant un statut juridique à des « unions » homosexuelles.
La Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF) a publié le 16 juillet 2020 un vademecum, un guide, ayant pour objectif «d’accompagner et guider pas à pas quiconque doit chercher la vérité» face à un cas d’abus sexuel sur mineur, a annoncé le Bureau de presse du Saint-Siège.
Non normatif, le texte est conçu comme un manuel «à la disposition des évêques, des supérieurs religieux, des tribunaux ecclésiastiques, des juristes et (…) des responsables des centres d’écoute mis en place par les conférences épiscopales», explique Mgr Giacomo Morandi, secrétaire de la CDF, dans un article joint au communiqué.
Traduction libre de la conférence en langue italienne de « La prospettiva e il concetto di verità in Deus caritas est » (La perspective et le concept de vérité dans Deus Caritas est) de Gerard Müller à Pontificia Università Lateranense le 19 novembre 2015.
Gerhard Ludwig Müller, né le 31 décembre 1947 à Mayence, alors en RFA, est un archevêque et cardinal catholique allemand, qui fut préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 2 juillet 2012 au 1er juillet 2017. Il est considéré comme critique de certaines orientations pastorales ou politiques du pape François. Appelé à Rome par Benoît XVI le 2 juillet 2012 alors qu’il était évêque de Ratisbonne. Peu de mois après son accession au siège de Pierre, le Pape François l’avait confirmé dans sa charge, et l’avait créé cardinal, en février 2014, lors du premier consistoire de son pontificat. Quelques mois plus tard, à l’occasion des synodes sur la famille, les prises de position du Cardinal Müller, largement relayées par la presse, n’étaient pas passées inaperçues. Il avait par exemple fait part de ses réticences face aux ouvertures préconisées par l’exhortation Amoris Laetitia, et avait mis en garde contre les «interprétations confuses» qui pouvaient en être faites, notamment sur l’épineuse question de l’accès à la communion pour les divorcés-remariés. Au-delà de ces faits, ce document toujours présent dans les archives du vatican garde toute sa place dans la réflexion chrétienne.
Clergé
Le 24 juin 1967, en la fête de saint Jean-Baptiste, le pape Paul VI publiait l’encyclique « Sacerdotalis Caelibatus » annoncée et attendue depuis la fin du Concile. Cette date n’était sans doute pas fortuite. C’était la fête personnelle du pape Montini.
Le cardinal Hummes publia 60 ans plus tard ces quelques réflexions.
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« La conversion pastorale est un des thèmes fondamentaux de la nouvelle étape de l’évangélisation que l’Eglise est appelée aujourd’hui à promouvoir » indique le document publié par la Congrégation pour le Clergé ce lundi 20 juillet, afin que « les communautés chrétiennes soient toujours plus des centres qui favorisent la rencontre avec le Christ ».
L’instruction de 25 pages intitulée La conversion pastorale de la communauté paroissiale au service de la mission évangélisatrice de l’Eglise a pour vocation d’expliquer les modalités de mise en oeuvre des impulsions données par le pape François depuis le début de son pontificat
Congrégation pour le clergé. Directoire général pour la Catéchèse du 15 août 1997.
Il s’agit d’un texte sur L’enseignement de la catéchèse publié par la Congrégation pour le clergé. Le document est composé d’un exposé préliminaire ; qui donne des indications aidant à l’interprétation et à la compréhension des situations humaines ; et de cinq parties. Le but de ce Directoire est d’énoncer les principes fondamentaux théologico-pastoraux, tirés du Magistère de l’Eglise et spécialement du Concile Oecuménique Vatican II
À la suite du synode sur la formation des prêtres, la Congrégation pour le clergé publia en 1994 un directoire pour le ministère et la vie des prêtres, qui visait essentiellement à répondre aux principales interrogations, d’ordre doctrinal, disciplinaire et pastoral, qui se posent aux prêtres, particulièrement face aux défis de la nouvelle évangélisation.
En 2013, a Congrégation a estimé opportun de publier une nouvelle édition de ce directoire, que vous trouverez dans Ictus sous le nom de DIRECTB.
À la suite du synode sur la formation des prêtres, la Congrégation pour le clergé publia en 1994 un directoire pour le ministère et la vie des prêtres, qui visait essentiellement à répondre aux principales interrogations, d’ordre doctrinal, disciplinaire et pastoral, qui se posent aux prêtres, particulièrement face aux défis de la nouvelle évangélisation.
20 ans après, dans la foulée de l’année sacerdotale proclamée par Benoît XVI, la Congrégation a estimé opportun de publier une nouvelle édition de ce directoire, pour mieux répondre aux circonstances actuelles. Si la structure globale du directoire reste la même, non seulement en ce qui concerne ses trois axes, portant respectivement sur l’identité du prêtre, la spiritualité sacerdotale et la formation permanente, mais aussi sur la subdivision de ceux-ci, la nouveauté se situe dans l’utilisation de sources postérieures à 1994, particulièrement du pape Benoît XVI. La tonalité du document a également quelque peu changé. Là où l’introduction du directoire de 1994 parlait de «proposer des éléments pratiques qui puissent servir pour des initiatives contribuant à l’unité d’action», l’introduction du directoire de 2013 a une tonalité plus dramatique, insistant sur le fait que les prêtres sont «toujours plus désorientés, plongés dans un monde difficile et en continuelle mutation» et évoquant la «perte du sens du caractère surnaturel de la mission sacerdotale».
Dans cet esprit, le nouveau directoire insiste fortement sur le devoir du prêtre de participer à l’évangélisation, dénonce la tentation du démocratisme et de l’égalitarisme, et promeut une spiritualité de communion chez les prêtres, qui peut aller jusqu’à s’incarner dans une vie commune. L’approfondissement de la spiritualité sacerdotale est aussi rendue plus urgente du fait du défi des sectes et des nouveaux cultes. Le directoire insiste encore sur l’importance de bien célébrer l’eucharistie et la nécessité de se confesser fréquemment, et réaffirme la ferme volonté de l’Église de maintenir le célibat sacerdotal dans le rite latin. Quant à la formation permanente, elle doit couvrir tous les domaines de la vie du prêtre, humain, spirituel, intellectuel et pastoral. Le document aborde aussi des aspects très concrets, comme l’obéissance ou l’importance de l’habit ecclésiastique.
31 ans que la formation des prêtres n’avait pas été repensée à l’échelle de l’Eglise. Le 8 décembre 2016, la Congrégation pour le Clergé a changé la donne. Un texte qui muscle la formation des prêtres face aux défis de notre temps. Le décret entend ajuster la formation des prêtres à l’évolution des sociétés. D’où un appel à des adaptations : intégration de la révolution numérique, mais aussi appel à la fermeté de sélection à l’entrée des séminaires, interdits aux personnes homosexuelles. Autre nouveauté du temps : les migrants. Le pape François leur propose une « intégration culturelle progressive ». En outre, il prône un « dialogue » avec les séminaires pour que l’homogénéisation des formations ne gomme pas la spécificité de chaque formation
Déclaration commune de la Congrégation pour l’éducation catholique et la Congrégation pour le Clergé à propos de la formation, le ministère et la vie des diacres permanents du 22 février 1998.
Ce document comprend trois parties complémentaires :
1. Déclaration commune et Introduction ; (IFV);
2. La Formation des diacres permanents (FDP);
3. Le Ministère et la Vie des diacres permanents (VDP).
Ce document (IVF) émane de la CONGREGATION POUR L’EDUCATION CATHOLIQUE et de la CONGREGATION POUR LE CLERGE.
Instruction co-signée par 8 congrégations romaines sur quelques questions concernant la collaboration des fidèles laïcs au ministère des prêtres du 15 Août 1997. Ce document comprend deux parties :
L’instruction rappelle les principes théologiques avant d’étudier les cas concrets concernant la collaboration des ministres non ordonnés au ministère des prêtres, « dans le respect des limites fixées par la nature des sacrements et par la diversité des charismes et des fonctions ecclésiales ». Cette collaboration de fidèles à la liturgie, à l’enseignement religieux, à l’animation des paroisses, à la préparation aux sacrements provoquent aussi des tensions, d’autant plus grandes que ces laïcs, parfois qualifiés d’« assistants pastoraux », sont professionnalisés et rémunérés, comme en Allemagne, en Suisse, aux Pays-Bas et de plus en plus en France. La frontière est devenue floue entre le ministère « ordonné» du prêtre et du diacre (qui ont reçu le sacrement de l’« ordre ») et le rôle du laïc qui n’est pas ordonné. Nombre de théologiens et d’évêques réclamaient depuis longtemps une clarification, en dehors même des voies explorées par les contestataires, comme la fin de l’obligation du célibat des prêtres et l’accès des femmes aux ministères ordonnés.
Par la Congrégation pour le Clergé.
« Le prêtre, maître de la parole, ministre des sacrements et guide de la communauté en vue du troisième millénaire chrétien », le 19 mars 1999.
Une réponse aux principales interrogations d’ordre doctrinal, disciplinaire et pastoral auxquelles sont confrontées les prêtres face aux défis de la nouvelle évangélisation. Des conseils sont délivrés pour les aider à approfondir leur propre identité et leur spiritualité personnelle, ainsi qu’à se former en continu, afin d’assumer leur vocation dans la joie. « Il est fondamental que chaque prêtre redécouvre quotidiennement l’absolue nécessité de sa sainteté personnelle. (…) Cet effort se concrétise dans la recherche d’une profonde unité de vie qui conduit le prêtre à essayer d’être et de vivre comme un autre Christ dans toutes les circonstances de sa vie.»
Déclaration commune de la Congrégation pour l’éducation catholique et la Congrégation pour le Clergé à propos de la formation, le ministère et la vie des diacres permanents du 22 février 1998.
Ce document comprend trois parties complémentaires :
Culte Divin
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Le 3 décembre 2021, Mgr Arthur Roche, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a écrit une Lettre aux présidents des Conférences des évêques sur le Rite d’institution des catéchistes qui entrera en vigueur à partir du 1er janvier 2022 qui accompagne la publication de l’Editio typica du Rite d’institution des catéchistes afin de proposer « quelques notes sur le ministère du catéchiste, sur les conditions requises et sur la célébration du rite d’institution ».
Cette lettre est suivie des deux Lettres Apostoliques du Pape François : « Spiritus Domini », du 10 janvier 2021 (Chp. 200) et « Antiquum ministerium », du 10 mai 2021 (Chp. 300).
La Constitution sur la liturgie fut le premier texte voté par les évêques au concile Vatican II. Qui plus est, à une écrasante majorité. C’est assez dire à quel point ce thème a été une préoccupation majeure des évêques – comme il l’est encore aujourd’hui.
Depuis lors, un mouvement considérable de réforme a été mis en oeuvre qui a modifié le visage du culte catholique et les habitudes des pratiquants.
Mais les pères conciliaires n’ont pas perdu de vue que «la vie spirituelle n’est pas enfermée dans la participation à la seule liturgie» (Sacrosanctum Concilium n° 12). Si cette dernière est et demeure «la source et le sommet de toute la vie de l’Église», cette vie elle-même est riche de multiples formes d’expression, notamment celles de la piété populaire.
Une juste articulation entre «piété populaire» et «liturgie» est à chercher : c’est ce à quoi voudrait aider ce Directoire, élaboré par la Congrégation pour le culte divin.
Un document indispensable pour mieux comprendre la variété et la richesse des formes de la prière que l’on rencontre dans l’Église.
« Liturgiam authenticam » est une instruction de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, datée du 28 mars 2001.
Cette instruction inclue l’exigence selon laquelle, dans les traductions des textes liturgiques ou de la Bible, « le texte original, dans la mesure du possible, doit être traduit intégralement et de la manière la plus exacte, sans omissions ou ajouts en termes de contenu, et sans paraphrases ni brouilles. Toute adaptation aux caractéristiques ou à la nature des différentes langues vernaculaires doit être sobre et discrète. »
Liturgiam authenticam a établi la Nova Vulgata comme « le point de référence en ce qui concerne la délimitation du texte canonique ». En ce qui concerne la traduction des textes liturgiques, l’instruction dispose ce qui suit: « En outre, dans la préparation de ces traductions à usage liturgique, la Nova Vulgata Editio, promulguée par le Siège apostolique, doit normalement être consultée en tant qu’outil auxiliaire, d’une manière décrite ailleurs dans cette instruction, afin de maintenir la tradition d’interprétation propre à la liturgie latine. Il est avantageux d’être guidé par la Nova Vulgata partout où il est nécessaire de choisir, parmi les différentes possibilités de traduction, celle qui est la plus appropriée pour exprimer la manière dont un texte a traditionnellement été lu et reçu dans le cadre de la tradition liturgique latine ».
Cependant, l’instruction précise (n. 24) que les traductions ne doivent pas être faites à partir de la Nova Vulgata, mais « doivent être faites directement à partir des textes originaux, à savoir le latin, en ce qui concerne les textes de la composition ecclésiastique, ou l’hébreu, l’araméen ou le grec, selon le cas, en ce qui concerne les textes de l’Écriture sainte ». Par conséquent, l’instruction ne recommande pas une traduction de la Bible ou de la liturgie basée sur le latin Nova Vulgata ; la Nova Vulgata doit simplement être utilisée comme un « outil auxiliaire » (n. 24).
Discours du Saint Père à la congrégation pour le culte divin le 21 septembre 2001.
Le Saint-Père adressait un message à l’occasion de l’assemblée plénière de la congrégation pour le culte divin, consacré à la religiosité populaire.
Redemptionis Sacramentum (le sacrement de la Rédemption) précise les règles pratiques à suivre lorsqu’on célèbre la messe.
Il concerne principalement le rite romain sous sa forme ordinaire, mais il donne aussi les ajustements nécessaires quant aux autres rites liturgiques latins ou à l’adoration eucharistique en dehors de la messe. Il est émis, le 25 mars 2004, par la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements et il est consultable sur le site internet du Vatican. L’instruction prend place dans une succession d’initiatives romaines pour promouvoir le sacrement de l’Eucharistie dans la continuité du Jubilé de l’an 20001. C’est ainsi que le pape Jean-Paul II publie l’encyclique Ecclesia de Eucharistia pour rappeler avec force les éléments essentiels de la foi catholique concernant l’eucharistie : la réactualisation du sacrifice rédempteur du Christ, la présence réelle de celui-ci dans le sacrement, le rôle du prêtre, ministre de l’eucharistie et l’impact de l’eucharistie sur la vie chrétienne.
SUMMA DECRETORUM S. RR. C.
DE EXPOSITIONE ET BENEDICTIONE SS. SACRAMENTI.
Commission Biblique Pontificale
Ce document, issu de la Commission Biblique Pontificale (CPB) a été présenté au pape Jean-Paul II par le cardinal Joseph Ratzinger au cours de l’audience du vendredi 23 avril 1993, à l’occasion de la commémoration du centenaire de l’Encyclique de Léon XIII « Providentissimus Deus » et du cinquantenaire de l’Encyclique de Pie XII « Divino afflante Spiritu ».
Comme le soulignait le pape Benoît XVI dans l’exhortation post-synodale Verbum Domini, les notions d’« inspiration » et de « vérité » de l’Écriture Sainte méritent une clarification.
D’une part, le vocabulaire de l’inspiration est peu utilisé par les textes bibliques. Il convient donc de mettre au jour la manière dont les traditions bibliques rendent compte de leur provenance divine. D’autre part, la vérité de l’Écriture est liée à sa qualité de texte inspire. Elle a cependant fait l’objet de débats lies aux questionnements issus des sciences historiques, mais aussi au contenu de certains textes, qui choquent du fait de leur violence, ou qui apparaissent éloignés des réalités du monde contemporain.
Ce document de la Commission biblique pontificale (CBP) met au jour la dimension avant tout christologique de la vérité de l’Écriture, et tente de rendre compte de ces difficultés d’interprétation des traditions bibliques.
Du point de vue de la méthode, ce document, de la Commission Biblique Pontificale (CBP) de 2008, est un bel exemple de la façon dont l’Ecriture se déploie selon les « quatre sens », la lettre – le sens littéral, historique – étant riche à la fois d’un sens qui dit la foi, d’un sens « moral » et d’un sens qui renvoie aux fins dernières, à l’eschatologie. Ici, le sens moral est déployé de façon à faire aimer la morale à toutes les paroisses qui se lanceront dans la découverte de ce document très abordable et qui offre enfin des clefs pour les dilemmes concrets de la société contemporaine.
Dans son travail, la Commission Biblique Pontificale ne pouvait pas faire abstraction de notre contexte actuel, où le choc de la Shoah a mis toute la question dans une autre lumière.
Deux problèmes principaux se posent : les chrétiens peuvent-ils, après tout ce qui est arrivé, avoir encore tranquillement la prétention d’être des héritiers légitimes de la Bible d’Israël ? Ont-ils le droit de continuer à proposer une interprétation chrétienne de cette Bible ou ne doivent-ils pas plutôt renoncer avec respect et humilité à une prétention qui, à la lumière de ce qui est arrivé, doit apparaître comme une usurpation ? La deuxième question se rattache à la première : la façon dont le Nouveau Testament lui-même présente les Juifs et le peuple juif n’a-t-elle pas contribué à créer une hostilité contre le peuple juif, qui a fourni un appui à l’idéologie de ceux qui voulaient anéantir Israël ?
La mission de la Commission Biblique Pontificale consistait à formuler des principes pour une intelligence du mystère du Christ dans les deux Testaments.
Il convenait d’abord de présenter un bilan des voies d’approche expérimentées depuis le xixe siècle. Cet inventaire révèle que la christologie a été successivement et quelquefois simultanément conçue comme une histoire de Jésus, comme une page de la science des religions, comme un morceau d’expérience humaine, comme un message social, enfin comme l’expérience d’un kérygme. Toutes ces optiques ont leur part de légitimité, mais il apparaît à la Commission qu’une véritable christologie doit partir de perspectives sotériologiques, lesquelles sont déjà consignées dans l’Ancien Testament sous la forme de la promesse de l’alliance ainsi que des médiations de la royauté, des prophètes et des sage (traduction libre).
Une des questions ecclésiologiques les plus urgentes à l’heure actuelle est sans doute celle de «la diversité dans l’unité, au-delà de la division et de l’uniformité».
Invitée à interroger l’Écriture sur «les rapports entre les Églises locales ou les groupes particuliers (d’Église, sans doute?) et l’universalité d’un seul peuple de Dieu», la Commission Biblique Pontificale a élaboré, en 1988, un texte officiel qui synthétise les travaux de chacun de ses vingt membres. Ces travaux embrassent toute l’économie des deux Testaments, en un survol plus historique pour le premier (les Patriarches, la monarchie, la tradition sacerdotale, la période post-exilique, le judaïsme contemporain de Jésus), plus littéraire pour le Nouveau Testament (corpus paulinien, Actes des Apôtres, IVe évangile et Apocalypse).
Dans cette Instruction sur la vérité historique des évangiles (1964), la Commission Biblique Pontificale a reconnu la valeur de certaines thèses vulgarisées par R. Bultmann.
Tout en en soulignant les limites, ce document intègre dans l’exégèse catholique plusieurs apports de la Formgeschichte, en soulignant en particulier que les évangiles relèvent d’un genre littéraire sans devancier et sans successeur : ce sont des documents qui racontent tout à la fois l’histoire du personnage Jésus, sa relecture pascale par les premiers chrétiens, et l’œuvre créatrice propre à chacun des évangélistes. Cela signifie que les récits évangéliques ont une épaisseur historique particulière, qui tient à ces trois niveaux : l’histoire de Jésus, le credo des premiers chrétiens qui s’y enracine, et le travail rédactionnel de chacun des auteurs des évangiles.
Un consensus s’est dégagé sur cette base – ce qui n’empêche pas les divergences dans l’appréciation de l’historicité de tel ou tel récit (traduction propre).
La Commission Biblique Pontificale propose une mise au point qui vient à point nommé.
Elle rappelle que l’exégèse biblique est une tâche indispensable dans l’Église pour le bien de tous. Dans cette exégèse, la méthode istorico- critique est nécessaire pour aborder une révélation historique qui «ne se présente pas comme une révélation directe de vérités intemporelles», mais elle ne peut prétendre au monopole et doit être complétée par des approches synchroniques.
Tout en étant rigoureusement scientifique, enfin, l’exégèse catholique doit maintenir son identité de discipline théologique ayant pour but principal l’approfondissement de la foi sans se perdre «dans les sables d’une analyse hypercritique», ce qui la détournerait de sa fonction vitale (traduction propre).
Le pape François a exhorté le Commission biblique pontificale à préparer un document ayant pour thème « l’anthropologie biblique « . L’Eglise a toujours fondé son message sur la Sainte Ecriture (Dei Verbum 24), mais jusqu’à présent, aucun écrit officiel n’était apparu offrant un aperçu complet de ce qu’est l’homme selon la Bible. La tâche confiée, certes importante, exigeait un examen attentif de la manière de proposer ce que l’Ecriture affirme au sujet de l’anthropologie. Ce document est paru le 30 septembre 2019 en coréen et italien sur le site du vatican.
Commission Théologique Internationale
Cette étude voudrait éclaircir la notion de succession apostolique, d’une part parce que la présentation de la doctrine catholique sur ce sujet apparaît d’une utilité majeure pour la vie de l’Église catholique, et, d’autre part parce que le dialogue œcuménique l’exige.
Le dialogue œcuménique s’est, en effet, ouvert un peu partout dans le monde et il est promis à un avenir fructueux si les catholiques y participent dans la idélité à leur identité catholique. Nous voudrions donc présenter la doctrine de l’Église catholique relative à la succession apostolique pour conforter nos frères dans la foi, et pour aider au développement et au mûrissement du dialogue œcuménique
Dès 1983 un projet de recherche fut mis en chantier pour clarifier deux problèmes : Quel est le contenu des « sciences-connaissances » du Christ, Dieu et homme ? Quel est le statut psychologique et ontologique de celles-ci ? Pour reprendre l’ancienne terminologie technique, on a pu dire : « Quid scitur a lesu Christo ? » « Quomodo haec cognoscuntur a Verbo Incarnato ? ».
Ce document de la commission théologique internationale de 1985 se limite à la première des deux questions posées, au quid seulement, et laisse à des recherches ultérieures le quomodo. Elle sera confiée à une sous commission dont le président était le R.P Chr Von Schonborn (Fribourg – Suisse).
L’étude du thème « Le christianisme et les religions » a été proposée à une grande majorité par les membres de la Commission théologique internationale. Cette étude a été confiée à une sous-commission composée des membres suivants : S. Exc. Mgr Norbert Strotmann Hope, m.s.c. ; Rév. Barthélemy Adoukonou ; Rév. Jean Corbon ; R.P. Mário de França Miranda, s.j. ; Rév. Ivan Golub ; R.P. Tadahiko Iwashima, s.j. ; R.P. Luis F. Ladaria, s.j. (qui en assurait la présidence) ; Rév. Hermann J. Pottmeyer ; R.P. Andrzej Szostek, m.i.c. Les discussions générales sur le sujet ont été menées lors de plusieurs réunions de cette sous-commission et durant les sessions plénières de la CTI tenues à Rome en 1993, 1994 et 1995. Quelle est la valeur salvifique des religions ? Quel est le sens universel de Jésus Christ ? Pour guider la recherche actuelle, la Commission théologique définit les présupposés de toute réflexion théologique authentiquement chrétienne et avance des propositions théoriques et pratiques.
Ce document, de la CTI, rend compte des trente thèses approuvées « in forma specifica » et des « seize thèses » du P. Martelet.
Dans ce document de 1977, la Commission théologique internationale, dépassant le seul contexte français, indiquait : « Dans une société pluraliste, l’autorité de l’État peut imposer aux fiancés une formalité officielle qui rende publique devant la société politique leur condition d’époux (…). Il faut cependant en instruire d’une manière adéquate les fidèles catholiques, cette formalité officielle que l’on appelle couramment mariage civil ne constitue pas pour eux un mariage véritable ».
Une telle déclaration peut constituer un point de départ pour une réflexion sur le mariage civil. De fait, la France, avec 9 autres pays européens, bien que déclarée société laique, n’en reconnait pas moins la réalité du mariage religieux puisqu’elle déclare celui-ci illicite dès lors que les époux ne sont pas passé devant le maire (depuis 1792 – cf. aussi l’article 433-21 du Code pénal).
Seule exception notable à cette stricte séparation entre mariages civil et religieux : la reconnaissance par la loi de mariages religieux célébrés à l’étranger, lorsque la loi du lieu de célébration du mariage y renvoie ou donnait aux époux le choix entre le mariage civil et le mariage religieux.
La dignité de la personne humaine est souvent entendue comme renvoyant aux champs sémantiques de la morale, des valeurs, voire de la religion, toutes choses qui, aujourd’hui, sont marquées du sceau de la sphère privée et du relativisme.
Son statut en droit montre que son rôle est bien plus fondamental et en réalité structurel.
L’étymologie de ce mot est à cet égard éclairante. On la recherche souvent du côté du latin « dignitas », de « decere », convenir, être convenable. L’origine grecque est plus riche, où l’équivalent du mot « dignité » est axios (« ce qui est convenable, ce qui vaut, ce qui mérite »), et qui a donné également « axiome ».
Or la dignité est structurellement, du point de vue juridique, un axiome. Etant image de Dieu révélée par le Verbe, l’homme acquiert sa dignité dans la création. « La dignité de la personne humaine s’enracine dans sa création à l’image et à la ressemblance de Dieu ». En raison de cette dignité personnelle, présente de manière égale en tout homme, la personne humaine est « la seule créature sur terre que Dieu a voulue pour elle-même », formule souvent reprise par Jean-Paul II, qui se fonde sur les capacités spirituelles d’intelligence et de volonté, princi- palement, par le don de la liberté, la vraie liberté étant dans l’homme « le signe privilégié de l’image divine ».
L’étude du thème du diaconat avait déjà été entreprise par la Commission théologique internationale au cours de son précédent quinquennium (1992-1997).
Les travaux s’étaient déroulés au sein d’une sous-commission destinée à analyser quelques questions ecclésiologiques, présidée par le Rév. Max Thurian et composée des membres suivants : S. Exc. Mgr Christoph Schönborn, o.p. ; S. Exc. Mgr Joseph Osei-Bonsu ; Rév. Charles Acton ; Mgr Giuseppe Colombo ; S. Exc. Mgr Joseph Doré, p.s.s. ; Prof. Gösta Hallonsten ; R.P. Stanislaw Nagy, s.c.i. ; Rév. Henrique de Noronha Galvão.
Mais puisque cette sous-commission n’avait pu mener ses travaux jusqu’à la production d’un texte, l’étude fut reprise au cours du quinquennium suivant sur la base du travail accompli antérieurement. Pour ce faire, on forma une nouvelle sous-commission présidée par le Rév. Henrique de Noronha Galvão et composée des membres suivants : Rév. Santiago Del Cura Elena ; Rév. Pierre Gaudette ; Mgr Roland Minnerath ; S. Exc. Mgr Gerhard Ludwig Müller ; S. Exc. Mgr Luis Antonio G. Tagle ; Rév. László Vanyo.
Les discussions générales sur ce thème se sont déroulées au cours des nombreuses rencontres de la sous-commission ainsi que durant les sessions plénières de la Commission elle-même qui se sont tenues à Rome de 1998 à 2002.
De façon sans doute exhaustive, ce document recense les textes doctrinaux de référence, avec le souci de montrer les enjeux des points controversés. En lien avec cette exploration théorique, le texte esquisse aussi une typologie pour repérer la diversité concrète de l’expérience diaconale, telle qu’elle prend progressivement son visage dans les différentes régions du monde.
Selon une opinion largement partagée aujourd’hui, il existerait un rapport nécessaire entre le monothéisme et les guerres de religion. Pour beaucoup de nos contemporains en effet, les « trois monothéismes » seraient à priori fauteurs de violence et d’intolérance.
Comment ne pas voir à quel point un pareil jugement falsifie la penséée authentique du christianisme sur le Dieu unique et son messsage de paix, et combien il fausse notre regard sur la Révélation biblique ?
L’athéisme dogmatique est devenu marginal, même si, sous sa forme scientiste, il imprègne la mentalité séculière commune, mais, dans une culture gagnée au relativisme, il passe paradoxalement pour une sorte de fanatisme religieux. On ne s’attaque donc plus tant à Dieu qu’à l’homo religiosus.
Le préjugé s’étant répandu que le relativisme est la seule philosophie qui soit accordée aux exigences de la démocratie libérale, tout comportement qui se réfère à une vérité transcendante, universelle et absolue, est perçu comme une menace pour la paix civile.
La foi religieuse est dénoncée comme une pathologie sociale. Avec courage et sans craindre les objections, la Commission Théologique Internationale s’empare ici de cette question brûlante.
L’un des objectifs que le Saint-Père fixe à l’année jubilaire est » une conversion de la mémoire « , à travers l’engagement dans des démarches de réconciliation. »
Ce document nous présente les critères bibliques, théologiques, historiques et pastoraux dont nous avons besoin pour vivre authentiquement la repentance.
» Le Carême, dans sa perspective pénitentielle, est un moment favorable pour approfondir et réaliser une telle expérience spirituelle de conversion. Puissent nos communautés chrétiennes le découvrir et le vivre de façon privilégiée ! » Mgr Louis-Marie Billé. Président de la Conférence des Evêques de France.
À côté de cette attitude autocritique de l’Église qui fait sans cesse son propre « mea culpa », il faut aussi constater que l’Église catholique – malgré ses péchés qui sont indéniables et plus que visibles – reste cependant l’Église sainte.
À travers sa demande de pardon et le document de la commission théologique, l’Église d’aujourd’hui ne condamne pas celle d’hier. Bien plus, elle reconnaît que ses propres manquements actuels trouvent leur racine dans le passé. L’Église est tout à fait consciente du fait que du péché réside en elle, elle a toujours lutté contre le fait que l’on se représente l’Église comme un endroit où il n’y aurait de place que pour les saints.
Le thème « L’espérance du salut pour les enfants qui meurent sans baptême » a été confié à l’étude de la Commission théologique internationale.
Afin de préparer cette étude, une sous-commission a été constituée ; elle comprenait les membres suivants : S. Exc. Mgr Ignazio Sanna ; S. Exc. Mgr Basil Cho Kyu-man ; Rév. Peter Damian Akpunonu ; Rév. Adelbert Denaux ; R.P. Gilles Emery, o.p. ; Mgr Ricardo Antonio Ferrara ; Rév. István Ivancsó ; Mgr Paul McPartlan ; R.P. Dominic Veliath, s.d.b. (président) ; Soeur Sara Butler, m.s.b.t.
La discussion générale du thème a eu lieu durant les sessions plénières de la CTI qui se sont tenues à Rome en octobre 2005 et octobre 2006.
La Commission théologique internationale a étudié la question du sort des enfants non baptisés, en gardant à l’esprit le principe de la « hiérarchie des vérités », ainsi que d’autres principes théologiques tels la volonté salvifique universelle de Dieu, le caractère unique et indépassable de la médiation du Christ, la sacramentalité de l’Église dans l’ordre du salut et la réalité du péché originel.
Dans le contexte contemporain de relativisme culturel et de pluralisme religieux, le nombre d’enfants non baptisés s’est considérablement accru, de sorte qu’il est devenu urgent de réfléchir à la possibilité du salut pour ces enfants. L’Église est consciente que ce salut ne peut se réaliser que dans le Christ, par l’Esprit.
Voilà sans aucun doute l’un des enjeux du pontificat de Benoît XVI : renouveler la présentation de la loi naturelle, fondement de l’enseignement moral de l’Église catholique. Il s’agit de répondre au défi d’une société qui hésite aujourd’hui à affirmer l’existence de valeurs universelles pour l’homme, indépendantes du consensus, de la mode ou du temps.
Face à ce qu’il nomme le relativisme – terme par lequel il dénonce la remise en cause de principes imprescriptibles aux yeux de l’Église (sexualité différenciée, dignité de toute vie de la conception à la mort naturelle, égale dignité de tout homme et femme), le pape appelle à une réflexion plus approfondie par les catholiques de la loi naturelle.
Benoît XVI a donc chargé la Commission théologique internationale (CTI) de s’atteler à ce travail. La Commission vient de publier la synthèse de cinq années de réflexion sur le sujet. Nous reproduisons ici, avec quelques rares ajustements et des adaptations éditoriales, le texte original français qui a été publié aux éditions du Cerf : Commission théologique internationale, À la recherche d’une éthique universelle. Nouveau regard sur la loi naturelle, Paris, 2009, p.13-135.
Dans l’annexe de l’édition française, le fr. Serge-Thomas Bonino, o.p., qui a présidé la sous-commission en charge de ce thème, en explique la genèse et en donne d’utiles clés de lecture. Il importe de bien situer le statut d’un tel texte, produit par un collège de théologiens nommés par le Siège apostolique et dont les travaux obéissent à un cahier des charges fixé par celui-ci. La CTI constitue une aide au Magistère ecclésial, fournie par des théologiens en quelque manière choisis par lui. Les documents qui en proviennent ne sont donc à considérer ni comme une oeuvre théologique autonome et spontanée, ni comme des textes à proprement parler magistériels : l’approbation de l’autorité du Saint-Siège dont ils jouissent constitue une garantie de conformité à l’enseignement constant de l’Église mais non l’indice certain d’une expression optimale. Malgré les efforts de « lissage » rédactionnel, l’aspect composite reste souvent sensible, celui-ci ne manquant pas même à des documents conciliaires relevant d’un Magistère divinement assisté. Il est donc bien licite d’en faire une lecture théologique critique, au noble sens de cet adjectif, en en saluant les apports et en marquant les limites
On peut dire que la relation entre la foi chretienne et les cultures de l’humanite est aussi vieille que l’eglise. Il n’y a pas longtemps, cependant, un nouveau mot, le neologisme « inculturation » est apparu dans des discussions relatives a la missiologie.
Un effort doit etre fait pour voir ce que ce mot signifie. On le comprend en general comme l’effort d’adaptation du message chretien aux modes de pensee et d’action des peuples non-occidentaux. Il differe de l’acculturation qui designe dans l’anthropologie culturelle la rencontre avec une autre culture que la sienne propre. Il renvoie a la relation dynamique entre l’eglise locale et sa propre culture, c’est-a-dire la culture de son peuple.
Finalement, « l’inculturation est l’integration de l’experience chretienne d’une eglise locale dans la culture du peuple qui la constitue, de telle maniere que cette experience s’exprime dans des elements de cette culture, mais devient, a l’interieur de cette culture, une force qui l’anime, l’oriente et la renouvelle, de facon a creer une nouvelle cohesion et communion, non seulement dans la culture en question, mais aussi comme un enrichissement de l’eglise universelle ». Cette notion d’inculturation ne concerne pas seulement les « jeunes eglises », mais aussi, par exemple, l’église catholique en France.
Lors de sa session plénière d’octobre 1989, la Commission théologique internationale (CTI) a approuvé le document «L’interprétation des dogmes». Ce texte avait été préparé sous la direction de Mgr Walter Kasper (actuellement cardinal et président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens). Croire.com, en partenariat avec la revue «Questions Actuelles», vous propose un résumé suivi d’une mise en perspective des extraits de ce texte qui traitent du rapport entre le dogme et la Tradition de l’Église et de l’interprétation actuelle du dogme. Ce texte, qui traite de la crise générale et mondiale de la tradition et des problèmes de l’interprétation, donne les éléments nécessaires pour comprendre l’importance et la pertinence du débat actuel sur les dangers du relativisme évoqués dans plusieurs documents récents (la Déclaration Dominus Iesus, par exemple)
Le thème de « l’homme créé à l’image de Dieu » a été soumis à l’étude de la Commission théologique internationale.
La préparation de cette étude a été confiée à une sous-commission composée des membres suivants : R.P. Joseph Augustine Di Noia, o.p. ; S. Exc. Mgr Jean-Louis Bruguès, o.p. ; Mgr Anton Strukelj ; R.P. Tanios Bou Mansour, o.l.m. ; Rév. Adolphe Gesché ; S. Exc. Mgr Willem Jacobus Eijk ; R.P. Fadel Sidarouss, s.j. ; R.P. Shun’ichi Takayanagi, s.j. Les discussions sur ce texte se sont déroulées lors de plusieurs réunions de la sous-commission, ainsi que durant les sessions plénières de la Commission théologique internationale qui se sont tenues à Rome de 2000 à 2002.
Le présent texte a été approuvé in forma specifica par vote écrit de la Commission théologique internationale. Il a été ensuite soumis à son président, S. Ém. le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, qui en a autorisé la publication le 23 juillet 2004.
La théologie de l’imago Dei, élaborée dès les origines chrétiennes à partir des textes vétéro et néo testamentaires et largement développée durant les premiers siècles, n’a pas perdu en importance au Moyen Âge, mais a été négligée par certains philosophes et théologiens modernes occidentaux. De l’avis commun, c’est à partir du début du XXe siècle qu’elle a retrouvé une place centrale dans l’anthropologie théologique grâce au mouvement plus large de redécouverte et de retour à la théologie biblique et patristique.
L’étude de la théologie de la rédemption fut proposée aux membres de la Commission théologique internationale par Sa Sainteté le pape Jean-Paul II en 1992.
Une sous-commission fut constituée pour préparer cette étude, composée des professeurs Jan Ambaum, Joseph Doré, Avery Dulles, Joachim Gnilka, Sebastian Karotemprel, Mgr Michael Ledwith (président), Francis Moloney, Max Thurian et Lászlo Vanyo.
Des débats de caractère général eurent lieu sur ce thème lors de plusieurs rencontres de la sous-commission et lors des sessions plénières de la Commission théologique internationale tenues à Rome en 1992, 1993 et 1994.
La Commission théologique internationale n’entend pas apporter ici de nouveaux éléments théologiques mais plutôt, en fournissant une synthèse des approches théologiques contemporaines, offrir un point de référence sûr au débat et à l’exploration en cours de cette question.
Pour la vie de la foi, il ne suffit pas d’acquiescer mentalement au contenu de l’Évangile ou de mettre sa confiance en la miséricorde divine. La rédemption ne se saisit de nous que lorsque nous acquérons une existence nouvelle fondée dans une obéissance aimante. Une telle existence correspond à la conception classique de la foi vivifiée par la charité.
« Le peuple a « du flair » ! Il a du flair pour trouver de nouvelles voies sur le chemin, il possède le sensus fidei dont parlent les théologiens » (pape François).
Le sens de la foi (sensus fidei) est un instinct spirituel qui permet aux croyants de reconnaître, au milieu du brouhaha des opinions, la voix authentique du Christ, le Bon pasteur. Comme l’a souligné Vatican II, grâce au sensus fidei, c’est l’ensemble des baptisés qui, sous la conduite de l’Esprit, rend ainsi témoignage à la Vérité.
La Commission théologique internationale fait le point sur cette notion. Elle en dégage les fondements théologiques et en retrace les développements dans l’histoire. Elle en précise les contours, de manière à répondre à quelques questions de grande actualité : Comment discerner le sensus fidei authentique de ses contrefaçons sociologiques ou de la simple opinion majoritaire ? Quelles relations le sensus fidei entretient-il avec le Magistère ? Comment consulter les fidèles en matière de foi ?
La Commission théologique internationale a pour tâche d’étudier les questions doctrinales importantes, surtout celles qui revêtent un aspect nouveau, et d’apporter une assistance au magistère de l’Église.
Dans cette perspective, ce nouveau document propose d’utiles éléments de discernement pour réfléchir sur l’évolution qu’a connue la problématique de la liberté religieuse. En effet, depuis la déclaration conciliaire « Dignitatis humanae », plusieurs nouveaux défis ont surgi : recrudescence du fondamentalisme, tentations communautaristes, inflation des droits individuels déconnectés de la vérité de la nature humaine, dérives de l’État éthiquement neutre vers des formes douces de totalitarisme…
En rappelant les fondements du droit naturel à la liberté religieuse et sa dimension sociale et communautaire, le texte insiste sur la valeur de la liberté religieuse pour promouvoir une authentique culture du bien commun et du dialogue dans les sociétés démocratiques et pluri-religieuses.
Répondant à la proposition faite par la première assemblée ordinaire du Synode des évêques, le Pape Paul VI institua le 11 avril 1969 auprès de la Congrégation pour la doctrine de la foi une Commission théologique internationale.
La mission de cette Commission est d’aider le Saint-Siège, et principalement la Congrégation pour la doctrine de la foi, dans l’examen des questions doctrinales d’importance majeure.
Le président de la Commission est le cardinal Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi. La Commission est composée de théologiens de diverses écoles et nations, éminents par leur science et leur fidélité au magistère de l’Église. Les membres – limités à trente – sont nommés par le Saint-Père « ad quinquennium » (pour cinq ans), sur proposition du cardinal Préfet de la Congrégation et après consultation des Conférences épiscopales.
Sur la fondation de la CTI, cf. Ph. Chenaux, « La Commission théologique internationale entre centre et périphérie », dans : Un nouvel âge de la théologie ? 1965-1980, Colloque de Montpellier, juin 2007, sous la dir. de D. Avon et M. Fourcade, p. 37-44.
Le document de la commission repose sur les 9 thèses de Hans Urs Von Balthasar et les 4 thèses de Heinz Schurmann.
H. U. von Balthasar, théologien suisse, prend position dans le débat entre morale autonome et éthique de la foi pour défendre la spécificité de cette dernière. Par rapport à une éthique non biblique anthropocentrée, Balthasar relève le changement opéré par la morale vétérotestamentaire (théocentrée) et l’éthique chrétienne axée sur le Christ et le mystère de La Trinité, pour conclure sur le « caractère analogique » de l’éthique. La contribution proposée retrace alors le contexte d’émergence de ce débat au début des années 1970 pour en relever certains grands traits et propose des pistes d’ouverture pour penser le rôle de la théologie morale actuellement.
Heinz Schurmann, théologien allemand, propose, en 4 thèses, la conduite et la parole de Jésus comme critère ultime de jugement en matière morale.
Cette étude sur le ministère sacerdotal a été préparée, au sein de la Commission internationale de théologie, par une sous-commission constituée à cet effet, et composée du P. URS VON BALTHASAR, de Mgr Carlo COLOMBO, du P. GONZALEZ DE CARDEDAL, du P. M.-J. LE GUILLOU, président, du P. LESCRAUWAET, secrétaire, et de Mgr J. MEDINA-ESTEVEZ.
Après une discussion générale pendant la réunion plénière de la Commission internationale de théologie (5-7 octobre 1970), cette étude a été approuvée par la Commission comme « docu-ment de travail » pour être transmise au Synode des évêques.
Cette approbation générale ne couvre évidemment pas de l’autorité des membres de la commission toutes les affirmations ni tous les détails du rapport Les propositions qui sont publiées, à la suite du rapport, furent approuvées par vote par l’ensemble des membres de la Commission théologique internationale comme conclusion de ses débats.
Les éléments communs au Magistère et à la Théologie: tous deux sont au service de la Parole de Dieu et guidés par elle (th. III.1).
Le Magistère n’est pas au dessus de la Parole de Dieu (DV 10) et la théologie «s’appuie sur la Parole de Dieu écrite en même temps que sur la sainte tradition comme sur un fondement permanent. Elle y trouve la garantie la plus solide de sa force et le principe d’une jeunesse toujours renouvelée, tandis qu’elle scrute sous la lumière de la foi toute la vérité enveloppée dans le mystère du Christ» ( DV 24).
Une communion vitale doit être entretenue entre le sensus fidelium, le Magistère qui le guide, la théologie qui le perçoit et l’approfondit.
L’Église catholique étant très centralisée, ses autorités regardent avec attention le développement de nouvelles théologies mais n’interviennent qu’avec prudence, voire avec réserves explicites.
Ainsi, le document du synode (assemblée des évêques) de 1971 « Justice dans le monde » était déjà marqué par la théologie de la libération.
Mais ses échos devinrent vraiment importants en 1974, au synode sur « L’évangélisation du monde moderne ». L’année suivante, Paul VI consacrait quinze paragraphes de son exhortation apostolique Evangelii nuntiandi (elle traite de l’évangélisation, et affirme le rôle de tout chrétien – pas seulement des prêtres – dans la diffusion de la religion catholique -cf. E.N. 30) aux liens entre évangélisation et libération, les plaçant au centre du document.
La Congrégation pour la doctrine de la foi publia en 1976 ce document, une mise en garde à propos de la théologie de la libération, puis, en 1984, l’« Instruction sur quelques aspects de la théologie de la libération », rédigée par le cardinal Ratzinger.
Le document rend justice à l’expression et aux buts de la théologie de la libération, mais avertit les chrétiens d’un risque inhérent à une acceptation sans critique du marxisme comme un principe dominant de l’effort de réflexion théologique.
D’autre part, le Vatican condamne un certain éloignement de la foi : « Certains sont tentés devant l’urgence du partage du pain, de mettre entre parenthèses et de remettre à demain l’évangélisation : d’abord le pain, la parole plus tard ».
Au demeurant, la teneur générale du Magistère fut de reconnaître les aspects positifs de la théologie de la libération, spécialement en référence aux pauvres et au besoin de leur libération, comme une part de l’héritage de l’engagement chrétien dans l’histoire, tout en critiquant certaines tendances de celle-ci.
L’Église a défendu et expliqué les vérité de foi durant les premiers siècles face aux hérésies qui la falsifiaient.
Au premier siècle déjà, certains chrétiens issus du judaïsme, les ébionites, considérèrent le Christ comme un simple homme, quoique très saint. Au siècle suivant surgit l’adoptianisme : Jésus ne serait qu’un homme dans lequel habite la force de Dieu ; pour eux, Dieu lui-même est une seule Personne. Cette hérésie fut condamnée en l’an 190, par le Pape saint Victor, puis par le Concile d’Antioche (en 268), par le premier Concile de Constantinople et par le Synode Romain de l’an 382. L’hérésie arienne, niant la divinité du Verbe, niait aussi que Jésus-Christ fût Dieu. Arius fut condamné par le premier Concile de Nicée, en l’an 325.
Aujourd’hui encore, l’Église a réaffirmé que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, subsistant de toute éternité, et qui dans l’Incarnation, a assumé la nature humaine dans son unique Personne divine. De nos jours, la question de Jésus-Christ s’est posée, avec une acuité nouvelle, tant au plan de la piété qu’à celui de la théologie. De nombreux éléments nouveaux sont apportés par l’étude de la Sainte Écriture et par des recherches historiques sur les grands Conciles christologiques.
Lors de sa session plénière en décembre 1990, la Commission théologique internationale (CTI) a discuté et largement approuvé le document « Quelques questions actuelles concernant l’eschatologie ».
L’eschatologie chrétienne est une composante de la théologie chrétienne qui étudie les croyances religieuses concernant les fins dernières. Apparu au XIXe siècle dans la langue théologique et universitaire, le terme « eschatologie » désigne ce qui traite des choses dernières : d’abord la mort, puis par extension les événements derniers et tout ce qui les concerne, notamment la « fin du monde ».
La Commission Théologique Internationale (CTI) vient de publier un document intitulé «La réciprocité entre la foi et les sacrements dans l’économie sacramentelle».
C’est une étude très complète sur l’importance de la foi dans l’institution sacramentelle de la vie de l’Église catholique. Chaque sacrement est profondément analysé, selon les cadres d’une théologie fondamentale : sacramentum (signe), res (grâce) et conséquences (fruits). C’est une catéchèse complète, qui s’ajoute à celle que donnent le Catéchisme de l’Église catholique et la théologie fondamentale.
Cette étude est axée principalement sur la nécessité de la foi comme vertu théologale infuse et sur sa réception efficace par le chrétien. Elle se termine par une étude théologique importante sur les liens entre le sacrement de mariage et la foi des baptisés qui demandent ce sacrement à l’Église (Original anglais, traduction libre).
La crise du sacrement de pénitence a été si profonde dans le catholicisme français des années 1960-1970 que certains s’imaginent qu’il a été tout bonnement « supprimé » par le concile Vatican II. Au début des années 1960 encore, son administration était considérée par le clergé comme l’une des charges les plus chronophages du ministère pastoral. La crise de la confession est, de ce point de vue, l’un des aspects les plus révélateurs de la « crise catholique » des années 1965-1975. Elle constitue un fait sociologique et spirituel majeur qui incite à revenir sur la conjoncture particulière des années 1960-1970, pour essayer de comprendre ce qui a pu précipiter cette chute et voir ce qu’elle peut nous apprendre sur l’histoire religieuse et culturelle de la période elle-même.
C’est au IIIe siècle environ que le sacrement se répand, sous la forme d’un acte public, effectué après l’aveu de la faute à l’évêque. Le pécheur doit alors s’imposer une série d’interdits, généralement jusqu’au Jeudi saint. Ces contraintes sont la privation des sacrements (dont l’eucharistie), le jeûne, l’obligation de faire aumône ainsi que quelques interdits concernant la vie conjugale et sociale. Le sacrement de pénitence et de réconciliation est, dans l’Église catholique, dans les Églises orthodoxes et dans l’Église anglicane, l’un des sept sacrements. Il a pour objectif que Dieu puisse pardonner les péchés au pénitent
En regard de la vision traditionnelle – essentiellement épiscopale – de la collégialité,le Pape François met l’accent sur la nécessaire participation des fidèles laïcs à la synodalité conçue comme processus de discernement pour la conduite de l’Église.
Le fondement dogmatique en est le sensus fidei, par lequel le peuple chrétien tout entier se met à l’Écoute de l’Esprit-Saint.
La Commission théologique internationale (CTI) a publié le 5 mai 2018 un document intitulé « La synodalité dans la vie et dans la mission de l’Église ».
Ce texte est issu de discussions générales tenues entre 2014 et 2017 et approuvé in forma specifica par la majorité des membres de la Commission lors de sa session plénière de 2017. Texte qui a été ensuite soumis à l’approbation du président de la Commission, le cardinal Luis F. Ladaria, sj, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi et qui a reçu l’avis favorable du pape François, le 2 mars 2018.
C’est en s’inspirant d’ailleurs du discours du pape François pour la commémoration du 50e anniversaire de l’institution du Synode des évêques, « Le chemin de la synodalité est le chemin que Dieu attend de l’Église du troisième millénaire » que débute le texte de la CTI. Une synodalité qui est une « dimension constitutive de l’Église ».
« Le présent document se propose d’offrir quelques repères utiles pour approfondir le sens théologique de cet engagement, ainsi que quelques orientations pastorales sur les implications qui en résultent pour la mission de l’Église », souligne la Commission.
Ce document fournit des clefs pour comprendre la façon dont l’Eglise s’emploie à penser la foi chrétienne dans le contexte actuel.
Il s’attache à identifier les traits communs qui distinguent la théologie catholique, examine les perspectives et principes de base qui la caractérisent. Après sept années de travail, la Commission Théologique Internationale est en mesure de livrer un texte dense dressant un status quaestionis de la pratique de la théologie catholique.
Le sous-titre du document indique la méthode adoptée. La recherche théologique a connu un foisonnement inédit après le Concile Vatican II et de manière générale au long du xxe siècle. L’interdisciplinarité, la relation avec la philosophie, la technicité croissante de l’exégèse et de la théologie sont les marques de cette évolution heureuse. Cette effervescence n’est pas sans questionner l’identité spécifique de la discipline.
La Théologie aujourd’hui : un document important qui donne des clefs pour comprendre comment l’Église cherche sans cesse à mieux appréhender la foi dont elle vit pour toujours mieux la partager.
La réflexion contemporaine propose une réflexion plus ouverte sur les questions modernes de christologie, les éclairant d’une nouvelle compréhension de la Personne du Verbe.
Qu’est-ce qu’une Personne ? Le terme est trinitaire avant tout, signifiant ce qui en Dieu est Trois. Mais précisément, en Dieu, les noms de Personnes sont des noms de relations (Augustin, Tolède XI…). Une personne serait donc un nœud de relations, une unité de relations, une relationalité. Dans le Christ, l’unité des deux natures « selon la Personne » y trouve donc une dynamique : sa Personne est mouvement des natures divines et humaines l’une vers l’autre. Le Verbe se livre pleinement dans la nature humaine qu’Il assume (et ainsi sauve), et la Personne de Jésus Christ est toute entière tournée vers le Père, dans l’Obéissance.
La formule de Chalcédoine y trouve alors une dynamique, et les grandes questions christologiques peuvent être revisitées. La science du Christ n’est plus juxtaposition impénétrable d’une connaissance divine (visio beata) et d’une connaissance humaine (expérimentale, acquise), mais connaissance reçue du Père, et qui est cette concentration amoureuse du Fils sur sa Mission, dans laquelle il se donne tout entier, mettant à part son omniscience, comme l’Aimant oublie tout sauf l’Aimée. Sa liberté et son impeccabilité s’expliquent par une recompréhension chrétienne de la Liberté, qui au delà du simple libre arbitre, est capacité pleine à faire le Bien. La réflexion en matière de christologie tient soigneusement compte de ce qu’on peut appeler son contexte. Celui-ci comprend le désir et la connaissance que l’homme a de Dieu, la révélation du Dieu trinitaire et l’image de l’homme telle qu’elle se dégage soit des vues actuelles en anthropologie, soit de l’incarnation même de Jésus-Christ.
A défaut d’une préparation adéquate consacrée à ces éléments de base, la construction christologique elle-même est en danger. De plus elle compromet la clarté des conséquences à en tirer pour élaborer une doctrine sur l’homme. Telles sont les raisons pour lesquelles il faut projeter un éclairage nouveau sur l’horizon complexe de toute christologie.
Pour le vingtième anniversaire de la clôture du concile Vatican II, la Commission a paru utile de procéder, soit à l’étude directe de textes de la constitution, soit à l’analyse de questions ecclésiologiques qui, depuis lors, se sont posées avec acuité.
La prise de position rendue publique de l’un des membres de la Commission, Christoph Schönborn, alors professeur à l’Albertinum de Fribourg, éclaire le contexte. Lors d’une conférence dont le texte avait été publiée dans l’Osservatore Romano du 2 octobre 1982, Christoph Schönborn attribuait au Concile Vatican II d’avoir « remis en valeur l’ancienne vision patristique de l’Église comme sacrement du Royaume ». Deux ans plus tard, dans son intervention devant la Commission théologique internationale il se rétracte et, reconnaissant que le Concile n’a jamais désigné l’Église comme sacrement du Royaume, il estime qu’une telle désignation serait inappropriée dans la mesure où elle signifierait une distance entre l’Église et le Royaume, alors que, selon lui, on ne saurait parler de distance, mais plutôt d’une différence de statut. Il conclut : « L’Église est bien le Royaume et le Concile ne nous permet pas de dire qu’elle n’en serait que le sacrement. »
Contestant l’analyse d’Yves Congar, Christoph Schönborn estime que les expressions « Règne du Christ déjà présent en mystère » (Lumen gentium 3) et « germe et commencement de ce Règne » (Lumen gentium 5) ne sauraient être comprises comme manifestant une distance entre l’Église et le Royaume. Selon lui, « la sacramentalité de l’Église consiste dans son rapport au monde et non pas au Royaume. C’est par elle et en elle que le Christ appelle à lui tous les hommes. »
Lors de sa session plénière des 10 et 11 octobre 1972, la Commission théologique internationale a approuvé, à l’unanimité des membres présents, quinze propositions qui avaient été préparées par une sous-commission, présidée par le Professeur Joseph Ratzinger.
Le fondement de l’unité et de la pluralité dans l’expression de la foi n’est autre que le mystère même du Christ. La foi est tout d’abord une adhésion à la personne du Christ (l’unité), mais en raison de son caractère insondable, ce mystère échappe à tout effort que l’homme peut faire pour le saisir. Rester fidèle à la vérité de la foi, c’est cheminer avec l’Église qui est le vrai sujet du credo.
Le critère fondamental qui permet de distinguer entre le vrai et faux pluralisme est l’Écriture en relation avec la confession de l’Église croyante et priante.
Vie religieuse
L’Instruction, datée du jour de la Pentecôte 2008, et publiée par la Congrégation pour les Instituts de Vie Consacrée et les Sociétés de Vie Apostolique, est le fruit de l’Assemblée plénière de 2005 qui avait pour thème « Exercice de l’autorité et obéissance dans la vie consacrée ».
C’est là un sujet plutôt délicat, non seulement parce que, de nos jours, on ne semble pas se passionner beaucoup pour l’obéissance et que l’autorité n’est certainement pas regardée sans méfiance; mais aussi, parce que la diversité des projets charismatiques des différents Instituts prévoient des modes d’exercice de l’autorité fort divers, sans parler de l’évolution numérique ou de la composition ethnique ainsi que de l’augmentation de la moyenne d’âge des communautés.
C’est aussi un thème qui doit tenir compte du changement culturel en cours sur des questions variées telles que la prise de conscience de la valeur des personnes et de la spiritualité de communion; mais il n’autorise pas à fermer les yeux sur les obstacles que représentent la recherche exagérée du bien-être personnel et ces visions trop subjectives qui rendent difficiles les parcours communautaires de la mission.
C’est encore un thème qui se prête aux malentendus: d’une part accentuer l’importance de l’autorité et de l’obéissance peut favoriser l’autoritarisme et la soumission; d’autre part, souligner la dignité de la personne humaine ainsi que le respect de ses talents et charismes peut favoriser l’individualisme et diminuer l’importance de la dimension communautaire et missionnaire de la vie consacrée.
C’est enfin un thème qui concerne la vitalité même de la vie religieuse : elle dépend directement, selon de nombreux observateurs, du bon état du vœu d’obéissance et de l’exercice de l’autorité.
Ce document de la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les Sociétés de vie apostolique sur « la Collaboration inter-institus pour la Formation des religieux », a été approuvé le 31 octobre 1998, et publié le 8 décembre 1998.
Il s’agit d’un réflexion sur la formation des membres des instituts religieux dans les circonstances actuelles et de proposer des directives aptes à garantir que celle-ci soit complète, solide et en harmonie avec le cheminement de l’Eglise.
Avec ce document nous sommes en possession d’un état des lieux en ce qui concerne la formation dans L’Eglise (rappelons, entre autre, les documents sur la formations des Diacres permanents – IFV, FDP et VDP – Le directoire sur la vie Des prêtres – Direct – La question de L’Education dans les séminaires et Instituts Religieux – Ecole – le Guide pour les Catéchistes – Ktiste – le Guide sur la vie Pastorale des prêtres – Pastoral – la Déclaration La place de l’Eglise dans les universités – UDG et Universi – mais aussi Vita Consecrata – VC – Verbi Sponsa – VSP – Veritatis Splendor – VS – Fides et ratio – FR -).
Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique. La dimension contemplative de la vie religieuse du 12 août 1980.
La Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique publie le 31 mai 1983 les Éléments essentiels de l’enseignement de l’Église sur la vie religieuse.
Ces normes, basées sur l’enseignement traditionnel, sur le code révisé de droit canon et sur la pratique courante, n’épuisent pas les dispositions de l’Eglise relativement à la vie religieuse. Elles manifestent toutefois sa sollicitude aimante pour que la vie vécue dans les instituts voués aux oeuvres d’apostolat se développe toujours plus pleinement comme un don de Dieu à l’Eglise et à la famille humaine. En publiant le présent texte, approuvé par le Saint Père, la Sacrée Congrégation pour les Religieux et les Instituts séculiers veut aider ces instituts à assimiler les dispositions révisées de l’Eglise à leur endroit et à les situer dans leur contexte doctrinal. Puissent-ils trouver dans ce texte un ferme encouragement pour suivre le Christ de plus près dans l’espérance et la joie de leur vie consacrée.
La Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique a rendu public, le 4 juillet 2018, un document sur l’ordre des vierges consacrées.
Datée du 8 juin 2018 et cosignée par le préfet de ce dicastère, le cardinal Joao de Braz Aviz ainsi que de son secrétaire, Mgr José Rodríguez Carballo, cette instruction vise à donner aux évêques diocésains des orientations dans « l’application des règles contenues dans le Pontifical romain et (…) à définir une discipline plus complète et organique » de cet état de vie. Le dicastère pour la vie consacrée a, en effet, constaté « une véritable floraison nouvelle » de l’ordre de vierges sur tous les continents et, à la demande de plusieurs Églises particulières, il a entrepris de proposer un cadre normatif qu’elles devront adapter à leurs contextes culturels. Le document est structuré en trois parties. Après une introduction qui retrace l’histoire de cette forme de vie consacrée, le premier chapitre souligne le fondement biblique de cette vocation spécifique. Puis, dans le deuxième chapitre, il insiste sur l’enracinement diocésain de cette forme de consécration qui engage en particulier la responsabilité de l’évêque du lieu. Enfin, le document consacre le troisième chapitre au discernement et à la formation avant l’admission à la consécration. S’inspirant du décret de 1970 qui promulgue l’Ordo consecrationis virginum, ce document réaffirme que les vierges consacrées sont à l’image de l’Église épouse du Christ.
Cum Sanctissimus est une instruction publiée le 19 mars 1948 par la Sacrée Congrégation pour les Instituts religieux et séculiers de l’Église catholique.
L’instruction a clarifié des questions spécifiques concernant les instituts religieux qui l’ont approuvée.
Avec Provida Mater Ecclesia et Primo Feliciter (tous deux publiés par le pape Pie XII), cette instruction a servi de base aux instituts catholiques laique pour recevoir leur propre législation.
Sacrée congrégation des religieux Instruction « Inter coetera » sur la clôture des moniales le 25 mars 1956.
Cette Instruction rappellent, à propos d’un point pratique, la précellence de la contemplation dans votre vie. « La clôture mineure ne permet pas n’importe quels ministères, mais ceux-là seuls qui sont compatibles avec la vie contemplative, soit de toute la communauté, soit de chacune des moniales». « Ces ministères qu’on les entreprenne avec discernement et modération, en respectant le caractère et l’esprit de chaque Ordre, de telle sorte qu’au lieu de troubler et de gêner la vie authentiquement contemplative, ils l’entretiennent plutôt et la renforcent ». « Tels sont : l’enseignement de la doctrine chrétienne, l’instruction religieuse, l’éducation des jeunes filles et des enfants, les retraites et exercices spirituels pour les femmes, la préparation à la première communion, les oeuvres de charité pour le soulagement des malades, des pauvres. La vie contemplative ne consiste pas essentiellement dans la profession extérieure d’une discipline religieuse ; celle-ci en effet n’est que te cadre de la contemplation, elle la soutient, l’encourage, la préserve, mais ne la constitue pas. Aussi, répétant ce que Nous avons dit plus haut, Nous vous exhortons avec instance à vous adonner de tout coeur à la prière contemplative, votre tâche essentielle pour laquelle vous avez renoncé au monde.
La Constitution Apostolique Sponsa Christi, promulguée en 1950 par Pie XII, fit sensation, car elle était le premier document pontifical à toucher sinon à l’institution elle-même de la clôture, au moins aux lois devenues « trop strictes » qui la régissaient depuis des siècles.
La grande innovation de ce document fut l’introduction d’une clôture papale « mineure », dont les prescriptions moins rigoureuses s’adaptaient mieux à l’exercice de l’apostolat que plusieurs monastères avaient adjoint à la pratique de la vie contemplative.
La garde de cette clôture mineure et l’appréciation des cas de sortie légitime furent confiées à la Supérieure: c’était la première reconnaissance officielle, en ce qui concerne les moniales, de cette promotion de la femme, caractéristique de notre XXe siècle.
L’Instruction Inter cetera (1956) concédait dans le cas de la clôture mineure, elle continuait, chose étrange, à le refuser aux monastères de vie strictement contemplative. De plus, un lecteur attentif comparant Sponsa Christi et ses deux décrets d’application, Inter praeclara (1950) et Inter cetera (1956), ne peut manquer d’être frappé par la différence de ton, sans vouloir exagérer la signification de ce fait (car les Normes générales de Sponsa Christi ont, elles aussi, gardé une forme très stricte).
Messages des papes pour les journées de la Vie Consacrée.
Initiative de Jean-Paul II en 1997, la « journée de la vie consacrée » a lieu chaque année le 2 février. Une journée placée en premier lieu sous le signe de l’action de grâce « parce qu’il est beau et juste de remercier le Seigneur pour le grand don de la vie consacrée, qui enrichit et réjouit l’Eglise par la multiplicité des charismes et le dévouement de tant de vies totalement données au Seigneur et aux frères ».
L’objectif de cette journée est aussi de mieux connaître et apprécier la vie consacrée. « En contemplant le don de la vie consacrée, l’Eglise contemple sa vocation la plus profonde, celle de n’appartenir qu’à son Seigneur, soulignait Jean-Paul II. La vie consacrée a pour mission prioritaire de garder vivante dans l’Eglise la forme historique de vie assumée par le Fils de Dieu quand il est venu sur cette terre ».
Cette journée est enfin une invitation pour toutes les personnes consacrées « à célébrer ensemble et solennellement les merveilles que le Seigneur a accomplies en elles. Pour cela elles sont conviées à réfléchir sur le don reçu, à découvrir, dans un regard de foi toujours plus pur, le rayonnement de la beauté divine diffusé par l’Esprit dans leur forme de vie, à prendre conscience de leur mission incomparable dans l’Eglise pour la vie du monde ».
Le 2 février : la journée de la vie consacrée est célébrée en la fête de la Présentation du Seigneur au temple. Consacré selon la prescription rituelle de l’époque au Seigneur comme tout garçon premier né, annonce le don de Jésus par amour de Dieu et des hommes et l’offrande suprême de la Croix. Cette journée a donc une importance particulière pour toute personne consacrée, qui, inspirée par le don bouleversant du Christ, aspire à son tour à donner sa vie et à tout abandonner pour marcher à sa suite.
Contient les messages de
Primo Feliciter est un motu proprio publié par le pape Pie XII le 12 mars 1948.
Publié un an après la constitution Provida Mater Ecclesia.
Ce motu proprio a confirmé et béni des instituts séculiers au sein de l’Église catholique. Avec Provida Mater Ecclesia et Cum Sanctissimus, Primo Feliciter a fourni la base aux instituts catholiques laics pour recevoir leur propre législation.
De la sacrée congrégation pour les évêques: directives de base sur les rapports entre les évêques et les religieux dans l’église.
La Congrégation des religieux devint en 1967 Congrégation pour les religieux et les institut séculiers, et en 1988 Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique.
Ce document presente les directives de 1990 du Dicastere, approuvees pas Le Pape Jean-Paul II, avec le but d’expliciter les normes du droit et d’en promouvoir l’application. Il contient les prescriptions juridiques sur la formation en general ainsi que des orientations pour un renouvellement spirituel, apostolique, doctrinal et pratique adequat a la lumiere du chapitre VI de la Lumen Gentium, du Decret Perfectae Caritatis du Concile Vatican II ainsi que des enseignements des Papes Paul V et Jean-Paul II sur la formation de l’homme interieur. Il faut egalement tenir compte des references a l’Instruction Renovationis Causam, publiee la meme année. Ce document a ete d’ un grand secours pour les superieurs majeurs et pour les formateurs au moment de la révision de la Ratio Institutionis ou projet de formation de leur institut respectif.
L’Église Mère attentive, « Provida Mater Ecclesia » est une constitution apostolique concernant les instituts séculiers, promulguée par le pape Pie XII, le 2 février 1947.
C’est la naissance des instituts séculiers. Vocation à la sainteté en étant enfoui dans le monde comme le levain dans la pâte : une nouvelle forme de vie consacrée est né. Depuis longtemps, dans l’histoire de l’Eglise, des chrétiens aspirent à la sainteté sans quitter leur famille ou leur milieu. Vers la fin du 19e siècle, divers groupes naissent. Leurs membres veulent vivre une vie chaste, pauvre et docile à l’Esprit Saint à la suite du Christ, tout en restant parmi leurs frères. Ils souhaitent que rien, dans leur manière de vivre ne les différencie des autres extérieurement. En 1938, 25 fondateurs se retrouvent à Saint Gall en Suisse. Ils sont étonnés de constater l’identité profonde de leurs vues. Un mémoire est rédigé et transmis au pape Pie XI: il pose les bases théologiques d’une nouvelle forme de vie consacrée. Vivre de tout son être les exigences de l’Évangile n’a besoin ni de cloitre, ni même de vie commune.
Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique Religieux et promotion humaine du 12 août 1980.
Les problèmes que la vie religieuse doit affronter pour se rénover, de manière à réaliser l’harmonie entre l’évangélisation et la promotion humaine, se reflètent sur le plan de la formation.
Tout cela peut demander une révision des programmes et des méthodes de formation, tant dans la période d’initiation, que dans les phases successives et dans la formation permanente. Une relecture à cette lumière, des critères conciliaires de rénovation montre qu’il ne s’agit pas de simples adaptations dans certaines formes extérieures. C’est une éducation profonde des mentalités et des styles de vie, qui rendent capable de demeurer soi-même dans les nouveaux modes de présence. Présence toujours «de consacrés» qui orientent, par le témoignage et par les oeuvres, la transformation des personnes et de la société dans la direction de l’Evangile.
L’instruction publiée en date du 19 mai 2002 par la Congrégation pour les Instituts de Vie consacrée et les Sociétés de Vie apostolique porte le beau titre « Repartir du Christ », emprunté à l’homélie donnée par Jean-Paul ii, le 2 février 2001, à l’occasion du Jubilé de la Vie consacrée.
Cinq ans après Vita consecrata, les Pères de l’Assemblée plénière de notre Dicastère romain veulent ainsi invité la vie consacrée d’aujourd’hui, « à miser d’abord sur la spiritualité ». Leur réflexion, poursuit le numéro 4 du document, s’est articulée en quatre parties :
L’instruction issue de la dernière session plénière de la CIVCSVA ne se veut pas un nouveau document sur la vie consacrée, mais se propose comme une aide dans la réception de Novo millennio ineunte et de Vita consecrata.
Quelques traits plus importants sont mis en exergue par notre collaboratrice, experte et auditrice aux Synodes récents sur la vie consacrée (1994) et sur l’Europe.
Constitution Apostolique « Sponsa Christi » du pape Pie XII à l’occasion de la fête de la Présentation, le 21 novembre 1950.
Il aborde la vocation des religieuses à une vie de virginité. La première partie de la Constitution traite du développement historique des monastères pour les femmes des groupes de vierges et de veuves de l’Église primitive, et en particulier de la vie contemplative.
Pie XII décrit les caractéristiques de la vie consacrée des religieuses cloîtrées, car ce document leur a été adressé. Pour les religieuses, le service de la liturgie est essentiel. La parole de Dieu et la liturgie sont les sources à partir desquelles les nonnes doivent dessiner, connaître la volonté de Dieu et se lier à lui dans la liberté et dans l’amour.
Dans le même ordre d’importance, le pape énonce les dispositions régissant les examens des religieuses.
Cette constitution fixe des règles pour les communautés religieuses sont établies.
Le pape Pie XII cite Sponsa Christi du 25 mars 1954, encyclique Sacra Virginitas comme montrant l’importance de la fonction consacrée par les hommes et les femmes consacrés dans l’Église.
Le Pape François a inauguré le 30 novembre 2014 une Année de la Vie Consacrée qui s’achèvera le 2 février 2016 sur le thème « la vie consacrée dans l’Eglise aujourd’hui. Evangile, Prophétie, Espérance. »
L’objectif de cette initiative est de faire davantage connaître la vie consacrée et de la promouvoir à travers le monde.
Le pape François présente avant tout les trois objectifs principaux de l’Année de la vie consacrée. Le premier objectif, écrit-il, est de «regarder le passé avec gratitude». Il ne s’agit pas de «cultiver des nostalgies inutiles», précise le pape, mais plutôt de «parcourir à nouveau le chemin des générations passées pour cueillir en lui «l’étincelle inspiratrice, les idéaux, les projets, les valeurs» des fondateurs des premières communautés. Le second objectif présenté par le pape est de vivre le présent avec passion, en devenant des «experts de communion», en se rendant «présents avec courage là où sont les différences et les tensions». Cet esprit de communion s’exerce aussi à l’intérieur des communautés religieuses, rappelle le pape. Les «critiques», insiste-t-il, les «envies, jalousies (…) sont des comportements qui n’ont pas le droit d’habiter nos maisons». Le troisième objectif de cette Année de la vie consacrée, poursuit le chef de l’Eglise catholique, consiste à «embrasser le futur avec espérance». Malgré les difficultés de la vie consacrée, telles que la diminution des vocations et le vieillissement, surtout dans le monde occidental, les problèmes économiques, les défis de la globalisation, souligne le pape, il s’agit de «réaliser notre espérance».
«Où sont les religieux, il y a de la joie». Dans sa Lettre apostolique, le pape François invite les religieux à mettre en pratique cette phrase qu’il avait déjà prononcée dans le passé. Même dans les déceptions, maladies et déclin des forces dû à la vieillesse, insiste le pape, les consacrés doivent «éprouver la joie de se savoir semblable» au Christ, qui «par amour pour nous, n’a pas refusé de subir la croix».
Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique: « La vie fraternelle en communauté », 2 février 1994.
Dans les Instituts religieux, la vie fraternelle peut se vivre selon trois modalités différentes.
Présentation suivant l’ordre décroissant de leur importance du point de vue théologique et canonique : d’abord la vie fraternelle en communion, puis cette vie vécue en commun, enfin cette vie menée en communauté. Cette dernière modalité étant réservée aux instituts religieux et à des sociétés de vie apostolique.
Ces distinctions proviennent du Code de Droit canonique (CIC : Codex Iuris Canonici) de 1983. Elles sont importantes et permettent de dépasser de fausses dichotomies, sources fréquentes de tensions dans la vie religieuse. Le Code de 1917 ne parlait que de vita communis, “vie commune” ; à ce sujet il formulait des règles disciplinaires strictes.
Conformément à la conception alors reçue d’un code législatif, il n’avait pas à mentionner l’élément spirituel désigné par “vie fraternelle”. Sur bien des points, le Code actuel adopte un langage plus doctrinal et explicite les enjeux spirituels impliqués par le droit.
Les rédacteurs du Code de 1983 pour l’Église latine ont privilégié comme source les documents du Concile. C’est dans le Décret « Perfectae Caritatis » que l’on découvre l’idée neuve de “vie fraternelle”.
Oeuvre pontificale pour les vocations ecclésiastiques – de nouvelles vocations pour une nouvelle Europe.
In verbo tuo… Document final du Congrès européen sur les vocations au sacerdoce et à la vie consacrée en Europe Rome, 5-10 mai 1997.
Ce document de travail a le mérite d’être récent, et d’émaner de plusieurs dicastères romains réunis par « l’OEuvre pontificale pour les vocations ecclésiastiques » au Congrès qui s’est tenu à Rome: l’éducation catholique, les Églises orientales, les Instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique.
De plus, il tranche par la netteté et la profondeur de son diagnostic sur le style lénifiant qu’on trouve trop habituellement sur un sujet souvent douloureux. Son but est notamment de « provoquer une comparaison au niveau européen », et il est à cet égard très instructif en ce qui regarde la situation européenne nous retiendra davantage. Ses chiffres viennent des meilleures sources, et son angle d’attaque ne manque pas de pertinence: jamais peut-être on n’a autant travaillé qu’aujourd’hui pour les vocations, mais il existe un fossé entre les efforts accomplis et les résultats concrets, bien qu’il y ait des Églises plus fécondes en nouveaux germes de vocations et des Églises plus essoufflées.
Le décret Verbi sponsa (V.Sp.) de la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique (CIVCSVA, anciennement SCRIS) en date du 13 mai 1999 est la réponse promise par Jean-Paul II aux demandes formulées par les moniales à l’occasion du synode sur la vie consacrée.
Comme Venite seorsum (V.Se), ce texte reprend l’ensemble de la question, il est donc intéressant de les comparer. Ce décret est-il bien la réponse attendue à la demande formulée à l’issue du synode sur la vie consacrée et annoncée par Vita consecrata (1998)? La comparaison avec ce qui était déjà proposé dans Venite seorsum (1969) – il y a 30 ans ! – propose une appréciation nuancée. Les nombreux points d’interrogation qui ponctuent la conclusion indiquent qu’une autre détermination aurait pu être cherchée.
Famille
Le 50ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme est l’occasion pour le Conseil Pontifical pour la Famille de publier ce document du 9 décembre 1999. Il vise à poser les bases d’une Charte des droits de la famille basée sur la Déclaration universelle des Droit de l’Homme. En fin de document se trouvent la Charte des Droits de la Famille et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme
Le Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie a préparé un document qui propose aux prêtres, aux époux et à tous ceux qui oeuvrent dans la pastorale des familles une vision et une méthode renouvelée de préparation au sacrement du mariage et à la vie de couple.
Ce document est une initiative issue de l’Année de la famille » Amoris Laetitia » et répond au désir du Saint-Père d’offrir de nouvelles pistes pour la préparation au sacrement du mariage. Deux nouveaux aspects du document doivent être mis en évidence : premièrement, un regard sur l’avenir de la famille, avec une préparation préalable à la vocation au mariage ; deuxièmement, il est nécessaire de souligner l’importance du fait que, aux côtés des prêtres, des couples mariés accompagnent le catéchuménat de ceux qui demandent le sacrement du mariage.
Le document est publié en format papier par la Libreria Editrice Vaticana et, pour l’instant, il n’est disponible qu’en italien. Des éditions en d’autres langues seront bientôt disponibles (la traduction français est une oeuvre personnelle du copiste, en cas de doute il vous invite à vous référer au document officiel paru sur le site du Saint Siège dans la partie Curie). Deux documents, en français, ont été publiés à l’initiative du diocèse de Beauvais – cf https://oise.catholique.fr/actualites/prepa-mariage-notre-parcours-est-publie
Conseil pontifical pour la famille.
« La préparation au sacrement de mariage », Alfonso Cardinal López Trujillo, Président du Conseil Pontifical pour la Famille, 13 mai 1996.
Le mariage est l’union d’un homme et d’une femme librement consentie, qui s’engagent dans un amour conjugal fidèle, que rien durant cette vie ne pourra détruire, disponibles pour accueillir de nouveaux enfants. Lorsque le mariage concerne deux baptisés, ce lien conjugal prend un sens nouveau : il devient signe visible de l’alliance du Christ et de l’Église. Une telle aventure mérite de s’y préparer. La préparation au mariage vise à nourrir le dialogue entre fiancés pour que chacun d’eux puisse en toute clarté prononcer un OUI libre et déterminé le jour du mariage et chacun des jours suivants. La préparation au mariage est un moment favorable pour faire le point sur sa vie religieuse et approfondir ou redécouvrir la foi catholique. « Les époux sont appelés à répondre au don de Dieu par leur engagement, leur créativité, leur résistance et leur lutte quotidienne, mais ils pourront toujours invoquer l’Esprit Saint qui a consacré leur union. » Pape François, Exhortation apostolique Amoris lætitia, 2016.
Déclaration du Conseil pontifical pour la famille à propos de la réduction embryonnaire, du 12 juillet 2000.
Le pape François l’a écrit dans la lettre qui présente le document « Donner le meilleur de soi », sur la perspective chrétienne du sport et de la personne humaine, que le Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie a présenté aujourd’hui, 1er juin 2018, avec une conférence dans la salle de presse du Saint-Siège.
« Le sport est un lieu de rencontre où les gens de tout niveau et condition sociale se réunissent pour atteindre un résultat commun. C’est aussi un moyen de formation. Peut-être qu’aujourd’hui, plus que jamais, devons-nous fixer notre regard sur les jeunes ; en effet plus le processus de formation commencera vite, plus le développement intégral de la personne à travers le sport sera facile. Enfin, je voudrais souligner le rôle du sport en tant que moyen de mission et de sanctification. Donner le meilleur de soi-même dans le sport est aussi un appel à aspirer à la sainteté ».
Ce sont les mots du pape François dans la lettre qui présente le document « Donner le meilleur de soi-même », sur la perspective chrétienne du sport et de la personne humaine, que le Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie a présenté aujourd’hui à la salle de presse du Saint-Siège. « Donner le meilleur de lui-même » – a déclaré dans son discours le préfet Kevin Farrell en se référant au titre du document – est une expression qui attire les deux mondes qui sont rappelés dans ces pages. D’une part, l’effort, le sacrifice dans le monde du sport, qui est une constante pour atteindre le succès ou simplement pour atteindre l’objectif. Mais aussi dans le contexte de la foi, nous sommes appelés à donner le meilleur de nous-mêmes, pour arriver à la sainteté qui, comme le Pape l’a souligné dans sa dernière exhortation apostolique, est un appel universel adressé à tous et donc aussi aux sportifs ».
Le Vatican a publié le 2 février 1997 dans l’Osservatore romano un document de 26 pages du Conseil pontifical pour la famille contenant des directives à l’intention des confesseurs à propos notamment de certaines questions de la vie conjugale, comme la contraception – toujours interdite – et la procréation responsable. A visée pastorale, ce «Vade-mecum pour les confesseurs sur certains sujets de morale liés à la vie conjugale» n’apporte en fait pas de changements fondamentaux et répète les exigences doctrinales traditionnelles de l’Eglise. Ce document a pour but d’aider à dépasser les éventuelles divergences ou incertitudes présentes dans la pratique des confesseurs. Le problème de la procréation responsable et les nouvelles modalités de la contraception (toujours qualifiée globalement par le magistère de «malice intrinsèque» parce qu’elle rend intentionnellement les actes conjugaux inféconds) sont des points particulièrement délicats dans l’enseignement de la morale catholique dans le domaine conjugal. Péché de contraception : pas de refus automatique de l’absolution. Le document relève à l’intention des confesseurs que «la récidive, dans les péchés de contraception, n’est cependant pas en elle-même un motif pour ne pas donner l’absolution». Celle-ci ne peut être refusée que s’il manque une contrition suffisante ou la résolution de ne pas retomber dans le péché. Sur le plan de la chasteté conjugale, le document demande que l’on considère le principe toujours valable selon lequel «il est préférable de laisser les pénitents dans leur bonne foi pour les cas où l’erreur est due à une ignorance subjectivement invicible, quand on prévoit que le pénitent, même s’il entend vivre sa foi, ne changerait pas de conduite et en viendrait même à pécher formellement». La «loi de gradualité» pastorale, que l’on ne peut confondre avec la «gradualité de la loi» qui en amoindrit les exigences, consiste à chercher une «rupture décisive» avec le péché et un cheminement progressif vers l’union totale à la volonté de Dieu, affirme encore le «vade-mecum». Le présent opuscule, qui «a pour origine la sensibilité pastorale» du pape Jean Paul II, comprend un ensemble d’éléments que les confesseurs prendront en considération pour l’administration du sacrement de réconciliation. Si, au niveau doctrinal, l’Eglise a une ferme conscience des exigences du sacrement de pénitence, on ne peut nier que dans la pratique pastorale, il y a eu, quant à la traduction de ces enseignements, «un certain vide», reconnaît le «vade-mecum» du Conseil pontifical pour la famille, signé par son président, le cardinal Alfonso Lopez Trujillo. Daté du 12 février dernier, il se donne pour but «d’aplanir la route» des couples catholiques. Mais il s’adresse spécifiquement aux prêtres et à la pratique d’accompagnement en matière de sacrement de pénitence et de réconciliation
Justice&Paix
Le 25 avril 2004 après cinq ans de travail, le Vatican publie la somme de l’enseignement social de l’Eglise, en un volume.
Annoncée dans le cadre de la préparation au Grand Jubilé de l’an 2000. Elle s’adresse non seulement aux décideurs politiques mais à tous ceux sur qui repose la mise en oeuvre de l’enseignement social de l’Eglise, les patrons comme les syndicats. Le travail a commencé il y a cinq ans sous la présidence du défunt cardinal François-Xavier Nguyen Van Thuan.
Construire un nouvel humanisme, inspiré par l’enseignement social des papes et du magistère, par une action des laïcs sur les mécanismes de la coexistence civile : c’est, souhaite le cardinal Martino, ce que pourrait permettre le « Compendium » de l’enseignement social de l’Eglise. Jean-Paul II considérait comme prioritaire la connaissance et a diffusion de la doctrine sociale de l’Église et avait souhaité que fut élaboré un « résumé ou synthèse autorisée de la doctrine sociale catholique » voir Ecclesia in America, no 54, 1999.
La publication du Compendium sous l’égide du Conseil pontifical Justice et Paix, marque l’accomplissement de ce désir.
Cette synthèse autorisée redit bien évidemment les lignes fondamentales du corpus doctrinal de l’enseignement social catholique mais ne se réduit pas à un simple catéchisme social. L’objectif explicitement annoncé par le Compendium est d’être un instrument au service du discernement moral et pastoral qui fait partie de la mission d’évangélisation de l’Église. Dans un monde marqué par la complexité des situations, il s’agit d’orienter, de soutenir et de renouveler l’engagement des chrétiens dans le domaine politique, social et économique, dans un dialogue « avec tous ceux qui désirent sincèrement le bien de l’homme » § 10. L’Église, est-il rappelé en introduction, est conduite par l’amour dont Dieu aime l’homme à travailler « à la justice et au développement humain dans la vérité et dans le bien » § 4, « à dénoncer, à proposer et à s’engager … vers une action effective qui incite tous ceux qui ont sincèrement à cœur le sort de l’homme à offrir leur contribution » § 6. La prise commune de responsabilité, « inspirée par un humanisme intégral et solidaire » a pour origine la prise de conscience d’une communauté de destin, dans un monde marqué par le développement technique et le rôle de l’économie où se fait ressentir « le besoin d’une plus grande prise de conscience morale » § 6.
Le Compendium est organisé en trois parties introduites par une citation de Centesimus annus de Jean-Paul II, « maître de doctrine sociale, témoin évangélique de justice et de paix », selon les termes de la dédicace. Il y a peu de pages qui ne renvoient à ses encycliques ou à ses nombreuses allocutions.
Le récent XXVème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (10 décembre 1948 – 10 décembre 1973) a donné au Secrétariat de la Commission Pontificale « Justitia et Pax » l’occasion d’entreprendre l’étude du présent document sur « l’Eglise et les droits de l’homme ».
Ce document est destiné aux Commissions Nationales justice et Paix dans le monde, afin de leur offrir un instrument de réflexion et de travail sur le thème des droits de la personne humaine.
EducationCatholique
La Congrégation pour l’Éducation catholique a publié, le 29 novembre 2005, cette Instruction approuvée par le pape Benoît XVI, et rejetant l’accès des personnes homosexuelles aux Ordres sacrés (diaconat permanent et sacerdoce).
À l’heure de célébrer le cinquantenaire de la Déclaration du Concile Vatican II Gravissimum educationis et le vingt-cinquième anniversaire de la Constitution Apostolique Ex corde Ecclesiae, la Congrégation pour l’Éducation Catholique veut relancer – à travers ce congrès mondial – l’engagement de l’Église dans le domaine de l’éducation.
Dans les années qui suivirent le Concile, le Magistère pontifical est revenu avec insistance sur l’importance de l’éducation et sur la contribution que la communauté chrétienne est appelée à lui offrir, précisément là où se présente de manière évidente et même assez souvent dramatique l’urgence d’éduquer. En effet, les centres d’éducation catholiques ne sont pas seulement des « pourvoyeurs de compétences » mais, par leur nature intrinsèque, ils se caractérisent comme étant des lieux de rencontre, de dialogue et d’enrichissement mutuel avec un parcours d’éducation à la vie qui s’ouvre aux autres dans l’optique du bien commun.
CONGREGATION POUR L’EDUCATION CATHOLIQUE
Document de la Congrégation pour l’éducation catholique pour les séminaires et institutions d’enseignement.
L’école catholique au seuil du troisième millénaire est paru en 1997
Le 22 mai 1994, la Congrégation pour l’Éducation catholique, le Conseil pontifical pour les laïcs et le Conseil pontifical de la Culture ont publié conjointement «La présence de l’Église dans l’université et dans la culture universitaire»
La Congrégation pour l’Education Catholique vient de publier un document de travail intitulé « Eduquer à l’humanisme solidaire : pour construire une civilisation de l’amour.
50 ans après l’encyclycle popularum progressio. Ce document de travail, disponible en différentes langues, donne des orientations pour l’éducation catholique du monde entier.
Il insiste notamment sur l’obligation, pour l’école catholique, de se montrer inclusive, et de créer les conditions d’une vraie culture du dialogue. Le Comité Directeur de l’OIEC a proposé que le titre du prochain congrès de l’OIEC, qui aura lieu en 2019 à New York soit celui de ce document : «Eduquer à l’humanisme solidaire : pour construire une civilisation de l’amour».
On observe parfois des carences d’organisation ou de techniques et des retards, qui contrastent avec l’évolution rapide qui est en train de se réaliser dans les systèmes et les techniques de communication, intéressant tout l’univers culturel, social et spirituel de la personne humaine.
Pour que la préparation des futurs prêtres soit, dans ce domaine, moins inadéquate et réponde mieux aux graves devoirs qui les attendent, la Congrégation pour l’Education Catholique, après de nombreuses consultations auprès des experts en la matière, et, d’une façon particulière auprès de la Commission Pontificale pour les Communications Sociales, a le plaisir d’offrir aux Séminaires les présentes « Orientations ».
CONGREGATION POUR L’EDUCATION CATHOLIQUE
Déclaration commune de la Congrégation pour l’éducation catholique et la Congrégation pour le Clergé à propos de la formation, le ministère et la vie des diacres permanents du 22 février 1998.
Ce document comprend trois parties complémentaires :
La Congrégation pour l’Éducation catholique s’est occupée longuement depuis plusieurs années de mettre en oeuvre, selon les prescriptions du II° Concile du Vatican, elle ajoute, ce 3 juin 1979, la présente Instruction sur la formation liturgique dans les Séminaires.
Toute formation liturgique authentique comprend non seulement l’enseignement, mais la pratique. En effet, parce qu’elle est initiation « mystagogique », les élèves la reçoivent d’abord et surtout par la vie liturgique elle-même, à laquelle ils sont initiés de plus en plus profondément par les actions liturgiques célébrées en commun. Cette sérieuse initiation pratique est ensuite la base de l’étude: elle est supposée déjà acquise pour l’explication des questions liturgiques.
Lettre circulaire sur quelques aspects urgents concernant la formation spirituelle dans les séminaires (6 janvier 1980).
C’est un rappel à l’ordre, ou si l’on préfère une invitation pressante à retrouver quelques-unes des règles classiques de la préparation des futurs prêtres au sacerdoce. Les responsables du Vatican notent » la reprise sur une grande échelle » des vocations sacerdotales dans le monde. Néanmoins une minorité de pays ou de diocèses » sont lents à suivre » cette inversion de tendance qui est » due au renouvellement spirituel des séminaires « . C’est à leur intention, semble-t-il, que la congrégation pour l’éducation catholique a voulu définir » des lignes directrices « .
La Congrégation pour l’Éducation catholique publie trois nouvelles Instructions fixant les règles concernant les établissements d’enseignement supérieur et leur éventuelle agrégation, incorporation et affiliation.
«Nous voulons relever les défis d’aujourd’hui pour que le système des études ecclésiastiques suive l’élan d’une Église toujours plus en sortie missionnaire», affirme Mgr Zani, secrétaire du dicastère romain. Ces trois instructions font suite à la Constitution apostolique Veritatis Gaudium sur les universités et les facultés ecclésiastiques, promulguée par le Pape François le 8 décembre 2017.
Ces documents sont destinés à répondre à la nécessité de «faire réseau» dans la réalité composite des instituts d’études supérieures pour une Église en sortie et missionnaire. «Il s’agit d’une perspective qui assigne une tâche exigeante aux disciplines prévues dans les études ecclésiastiques ainsi qu’aux Institutions elles-mêmes» des trois Instructions. Elles visent à pourvoir au «progrès de ces Instituts, (…) à leur opportune distribution dans les différentes parties du monde»
La Congrégation pour l’Education catholique a publié des «Directives pour la préparation des éducateurs de séminaire».
Le document, d’une quarantaine de page et divisé en cinq parties, a été présenté mardi par le cardinal Pio Laghi et par Mgr José Saraiva Martins, respectivement préfet et secrétaire du dicastère. La situation actuelle se caractérise par un manque d’éducateurs et par l’exigence d’un renouveau pédagogique devant un monde en mutation. Le document, daté du 4 novembre 1993, survient à une période ou le débat sur le célibat des prêtres est vivement relancé. La révélation de cas d’homosexualité et de pédophilie, notamment parmi le clergé américain a fait grand bruit dans la presse. A un point tel que le pape est revenu sur la question à plusieurs reprises dans ses discours. Les statistiques accompagnant le document indiquent aussi l’urgence du problème de la ‘formation des formateurs’.
Dans les années 1960, l’usage de la psychologie s’est considérablement développé dans certains pays, dont la France et les pays anglo-saxons. L’Église s’est alors demandé s’il ne fallait pas poser des limites. Présentant le 29 juin le document, Mgr Jean-Louis Bruguès, secrétaire de la Congrégation pour l’éducation catholique, a rappelé que lui-même, entrant dans l’ordre dominicain en 1968, avait passé des entretiens psychologiques qui étaient « un préalable » à l’admission. Après une longue réflexion – plus de trente années ! -, le document cherche à trouver un équilibre entre le « tout psychologique » et son absence totale. Car, même si « la vocation au sacerdoce échappe aux compétences strictes de la psychologie », la nécessité d’un discernement à la lumière des éléments psychologiques est reconnue : « Trop d’inaptitudes psychiques, plus ou moins pathologiques, ne se manifestent qu’après l’ordination sacerdotale. Les discerner à temps permettra d’éviter beaucoup de drames. »
Le 10 juin 2019, la Congrégation pour l’éducation catholique a publié un document intitulé « Homme et femme il les créa. Pour une voie de dialogue sur la question du genre dans l’éducation ».
Ce document de 31 pages, en date du 2 février 2019, fête de la Présentation du Seigneur, est signé par le cardinal Giuseppe Versaldi, préfet, et Mgr Angelo Vincenzo Zani, secrétaire.
Il est articulé autour de trois verbes – écouter, raisonner, proposer – comme trois attitudes.
Culture
Etudie les différences entre la foi chrétienne et le New Age, qui ont en commun d’apporter des réponses à des personnes en quête de spiritualité. La religion catholique se démarque de ce mouvement par son rejet du rationalisme et du matérialisme et par l’importance qu’elle accorde à la recherche du sens de la vie, au lien entre tous les êtres et au désir de transformation personnelle.
Document publié par le Conseil Pontifical de la culture et conjointement pour le Dialoque interreligieux, le 3 février 2003.
En fin de Réflexion se trouve en Appendice un ensemble de termes NA (7.2) ; et en 8 un biographie.
Face à un affaiblissement de la foi à l’aube du nouveau millénaire, ce document de l’Assemblée plénière du Conseil pontifical de la Culture de mars 2004 replace la culture au coeur de la rencontre de l’Eglise avec la non-croyance et l’indifférence.
Devant la soif de Dieu qui habite le coeur de l’homme avec l’aspiration au bonheur, le grand défi de l’Eglise pour la culture moderne pour est lancé : renouer le dialogue avec le monde politique, artistique, économique, médiatique et scientifique pour retrouver sa crédibilité et susciter un nouvel interêt culturel.
L’enjeu de cette Assemblée plénière est triple :
Auteur : Le Conseil pontifical de la Culture, présidé par le Cardinal Paul Poupard, est le Dicastère de la Curie Romaine qui aide le Souverain Pontife dans la rencontre entre le message de salut de l’Evangile et les cultures, l’étude des graves phénomènes de la rupture entre évangile et culture, de l’indifférence religieuse et de la non-croyance. En outre, le Conseil pontifical de la Culture, suit et coordonne l’activité des Académies pontificales.
Le Conseil Pontifical de la Culture, dans un document du 23 mai 1999, voudrait partager un ensemble de convictions et de propositions concrètes, fruit de nombreux échanges, notamment grâce à une coopération féconde avec les évêques, pasteurs des diocèses, et leurs collaborateurs en ce champ apostolique, pour une pastorale renouvelée de la culture comme lieu de rencontre privilégiée avec le message du Christ.
Le 17 décembre 2018, le Conseil pontifical de la culture a publié un texte d’orientation sur l’utilisation des églises déconsacrées. Intitulé en français : « Les églises : l’usage cultuel en question ? Lignes directrices », ce document est le fruit d’un colloque qui s’est déroulé à l’Université pontificale Grégorienne de Rome les 29-30 novembre 2018.
Une rencontre, sur le thème « Dieu n’habite plus ici ? Désaffectation des lieux de culte et gestion intégrée des biens culturels religieux ».
Le présent document du Conseil pontifical de la culture « propose de donner une lecture du phénomène tel qu’il se présente aujourd’hui » tout en souhaitant fournir aux communautés chrétiennes « des outils » pour y faire face en prenant conscience « de la grande variété de situations concrètes et des différences qualitatives des bâtiments ».
Les 27 et 28 mars 2006 l’assemblée plénière du Conseil Pontifical de la Culture propose de suivre la voie de la beauté (Via pulchritudinis) comme chemin d’évangélisation des cultures et de dialogue avec les non-croyants.
A partir de l’émerveillement devant la beauté de la création, l’assemblée nous propose de redécouvrir les différentes forme de beauté, sa perception par les personnes extérieures à l’Eglise, l’art sacré, la beauté lumineuse du christ et son reflet dans la sainteté chrétienne.
Autres
L’islam et le christianisme sont des religions de la même famille.
Le nombre de personnages bibliques tant néo-testamentaires que vétéro-testamentaires mentionnés par le Coran l’atteste clairement, ainsi que les thèmes abordés dans le Coran. L’islam est né dans une Arabie en partie christianisée même si le christianisme de l’Arabie n’était pas le christianisme chalcédonien.
Au 20e s., des personnalités et des institutions des deux religions ont mis des mots sur cette évidence, tant le concile de Vatican II que le Conseil Œcuménique des Églises ou l’Organisation de la Conférence Islamique, ainsi que des intellectuels tels Louis Massignon, Mohammed Talbi ou Djamel Benstaali. Il y a même eu des tentatives de la part des théologiens des deux religions pour trouver un langage commun sur des questions controversées.
Instruction pontificale pastorale sur les moyens de communication et l’Evangélisation Cité du Vatican, le 22 février 1992. «Aetatis Novae».
Un plaidoyer pour le droit de tous à l’information Rome, 17 mars(APIC)
L’Eglise catholique dispose désormais d’un nouvel instrument de réflexion sur la communication, que Jean Paul II n’hésita pas à appeler en 1989 «la nouvelle frontière de la mission de l’Eglise». Le Conseil pontifical pour les moyens de communication sociale a en effet présenté mardi 17 mars au Vatican un nouveau document intitulé «Aetatis Novae».
Contrairement à certaines rumeurs suggérant qu’il était en retrait par rapport aux précédents documents du Vatican sur les médias, «Aetatis Novae» insiste sur le «droit fondamental au dialogue et à l’information au sein de l’Eglise», un droit indispensable à sa crédibilité et un moyen de réaliser concrètement son caractère de communion.
Ce nouveau document de 36 pages, actuellement disponible en 7 langues, est un complément à l’Instruction pastorale «Communio et Progressio» de 1971, actualisée à la lumière des changements technologiques et politiques qui ont bouleversé le monde à la veille du troisième millénaire.
Il a été présenté par l’archevêque John P. Foley, président du Conseil pour les moyens de communication sociale, au cours d’une conférence de presse présidée par le cardinal Andrzej Maria Deskur, ancien responsable de ce Conseil.
Ce «supplementum», fruit d’un travail de six ans, conserve les principes de base de l’Instruction «Communio et Progressio», et contient un utile rappel du «droit fondamental au dialogue et à l’information au sein de l’Eglise». Il souligne «la nécessité de continuer à rechercher les moyens efficaces de favoriser et de protéger ce droit, notamment par une utilisation responsable des moyens de communication». D’ailleurs, le Code de droit canonique dit également que, tout en manifestant leur obéissance envers les pasteurs de l’Eglise, les fidèles «ont la liberté de (leur) faire connaître leurs besoins, surtout spirituels, ainsi que leurs souhaits». (Canon 212.2)
Une question de crédibilité «Il y a là, estime le document, un moyen de maintenir et de renforcer la crédibilité et l’efficacité de l’Eglise. Plus fondamentalement encore, ce peut être un moyen de réaliser concrètement le caractère de communion de l’Eglise, qui trouve son fondement dans la communion intime de la Trinité et qui la reflète». «Aetatis Novae» affirme qu’entre les membres de l’Eglise, «il existe une égalité foncière de dignité et de mission qui provient du baptême (…) Cette égalité s’exprimera dans un partage honnête et respectueux de l’information et des opinions». En cas de désaccord, cependant, le document du Vatican recommande de ne pas exercer une pression sur l’opinion publique, car ce n’est pas ainsi que l’on peut contribuer à la clarification des problèmes doctrinaux.
Les médias au service d’une nouvelle évangélisation: «Aetatis Novae» souligne que l’utilisation des médias est devenue essentielle à l’évangélisation et à la catéchèse, et «l’Eglise se sentirait coupable devant son Seigneur si elle ne mettait en oeuvre ces puissants moyens que l’intelligence humaine rend chaque jour plus perfectionnés». Par conséquent, les médias – et le document insiste en particulier sur l’impact de l’audiovisuel – doivent être des instruments au service du programme de réévangélisation et de nouvelle évangélisation dans le monde contemporain. Malgré une attitude fondamentalement positive et ouverte face aux médias, – l’Eglise cherche à pénétrer la culture nouvelle créée par les médias et à l’évangéliser – elle en fait également une évaluation critique et qualifie l’application de la technologie des communications de «demi-bienfait». «Dans la situation actuelle, il arrive que les médias exacerbent les obstacles invididuels et sociaux qui empêchent la solidarité et le développement intégral de la personne humaine». Et de nommer ces obstacles par leur nom: sécularisme, consumérisme, matérialisme, déshumanisation, absence d’intérêt pour les pauvres et les démunis… «Le droit de communiquer est le droit de tous»
Le document souligne encore le rôle social particulier des médias et déplore, en parlant notamment des structures économiques et politiques, la monopolisation que certains exercent sur les médias, le non-accès de certains groupes ou classes à ces moyens de communication, la réduction systématique du droit fondamental à l’information dans divers endroits du monde. «On ne peut accepter que l’exercice de la liberté de communication dépende de la fortune, de l’éducation ou du pouvoir politique», note encore «Aetatis Novae», qui insiste sur le fait que «le droit de communiquer est le droit de tous». Par conséquent, pour concrétiser ce droit, il faut des initiatives de type national et international, non seulement pour donner aux pauvres et aux moins puissants l’accès à l’information, mais pour qu’ils puissent également jouer un rôle actif et responsable dans le contenu des médias et la détermination des structures et des politiques en ce domaine.
L’Eglise estime encore qu’elle doit développer et favoriser ses propres instruments et programmes catholiques de communication. Ceux-ci comprennent notamment la presse et les éditeurs catholiques, la radio et la télévision catholiques, ainsi que les divers organismes et personnes actifs dans ce domaine. «Les communications font partie intégrante de tout plan pastoral», conclut le document qui souligne l’urgence et la priorité d’un plan pastoral pour les communications sociales.
Directoire pour le ministère pastoral des évêques, publié en 2004 par la Congrégation pour les Eveques.
Contient un index thématique complet.
En la fête de saint François Xavier, le 3 décembre 1993, après une large consultation des Eglises locales et des centres catéchétiques des territoires de mission, et en tenant compte des observations issues de l’Assemblée plénière du Dicastère, le « Guide du catéchiste » a été publié, avec l’espoir que son application dans les Eglises dépendant du Dicastère Missionnaire, « tout en promouvant de façon renouvelée la figure du catéchiste, contribuera à garantir une croissance unifiée de ce secteur vital pour l’avenir de la mission dans le monde » (extrait de la présentation du Cardinal Jozef Tomko).
En 37 points, divisés en trois parties, sept chapitres, une introduction et une conclusion, le « Guide » trace d’abord le profil du catéchiste, sous divers aspects. Il s’agit de la vocation, du rôle, de la spiritualité, du zèle missionnaire, de la cohérence de vie, de l’inculturation, de la promotion humaine, du sens œcuménique, du dialogue avec les autres religions, de l’attention à la propagation des sectes, etc. La deuxième partie est consacrée au choix et à la formation du catéchiste, en indiquant les critères de sélection et le parcours de formation, qui doit comprendre de multiples domaines : humain, doctrinal, pastoral, missionnaire… La dernière partie est consacrée aux « Responsabilités envers le catéchiste » du peuple de Dieu, des évêques, des prêtres, des formateurs.
Le Conseil Pontifical pour les communications sociales a publié le 22 février 2002 ce document.
Au mois de Mai, de la même année, Jean-Paul, lors de la XXXVIe JOURNÉE MONDIALE DES COMMUNICATIONS SOCIALES, confirmera les réflexion du Conseil Pontifical :
Internet fait apparaître des milliards d’images sur des millions d’écrans d’ordinateurs partout dans le monde. De cette galaxie d’image et de son, le visage du Christ ressortira-t-il et la voix du Christ sera-t-elle entendue? Car ce n’est que lorsque son visage sera contemplé et sa voix entendue que le monde connaîtra la bonne nouvelle de notre rédemption. Tel est le but de l’évangélisation. Et c’est ce qui fera d’Internet un espace véritablement humain, car s’il n’y a pas de place pour le Christ, il n’y a pas de place pour l’homme. C’est pourquoi, en cette Journée mondiale des Communications, j’exhorte toute l’Eglise à franchir courageusement ce seuil, à prendre le large dans les profondeurs d’Internet, afin qu’à présent, comme par le passé, le grand engagement de l’Evangile et de la culture puisse montrer au monde « la gloire de Dieu qui est sur la face du Christ ».
Le 4 juin 2000, lors de la Journée Mondiale des Communications Sociales, Jubilée des Journalistes, Le Conseil Pontifical pour les communcations Sociles a publié ce document.
Une éthique de la communication, c’est-à-dire le savoir bien communiquer au service de bonnes finalités se construit sur des définitions précises de l’autonomie, de l’interaction et de la communication interpersonnelle. Mais l’étape essentielle consiste à identifier la structure unité d’interaction pour en anticiper toutes les conséquences dangereuses.
On peut alors déduire de ces définitions les pièges, les principes et les précautions susceptibles de viabiliser les quatre fonctions repérées dans la pragmatique de la communication : le transfert d’information, le pilotage de l’action, la création de relation et la découverte d’identité.
Dans ce document, Le Conseil Pontifical pour les communications sociales, le 22 février 2002, désire proposer un point de vue catholique sur Internet, comme point de départ pour la participation de l’Eglise au dialogue avec les autres secteurs de la société, en particulier les autres dénominations religieuses, en ce qui concerne le développement et l’utilisation de ce remarquable réseau multimédia.
Internet est une source de grands bienfaits aujourd’hui et promet de l’être plus encore. Mais il peut aussi causer beaucoup de mal. Ce qu’Internet deviendra, en bien ou en mal, est essentiellement une question de discernement — un choix auquel l’Eglise apporte deux contributions majeures: son engagement en faveur de la dignité de la personne humaine et sa longue tradition de sagesse morale.
Le 3 juin 2021 Le Dicastère pour les laïcs a publié un décret général sur les associations internationnales et l’exercice du gouvernement en leur sein par les laïcs. Ce décret du Saint-Siège vient strictement encadrer la durée des mandats de gouvernement au sein des associations de fidèles. Ceux-ci ne pourront pas être exercés pendant plus de dix ans, avec une exception possible pour les fondateurs. Ce décret est paru avec une note explicative que vous trouverez à la suite du Décret (§100 et ss). Ces deux documents sont suivi d’un Commentaire sur le Décret Associations internationales de fidèles d’ULRICH RHODE, Doyen de la Faculté de droit canonique de l’Université pontificale grégorienne (traduction libre du document italien, §200 et ss)
« Enchiridion des indulgences – normes et concessions », par le Pénitencerie Apostotlique.
Traduction française par la Procure de l’œuvre de Montligeon à Rome, approuvée par la Pénitencerie Apostolique.
Troisième édition française, janvier 2000.
Une génération d’enfants subit de plein fouet la pandémie », constate la Commission Covid-19 du Vatican 15 décembre 2021, document de la Commission Covid-19 du Vatican sur les enfants » victimes les plus vulnérables de la pandémie « .
S’appuyant sur les propos du pape François, le document de la Commission Covid-19 du Vatican souligne que le » cri silencieux » des enfants pauvres devrait » trouver le peuple de Dieu en première ligne, toujours et partout, afin de leur donner une voix, de les défendre et de se solidariser avec eux devant tant d’hypocrisie et devant tant de promesses non tenues… «
« Le crime qui est connu comme la Shoah, reste une tache indélébile dans l’histoire du siècle qui se conclut », écrivait le Pape Jean Paul II le 12 mars 1998, dans une Lettre adressée au Cardinal Edward I. Cassidy, Président de la Commission pour les Rapports Religieux avec le Judaïsme, pour accompagner la publication du Document « Nous nous souvenons : Réflexion sur la Shoah ».
En préparation au Grand Jubilé de l’An 2000, et au début du troisième millénaire de l’ère chrétienne, le Pape invitait les fils et les filles de l’Eglise à purifier leur coeur « par le repentir pour les erreurs et les infidélités du passé » et à « se mettre humblement devant Dieu et à s’examiner sur la responsabilité que, eux aussi, ils avaient pour les maux de notre temps ». Ce texte, suscité par le Pape Jean-Paul II redit combien l’Église n’oublie pas la Shoah et veut continuer sa route en gardant des relations fortes avec le peuple Juif, un peuple de « frères aînés ». L’Église, par la même occasion regrette « profondément les erreurs et les fautes de ses fils et de ses filles ». Le document est précédé de la Lettre de Jean-Paul II au Cardinal Cassidy.
Le Cardinal J. Willebrands, en tant que Président de la nouvelle Commission pour les Relations religieuses de l’Église catholique avec le Judaïsme, publié ce document pour l’application concrète des textes du concile dans le rapport à la religion juive.
Datée du 28 octobre 1965, la Déclaration Nostra Aetate du IIème Concile du Vatican, « sur les relations de l’Église avec les religions non-chrétiennes » (n. 4), représente un tournant important dans l’histoire des rapports entre juifs et catholiques. L’initiative conciliaire s’est d’ailleurs inscrite dans une conjoncture profondément modifiée par le souvenir des persécutions et des massacres de juifs qui se sont déroulés en Europe juste avant et pendant la seconde guerre mondiale. Bien que le christianisme soit né dans le judaïsme et qu’il en ait reçu certains éléments essentiels de sa foi et de son culte, le fossé s’est creusé de plus en plus au point d’en arriver presque à une méconnaissance de part et d’autre. Après deux millénaires, marqués trop souvent par une ignorance mutuelle et de fréquents affrontements, la Déclaration Nostra Aetate donnait l’occasion d’engager ou de poursuivre un dialogue visant à une meilleure connaissance réciproque. Durant les neuf années écoulées, de nombreuses initiatives ont été prises en divers pays. Elles ont permis de mieux discerner les conditions dans lesquelles peuvent s’élaborer et se développer de nouvelles relations entre juifs et chrétiens. Le moment semble venu de proposer, selon les orientations du Concile, quelques suggestions concrètes, fruits de l’expérience, en espérant qu’elles aideront à réaliser dans la vie de l’Église les intentions exposées par le document conciliaire.
« Notes pour une correcte présentation des Juifs et du judaïsme dans la prédication et la catéchèse de l’Église catholique » par le cardinal Willebrands.
En premier lieu, le Concile Vatican II est un thème qui revient d’un bout à l’autre des déclarations du pape JP II. Le texte phare est évidemment le paragraphe 4 de la Déclaration Nostra Aetate : « Scrutant le mystère de l’Église, le Concile rappelle le lien qui relie spirituellement le peuple du Nouveau Testament avec la lignée d’Abraham ». S’appuyant sur ces mots et la suite de la Déclaration, le pape souligne sans cesse le « patrimoine commun » et le « lien » qui relie nos deux confessions, juive et chrétienne. Développant le texte du Concile, il renvoie fréquemment à deux déclarations de la Commission pour les relations religieuses avec le judaïsme qui en développent le sens : Les Orientations et suggestions pour l’application de la déclaration conciliaire « Nostra Aetate » (n° 4) (1975) et ces Notes pour une correcte présentation des Juifs et du judaïsme dans la prédication et la catéchèse de l’Église catholique (1985).
Le 28 mai 2023, en la solennité de la Pentecôte, le Dicastère pour la communication a publié son premier document depuis sa création en 2015. Signé de Paolo Ruffini, préfet du Dicastère, et Mgr Lucio Ruiz, secrétaire, le texte fort d’une vingtaine de pages – placé sous l’intitulé « Vers une présence totale. Une réflexion pastorale à propos de l’engagement sur les réseaux sociaux » – vise à promouvoir une discussion commune sur l’implication des chrétiens dans les réseaux sociaux, réseaux qui font de plus en plus partie de la vie des gens et qui ont « un impact profond à la fois sur nos communautés de foi et sur nos parcours spirituels individuels ». Le document s’interroge également – en s’inspirant de la parabole du Bon Samaritain (voir Fratelli tutti) – sur la notion chrétienne de « prochain » dans l’univers numérique
Fondamentalement, le texte réaffirme l’autorité absolue de l’évêque sur l’ensemble du déroulement d’un synode diocésain.
Cette autorité s’exerce en particulier sur les choix des sujets à discuter et sur «l’orthodoxie des conclusions», qui doivent être conformes à la doctrine de l’Eglise. Si chacun des membres du synode a «la possibilité d’exprimer librement son opinion sur les questions proposées», l’évêque a celle «d’exclure des discussions synodales des thèses et des positions qui sont en désaccord avec la doctrine éternelle de l’Eglise et du magistère pontifical». Celle aussi de «suspendre ou dissoudre un synode dont l’orientation serait irrémédiablement contraire à l’enseignement de l’Eglise».
La Profession de la Foi
Compilations
Les Pères dans la Foi
Collection éditée
Par l’Association J. P. MIGNE
Chez Desclée de Brouwer
Apostoliques
Epître aux Corinthiens de Clément de Rome, Evèque de Rome et quatrième pape de 89 à 87.
On lui attribue 2 épîtres dont la première semble authentique (Épître au Corinthiens vers 96). Cette épître est dirigée contre des pratiques immorales de prostitution liées au temple d’Aphrodite.
Clément a été mis prétendument à mort sous l’empereur Domitien.
La Didachè est un petit livre qui fut écrit en langue grecque, sans doute en Syrie, vers la fin du premier siècle ou au début du deuxième siècle de notre ère. Elle a été de bonne heure l’objet d’une grande vénération, à tel point que pendant un temps on la lisait, avec les Epîtres, aux cultes de la primitive Eglise.
Les Pères de l’Eglise (Saint Irénée, Clément d’Alexandrie, Athanase, Origène, etc…) l’ont très fréquemment citée, ainsi que Eusèbe, l’auteur de l’Histoire ecclésiastique. Enfin elle fut traduite en latin et en arabe.
Soudainement elle disparut et, pendant des siècles, on n’avait pas de raison d’espérer la retrouver, lorsque M. Philothée Bryennios, patriarche de Nicomédie, alors qu’il était évêque de Sérès (Macédoine) et doyen de l’Ecole du Phanar, à Constantinople, en découvrit le manuscrit, vers 1873, dans la Bibliothèque du Saint-Sépulcre – laquelle se trouve dans le palais du Phanar, bien qu’appartenant au patriarcat de Jérusalem.
Le manuscrit retrouvé, d’une belle écriture cursive, a été copié à Jérusalem en 1056, par « Léon, scribe et pécheur ». M. Bryennios en a donné, en 1883, une édition très remarquable, avec introduction et commentaires. La découverte a eu un retentissement énorme. Par la suite, et jusqu’à ces derniers temps, il a paru sur la Didachè un nombre considérable d’études, dont beaucoup sont accompagnées de traductions.
Ce qui fait le grand intérêt de la Didachè, c’est qu’elle est le premier document extra-canonique du christianisme primitif, pratiquement contemporain des livres qui composent le Nouveau Testament. Selon les historiens qui ont cherché à fixer la date de sa rédaction, celle-ci se situerait entre les points extrêmes de 70 et 150.
Le mot grec Didachè, ou Didakhè, signifie Enseignement, ou Doctrine. Le manuscrit retrouvé est intitulé : Enseignement des douze Apôtres. En dehors de cette indication du titre, les douze apôtres ne sont jamais mentionnés dans le texte lui-même. Cela fait supposer que ce titre est dû à un copiste.
Apologie de Saint Justin.
Saint Justin, martyr (100 – 165), était un apologiste chrétien de langue grecque.
Après avoir pratiqué la philosophie païenne (Stoïque, Aristote, Pythagore, Platon), il se convertit et mourut martyr (décapité) sous le règne de Marcus Aurelius.
L’apologie consiste à éclairer l’intelligence pour aider la foi: c’est à dire répondre aux fausses raisons qui empêchent de croire, et énoncer les bonnes raisons qui poussent à croire en Dieu.
Epître aux Philippiens de Polycarpe de Smyrne.
Père apostolique, évêque de Smyrne, converti par les apôtres. Il était un disciple de Jean. Sa vie est principalement connue grâce aux écrits de son disciple saint Irénée de Lyon qui fait de longues citations de ses paroles. Il fut intransigeant envers l’hérétique Marcion. Ignace d’Antioche lui dédie une épître.
Il mourut martyr en 155.
Orientaux
Saint Grégoire de Nysse: épître à Olympios, touchant la perfection
Traduit par Michel Royer
Traité sur la Virginité de Grégoire de Nysse.
Origen, De principiis.
Patrologia Latina
Saint Jean Chrysostome
Tome IV p. 337-388 – 2 discours.
– A QUI NE SE NUIT PAS A LUI-MÊME NUL NE PEUT NUIRE.
– CONTRE CEUX QUI SE SCANDALISENT.
OEuvres complètes sous la direction de M. Jeannin, Bar-le-Duc 1864.
Tome XI, p. 272-404
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
OEuvres complètes sous la direction de M. Jeannin, Bar-le-Duc 1864.
Tome XI, p. 272-404
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
Libre accès clerus
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/
Oeuvres Complètes – Bar-le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1864, tome II
Tome 3 p. 333-365.
Depuis la page 535 – 581
HOMÉLIE DIVERSES CONTENUES DANS LE TOME 6
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/
Chrysostome sur Actes.
Tome 8 557-595.
8 discours sur la Genèse (année 386)
traduits par M. PORTELETTE.
Oeuvres complètes, Bar-le-Duc 1864, Tome V p. 441-484.
Saint Chrysostome sur Ephésiens.
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/
COMMENTAIRE DE SAINT JEAN CHRYSOSTOME SUR L’ÉPÎTRE DE SAINT PAUL AUX HÉBREUX, PUBLIÉ APRÈS SA MORT, D’APRÈS SES NOTES, PAR CONSTANTIN, PRÊTRE D’ANTIOCHE.
Tome XI p. 451-599.
Oeuvres Complètes – Bar-le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1864, tome II
Tome 3 p. 333-365.
Depuis la page 535 – 581
HOMÉLIE DIVERSES CONTENUES DANS LE TOME 6
Quelques homélies de Saint Jean Chrysostome:
Traduction de J. Bareille, extrait des Oeuvres complètes de st. Jean Chrysostome, t.10, 1864
Commentaire de saint Jean Chrysostome sur l’Evangile selon Saint Jean
Traduction sous la direction de M. Jeannin
Bar-Le-Duc, 1865
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
http://membres.lycos.fr/abbayestbenoit/
Commentaire de saint Jean Chrysostome sur l’Evangile selon Saint Matthieu
Traduction sous la direction de M. Jeannin
Bar-Le-Duc, 1865 Tome 7 et 8
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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sous la direction de M. Jeannin, Bar-le-Duc 1864
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
Explications de saint Jean Chrysostome sur les psaumes.
Premier des trois volumes, de l’édition de l’abbé J. Bareille, publiée à Paris en 1867:
Oeuvres complètes de saint Jean Chrysostome, tomes 8 et 9
OEuvres complètes sous la direction de M. Jeannin, Bar-le-Duc 1864.
Tome X p. 189 – 433
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
Saint Jean Chrysostome, Traité du sacerdoce.
Traduit, par J.-B. J., professeur au collège de l’Immaculée-Conception de Saint-Dizier.
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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Chrysostome sur Thess.
Tome XI p. 178-245.
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Traité sur la Virginité de Saint Jean Chrysostome.
Traduction de J. Bareille, Oeuvres complètes de st. Jean Chrysostome, 1864
Saint Jean Chrysostome, APOLOGIE DE LA VIE MONASTIQUE
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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Saint Jean Chrysostome sur la Génèse
HOMELIES SUR OZIAS OU TOUCHANT LES SÉRAPHINS.
Tome VI p. 402-435.
Saint Jean Chrysostome sur Isaïe
Lettres de saint Jean Chrysostome
Synopse ou abrégé de l’ancien et du nouveau testament disposé suivant un ordre de matières qui vient en aide a la mémoire.
TRAITÉS CONTRE LES SECONDES NOCES.
DISCOURS CONTRE LES JUIFS. Bar-le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1864.
Saint Ephrem
Traduction française des Confessions de Saint Ephrem le Syrien.
Quelques Hymnes et Ecrits de Saint Ephrem le Syrien:
Traduction française des Discours exégétiques de Saint Ephrem le Syrien
Homélie de Saint Ephrem le Syrien sur Sainte Marie-Madeleine.
Saint Jean de Damas
Saint Jean Damascène – HOMÉLIE SUR LA DORMITION
De l’humble moine prêtre Jean de Damas, discours pour la dormition de Notre-Dame très sainte, la Mère de Dieu et toujours Vierge Marie.
Saint Jean Damascène – DEUXIEME HOMÉLIE SUR LA DORMITION
De l’humble moine prêtre Jean de Damas, discours pour la dormition de Notre-Dame très sainte, la Mère de Dieu et toujours Vierge Marie.
Saint Jean Damascène – TROISIEME HOMÉLIE SUR LA DORMITION
De l’humble moine prêtre Jean de Damas, discours pour la dormition de Notre-Dame très sainte, la Mère de Dieu et toujours Vierge Marie.
Saint Jean Damascène – HOMÉLIE SUR LA NATIVITÉ
De l’humble moine prêtre Jean de Damas, discours pour la naissance de Notre-Dame très sainte, la Mère de Dieu et toujours Vierge Marie.
Occidentaux
Saint Hilaire
Hilarius.
In Ev. Matthaei.
TRACTATUS SUPER PSALMOS
SANCTI HILARII PICTAVIENSIS EPISCOPI
DE TRINITATE LIBRI DUODECIM, SANCTI HILARII PICTAVENSIS EPISCOPI (CIRCITER AN. 356 INCHOATI.)
SaintAmbroise
Ambrosii epistula ad sororem Marcellinam
Ecrits de saint Ambroise de Milan sur la virginité. Traduits et présentés par Dom Marie-Gabriel Tissot, osb.
Saint Jérôme
OEUVRES DE SAINT JEROME – SERIE VI
Correspondance.
Publiée par M. BENOIT MATOUGUES
Paris 1938.
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
EXPLICATION DU PSAUME XLIV A LA VIERGE PRINCIPIA.*
EXPLICATION DE LA PARABOLE DE L’ENFANT PRODIGUE.*
TRAITÉ SUR LES SÉRAPHINS.*
FRAGMENTS SUR TOUS LES LIVRES DE L’ANCIEN TESTAMENT.*
SUR LE PROPHETE ABDIAS. A PAMMAQUE.*
SUR LA TRADUCTION DU PROPHETE ISAIE, A PAULA ET A EUSTOCHIA.*
PRÉFACE DE LA TRADUCTION DU LIVRE SUR LE SAINT-ESPRIT DE DYDYME, A PAULINIEN.*
EXPLICATION DES CéRéMONIES DE L’ANCIENNE LOI ET DE L’HABILLEMENT DES PRETRES.*
EXPLICATION DU PSAUME LXXXIX.*
12 QUESTIONS A HÉDIBIA.*
11 QUESTIONS A ALGASIA.*
A MINERVIUS ET A ALEXANDRE.*
TRAITÉ SUR LES DEVOIRS D’UN TRADUCTEUR DES LIVRES SACRÉS.*
traduction BENOIT MATOUGUES, Paris 1838
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
Oeuvres de Saint Jérôme. SÉRIE VII. FRAGMENTS DIVERS.
AU PAPE DAMASE, SUR LA RÉVISION DU TEXTE DES QUATRE ÉVANGILES.
FRAGMENT DU COMMENTAIRE SUR L’ÉPÎTRE DE SAINT PAUL A TITE (1).
A PAULA ET A EUSTOCHIA, SUR LA LETTRE DE PAUL AUX ÉPHÉSIENS.
A PAULA ET A EUSTOCHIA, SUR LE COMMENTAIRE DE L’EPÎTRE DE SAINT PAUL AUX GALATES. SUR LE COMMENTAIRE DE L’ÉPÎTRE DE SAINT PAUL AUX GALATES.
FRAGMENT DU COMMENTAIRE SUR LE PROPHÉTE HABACUC.
A CHROMATIUS, ÉVÊQUE D’AQUILÉE. DU COMMENTAIRE SUR JONAS.
SUR LA RÈGLE DE SAINT PACOME, LÉGISLATEUR DES MOINES D’ÉGYPTE.
FRAGMENT DU COMMENTAIRE SUR LE PROPHÈTE JOËL.
AUTRE FRAGMENT DU COMMENTAIRE SUR LE PROPHÈTE JOËL.
FRAGMENT DU COMMENTAIRE SUR LE PROPHÈTE ÉZÉCHIEL.
AUTRE FRAGMENT DU COMMENTAIRE SUR LE PROPHÈTE EZÉCHIEL.
FRAGMENT DE LA LETTRE A LA VIERGE DÉMÉTRIADE SUR LA VIRGINITÉ.
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
Saint Jérôme.
SÉRIE III. TRAITÉS DE MORALE. DES VANITÉS DU SIÈCLE. CONSOLATIONS ADRESSÉES A UN MALADE. DE L’ÉDUCATION DES FILLES. Publiées par M. BENOIT MATOUGUES
sous la Direction de M.L. Aimé Martin.
PARIS AUGUSTE DESPREZ,IMPRIMEUR-EDITEUR
MDCCCXXXVIII
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
VIES DE QUELQUES PÈRES DU DÉSERT.
VIE DE SAINT PAUL ERMITE.
VIE DE SAINT MALC.
VIE DE SAINT HILARION.
VIES DE PLUSIEURS SAINTES FEMMES DE ROME.
VIE DE SAINTE LÉA, VEUVE.
VIE DE SAINTE FABIOLA, VEUVE.
VIE DE SAINTE PAULA, VEUVE.
VIE DE SAINTE AZELLA, VIERGE.
VIE DE SAINTE MARCELLA, VEUVE.
TRAITÉ DES DEVOIRS DES PRÊTRES ET DES OBLIGATIONS DES SOLITAIRES.
CONSEILS SUR LA VIDUITÉ.
DU SOIN DE CONSERVER LA VIRGINITÉ
Publication de M. Benoit Matougues.
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
SÉRIE V. POLÉMIQUE.
QUESTIONS SUR LE SCHISME DE L’ÉGLISE D’ANTIOCHE
DÉFENSE DES LIVRES ÉCRITS PAR S. JÉRÔME CONTRE L’HÉRÉTIQUE JOVINIEN.
TRAITÉ SUR LA DISCUSSION DE JEAN , EVÊQUE DE JÉRUSALEM, AVEC SAINT ÉPIPHANE.
APOLOGIE DE SAINT JÉRÔME CONTRE LES ACCUSATIONS DE RUFIN.
TRAITÉ CONTRE L’HÉRÉTIQUE VIGILANTIUS, ou RÉFUTATION DE SES ERREURS.
TRAITÉ SUR LES ERREURS CONTENUES DANS LE LIVRE DES PRINCIPES D’ORIGÈNE.
LES ERREURS DE PÉLAGE.
TRAITÉ SUR LES JUIFS.
CONTRE LES MONTANISTES.
SUR LES ÉCRIVAINS GRECS ET LATINS.
CONTRE UN MOINE DE SES ENNEMIS.
TRAITÉ A THÉOPHILE, PATRIARCHE D’ALEXANDRIE, SUR JEAN DE JÉRUSALEM.
Publiées par M. BENOIT MATOUGUES.
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
Saint Augustin
LOCUTIONS EMPLOYÉES DANS L’HEPTATEUQUE.
Les sept Livres ont été traduits par M. l’abbé LECLERC.
Ouvrages tirés des Oeuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, 1866, tome Quatrième Commentaires sur l’Ecriture p. 323-374
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
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QUESTIONS SUR L’HEPTATEUQUE
Cette traduction est l’oeuvre de M. l’abbé POGNON
In Oeuvres complètes de Saint Augustin, Tome Quatrième, p. 375-589, Bar-Le-Duc, 1866
Abbaye Saint Benoît
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Cette traduction est due à M. l’abbé JOYEUX.
In Oeuvres complètes de Saint Augustin, Tome Quatrième, p.590-641, Bar-Le-Duc, 1866
Abbaye Saint Benoît
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ACCORD DES ÉVANGÉLISTES
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs,1867. p. 114-256.
Les deux premiers livres ont été traduits par M. l’abbé TASSIN, les deux derniers par M. l’Abbé BURLERAUX,
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EXPLICATION DU SERMON SUR LA MONTAGNE
Traduction de M. l’abbé DEVOILLE.
Abbaye Saint Benoît
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QUESTIONS SUR LES ÉVANGILES.
Ces deux livres ont été traduits par MM. les abbés FRESNOIS et POGNON.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin,
Traduites pour la première fois en français,
sous la direction de M. Raulx, Tome Vème,
Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc,
L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 318-350.
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DIX-SEPT QUESTIONS SUR L’EVANGILE SELON SAINT MATTHIEU.
Traduit par M. l’abbé POGNON.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 351-359
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EXPLICATION COMMENCÉE DE L’ÉPÎTRE AUX ROMAINS.
Traduction de M. l’abbé BARDOT.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 379-393
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EXPLICATION COMMENCEE DE L’ÉPÎTRE AUX ROMAINS.
Traduction de M. l’abbé BARDOT.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 379-393
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COMMENTAIRE DE L’ÉPÎTRE AUX GALATES.
Traduction de M. l’abbé RAULX.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 394-427
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De la Genèse de Saint Augustin
De la Genèse contre les manichéens, traduction par M. l’abbé Tassin.
De la Genèse au sens littéral ouvrage inachevé.
Étude sur le commencement de la Genèse jusqu’a ces paroles : » faisons l’homme à notre image. » traduction par M. l’abbé Tassin.
De la Genèse au sens littéral, cette traduction est l’oeuvre de M. Citoleux.
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Traité sur L’Evangilex de Saint Jean, de Saint Augustin.
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Augustini Hipponensis
Enarrationes in Psalmos.
Traités de Saint Augustin sur l’épître de saint Jean aux Parthes
Traduits par un Vicaire général qui a voulu garder l’anonymat et par M. l’abbé AUBERT, lequel a traduit aussi tous les traités sur l’Epître de saint Jean.
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais
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DIVERSES QUESTIONS A SIMPLICIEN (1)
Ces deux livres ont été traduits par M. l’abbé DEVOILLE.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 508-520
Abbaye Saint Benoît
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Traités
OEUVRES DE SAINT AUGUSTIN.
SUITE DES COMMENTAIRES SUR L’ÉCRITURE.
LE MIROIR SACRÉ
ou
PRÉCEPTES MORAUX TIRÉS DE L’ÉCRITURE SAINTE.
Traducteur du Miroir sacré, M. l’abbé JOYEUX.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867, p.1-113.
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COMMENTAIRES SUR L’ECRITURE.
DE LA DOCTRINE CHRÉTIENNE.
IN OEUVRES COMPLÈTES DE SAINT AUGUSTIN, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Raulx, Tome 4,p. 1-87. BAR-LE-DUC,1866.
Les quatre livres de la Doctrine chrétienne ont été traduits par M. l’abbé HUSSENOT.
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MÉTHODE POUR ENSEIGNER AUX CATÉCHUMÈNES LES ÉLÉMENTS DU CHRISTIANISME ou Traité du Catéchisme.
Traduction de M. CITOLEUX.
L’auteur, à la prière d’un diacre de Carthage, retrace les règles qui doivent guider le catéchiste. – Après avoir exposé la manière d’enseigner les vérités chrétiennes non-seulement avec méthode mais avec grâce et facilité, il joint l’exemple aux préceptes et propose deux discours comme modèles des instructions que l’on doit donner aux catéchumènes.
Abbaye Saint Benoît
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DE LA SAINTE VIRGINITÉ.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 123-149.
Combien la virginité l’emporte sur la chasteté conjugale.
Abbaye Saint Benoît
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AVANTAGES DE LA VIDUITÉ ou lettre à Julienne veuve.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 150-165.
Inférieure en mérite à la chasteté virginale, la chasteté des veuves l’emporte sur l’état conjugal. C’est Dieu qui accorde la grâce de cette chasteté. La conserver avec soin et veiller sur sa réputation.
Abbaye Saint Benoît
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DU TRAVAIL DES MOINES.
Traduction de M. l’abbé COLLERY.
In OEUVRES COMPLÈTES DE SAINT AUGUSTIN, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Raulx, Tome 12,p. 241-270. BAR-LE-DUC,1866.
Les moines d’Afrique s’étaient divisés sur la question du travail prescrit par ces paroles de l’Apôtre: «Celui qui ne veut pas travailler ne doit pas manger». La plupart y voyaient ce qu’ y a vu l’illustre patriarche des moines d’Occident, saint Benoit l’obligation du travail des mains. Quelques-uns voulaient, au contraire, entendre ce texte d’un travail purement spirituel, sans se croire même tenus aux labeurs de la prédication; les seuls exercices de la vie monastique suffisant, disaient-ils, à titre de labeurs spirituels; ainsi, d’ailleurs, prétendaient-ils observer plus littéralement le texte de l’Evangile: «Considérez les oiseaux du ciel, ils ne sèment point, etc.; les lys des campagnes, ils ne filent point».
Consulté par Aurèle, évêque de Carthage, saint Augustin démontre le sens des paroles de l’Apôtre, d’après le contexte d’abord; puis, d’après de nombreux passages de ses autres Epîtres, appuyés d’ailleurs de son exemple. Saint Paul a commandé et pratiqué le travail des mains, bien que ce commandement souffre exception en faveur des prédicateurs de l’Evangile. La comparaison des oiseaux et des lys ne défend que l’inquiétude au sujet du vivre et du vêtir, mais n’autorise pas la paresse. Il censure énergiquement certains moines fainéants et vagabonds, qui exploitaient la piété publique. Il rappelle à d’autres religieux, bien moins blâmables d’ailleurs, l’obligation de porter les cheveux rasés, et base cette obligation sur le précepte de saint Paul.
Abbaye Saint Benoît
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DE LA DIVINATION DES DÉMONS (1).
Traduction de M. l’abbé COLLERY.
In OEUVRES COMPLÈTES DE SAINT AUGUSTIN, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Raulx, Tome 12,p. 270-279. BAR-LE-DUC,1866.
Dieu permet que les démons devinent, et qu’il leur soit rendu un certain culte: mais il ne suit pas de là que ces divinations et ce culte soient dans l’ordre.
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DU SYMBOLE.
Discours adressé aux Catéchumènes.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
IN OEUVRES COMPLÈTES DE SAINT AUGUSTIN, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Raulx, Tome 12,p. 306-314. BAR-LE-DUC,1866.
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DE LA DISCIPLINE CHRÉTIENNE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 315-322.
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DU CANTIQUE NOUVEAU ET DU RETOUR À LA CÉLESTE PATRIE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 323-329.
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DE L’UTILITÉ DU JEUNE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 330-338.
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DE LA RUINE DE ROME.
Traduction de M. l’abbé BURLEREAUX.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 339-344.
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TRAITÉS PHILOSOPHIQUES.
LES SOLILOQUES ou Connaissance de Dieu et de l’âme humaine.
OEUVRES COMPLÈTES TOME 3 p. 125-155
Cette traduction anonyme a été revue et corrigée par M. l’abbé RAULX
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DE L’IMMORTALITÉ DE L’ÂME.
Ce traité fait suite aux Soliloques. Saint Augustin y prouve l’immortalité de l’âme par une suite de raisonnements que lui-même appelle concis et compliqués. Nous avons essayé d’y répandre autant de clarté que le permet une traduction fidèle et rigoureuse.
OEUVRES COMPLÈTES, TOME 3,P.157-168.
Traduction revue et corrigée par M. l’abbé RAULX.
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DE LA VIE BIENHEUREUSE (1)
CET OUVRAGE EST DÉDIÉ A THÉODORE. IL COMPREND TROIS DISCUSSIONS DONT LE BUT GÉNÉRAL EST DE PROUVER QUE LA VIE BIENHEUREUSE CONSISTE DANS LA PARFAITE CONNAISSANCE DE DIEU.
OEUVRES COMPLÈTES TOME 3,P. 169-183
Traduit par M. BAISSEY, professeur agrégé de l’Université.
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DU MAÎTRE.
Traduction de M. l’abbé RAULX.
Ce livre est un dialogue entre saint Augustin et son fils Adéodat, alors âgé de seize ans. «On y découvre, dit le grand Docteur «lui-même, qu’il n’y a, pour enseigner la science à l’homme, d’autre maître que Dieu (1).
Et voici, en deux mots, le plan de tout l’ouvrage: Ni dans l’ordre physique, ni dans l’ordre intellectuel, on ne peut rien montrer sans employer des signes quelconques. Or, ces signes n’apprennent réellement rien; ils sont tout an plus des avertissements qui excitent à rechercher la vérité. Dieu seul peut nous la montrer. Il est donc notre seul Maître.
Saint Augustin, dans ses Confessions (2), prend Dieu à témoin que les réponses attribuées à Adéodat sont réellement de lui. On lira, avec un intérêt toujours croissant, cet ouvrage où tant de candeur se mêle à tant de pénétration.
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DES MOEURS DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE
ET DES MOEURS DES MANICHÉENS (1).
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DE LA VRAIE RELIGION.
Traduction de M. l’abbé JOYEUX.
In Œuvres Complètes de Saint Augustin, tome 3,pp 547 ss. Éd. L. Guérin, Bar-le-Duc 1864
Après avoir démontré que la Religion catholique seule, est la vraie religion, à l’exclusion du paganisme et des sectes dissidentes, saint Augustin enseigne comment on doit l’étudier: il entre dans de magnifiques considérations sur la chute de l’homme, réfute avec vigueur les explications insensées des Manichéens sur la corruption de notre nature, et dans cette partie de son ouvrage il fait une peinture touchante du Sauveur des hommes.
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De la grandeur de l’âme de Saint Augustin.
Traduit par M. l’abbé MORISOT. (Oeuvres complètes de Saint Augustin, Bar-Le-Duc, 1863, Tome 3)
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DE L’ÂME ET DE SON ORIGINE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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MÉTHODE POUR ENSEIGNER AUX CATÉCHUMÈNES LES ÉLÉMENTS DU CHRISTIANISME ou Traité du Catéchisme.
Traduction de M. CITOLEUX.
L’auteur, à la prière d’un diacre de Carthage, retrace les règles qui doivent guider le catéchiste. – Après avoir exposé la manière d’enseigner les vérités chrétiennes non-seulement avec méthode mais avec grâce et facilité, il joint l’exemple aux préceptes et propose deux discours comme modèles des instructions que l’on doit donner aux catéchumènes.
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La Cité de Dieu de Saint Augustin
Traduction par M. SAISSET.
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Les confessions de Saint Augustin.
Cette traduction est l’oeuvre de M. Moreau.
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Opuscule traduit par M. l’abbé DEVOILLE.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 537-542.
Traduit par M. l’abbé DEVOILLE.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 543-552.
Cet ouvrage explique chaque article du symbole et réfute en même temps les erreurs qu’y opposent les hérétiques, surtout les Manichéens.
Ce traité a été traduit par M. CITOLEUX.
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 553-576.
Réfutation de trois erreurs auxquelles l’auteur oppose les trois propositions suivantes: 1° On ne doit pas admettre indistinctement toute sorte de personnes au baptême; la tolérance pour les pécheurs doit se concilier dans l’Église avec le maintien de la discipline ecclésiastique. 2° Il faut initier les catéchumènes aux mystères de la foi et tout ensemble aux devoirs de la vie chrétienne. 3° Celui qui a reçu le baptême est incapable, s’il ne réforme pas ses moeurs criminelles, d’arriver par la foi seule au salut éternel.
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DE LA GRÂCE DE JÉSUS-CHRIST ET DU PÉCHÉ ORIGINEL.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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LETTRES DE SAINT AUGUSTIN.
La traduction des Lettres de saint Augustin est l’oeuvre de M. POUJOULAT.
In Œuvres complètes de Saint Augustin traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Poujoulat et de M. l’abbé Raulx, Bar-Le-Duc 1864, Tome 1,p. 519-561; Tome II; Tome 3,p. 1-123.
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Traité du libre arbitre de Saint Augustin.
Les deux premiers livres sont traduits par M. l’abbé DEFOURNY.
Le troisième livre est traduit par M. l’abbé RAULX. (Œuvres complètes de Saint Augustin, Tome Troisième, Bar-le-duc, 1864)
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CONTROVERSE AVEC LES PÉLAGIENS
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 15,p. 481-745; Tome XVI; Tome 17,p. 1-242.
DU MÉRITE ET DE LA RÉMISSION DES PÉCHÉS ET DU BAPTÊME DES PETITS ENFANTS.
Tome 15,p. 481-745
Traduction de M. l’abbé COLLERY.
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TRAITÉ DE LA MUSIQUE (1).
AVERTISSEMENT.
ŒUVRES COMPLÈTES DE SAINT AUGUSTIN, Traduites pour la première fois en français sous la direction de M. POUJOULAT & DE M. L’ABBÉ RAUL10,aumônier de l’asile de Fains. Tome 3,p. 393-490.
Le traité de la Musique est traduit par MM. THÉNARD et CITOLEUX, agrégés de l’Université.
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SAINT AUGUSTIN
RÈGLE DE SAINT AUGUSTIN POUR LES SERVITEURS DE DIEU (1).
Traduction de M. l’abbé RAULX.
In Œuvres Complètes de Saint Augustin, tome 3,pp 587-591. Éd. L. Guérin, Bar-le-Duc 1864.
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Les Rétractations de Saint Augustin
L’auteur de la traduction des deux livres des Rétractations est M. Henry de Riancey.
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Sermons.
Première série. Sermons détachés sur l’Ancien Testament, les Evangiles et les Actes des Apôtres.
in oeuvres complètes de saint Augustin, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. l’abbé Raulx, tome VIème, Bar-Le-Duc, 1866, p. 1-605 (tout le volume)
Traduction: M. l’abbé Raulx
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Sermons sur les temps liturgiques
de Saint Augustin
autre traduction (184-196).
S. Aurelii Augustini OPERA OMNIA – editio latina – PL 34 DE TRINITATE LIBRI QUINDECIM
De la Trinité de saint Augustin.
Les dix derniers livres ont été traduits par M. DEVOILLE.
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Polémiques
QUATRE-VINGT-TROIS QUESTIONS.
Ces LXXXIII questions ont été traduites par M. l’abbé DEVOILLE
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx,
Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 428-489
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SUR LES HUIT QUESTIONS DE DULCITIUS.
Traduction due à M. l’abbé DEVOILLE
Oeuvres Complètes de Saint Augustin, Traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Tome Vème, Commentaires sur l’Écriture, Bar-Le-Duc, L. Guérins & Cie éditeurs, 1867. p. 521-535
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CONTRE LES ACADÉMICIENS.
In Œuvres Complètes de Saint Augustin, tome 3,pp 241 ss. Éd. L. Guérin, Bar-le-Duc 1864
Traduction de M. Adrien de RIANCEY.
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OEUVRES POLÉMIQUES.
DES HÉRÉSIES.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome XIV. p. 1-21
Traduction de M. l’abbé AUBERT
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CONTRE LES JUIFS.
Traduction de M. l’abbé AUBERT.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 14,p. 23-32.
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DE L’UTILITÉ DE LA FOI.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 14,p. 33-54.
Traduction de M. PICHENET, professeur au lycée de Nancy.
Saint Augustin prouve que c’est aux Manichéens une témérité sacrilège de blâmer ceux qui, suivant l’autorité de la foi catholique, se préparent à l’intelligence des mystères, en croyant ce qu’ils ne peuvent encore comprendre. – Il montre, en particulier, que c’est bien à tort que ces sectaires critiquent l’Ancien Testament.
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DES DEUX AMES.
Système des Manichéens victorieusement réfuté.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 14,p. 55-68.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
Les Manichéens soutenaient que chaque homme possède deux âmes, l’une bonne, tirée de la substance divine, et l’autre mauvaise, sortie du sein des ténèbres.
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CONTRE ADIMANTUS, MANICHÉEN.
Adimantus, s’appuyant sur certaines contradictions apparentes entre divers passages de l’Ancien et du Nouveau Testament, en concluait qu’ils n’avaient pu être dictés par un seul et même Dieu. Saint Augustin prouve que ces passages sont dans un parfait accord.
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RÉFUTATION DE L’ÉPÎTRE MANICHÉENNE APPELÉE FONDAMENTALE.
Traduction de M. BURLERAUX.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome XIV. p. 117-143.
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CONTRE FAUSTE, LE MANICHÉEN.
Comme le titre même l’indique, cet ouvrage est la réfutation des erreurs et des extravagances enseignées par Fauste. Saint Augustin suit son adversaire pas à pas et ne laisse aucune de ses assertions menteuses sans la réfuter.
Les onze premiers livres sont traduits par M. l’abbé HUSSENOT.
Les vingt-deux derniers livres ont été traduits par M. l’abbé DEVOILLE.
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DE LA NATURE DU BIEN.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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A OROSE.
Sur les Priscillianistes et les Origénistes.
In Oeuvres Complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Raulx, Tome 14,p. 531-538, Bar-Le-Duc, 1869.
Traduction de M. l’abbé BARDOT.
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DOCTRINE DES ARIENS.
Traduction de M. l’abbé BARDOT.
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CONTRE LA DOCTRINE DES ARIENS.
Traduction de M. l’abbé BARDOT.
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DISCOURS Au peuple de l’église de Césarée.
EN PRÉSENCE D’ÉMÉRITE, ÉVÉQUE DONATISTE A CÉSARÉE.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 13,p. 628-634.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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CONFÉRENCE De saint Augustin avec Emérite.
ÉVÊQUE DONATISTE A CÉSARÉE.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 13,p. 635-642.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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DISCOURS ATTRIBUÉ A SAINT AUGUSTIN.
Sur le sous-diacre Rusticianus.
REBAPTISÉ PAR LES DONATISTES ET ORDONNÉ DIACRE.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 13,p. 683-686.
Traduit par l’abbé BURLERAUX.
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ŒUVRES POLÉMIQUES
CHANT POPULAIRE. Contre la secte des Donatistes.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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Réfutation d’un écrit de Parménien.
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DU BAPTÊME
CONTRE LES DONATISTES.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX, BAR-LE-DUC, 1870., Tome XV.
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CONTRE LES LETTRES DE PÉTILIEN.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 17,p. 191-315.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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LETTRE AUX CATHOLIQUES CONTRE LES DONATISTES ou Traité de l’Unité de l’Eglise .
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome XVII. p. 316-359.
Traduction de M. Eug. JOLY, docteur en théologie.
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DES ACTES DU PROCÈS DE PÉLAGE.
A AURÈLE, ÉVÊQUE DE CARTHAGE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
Saint Augustin examine chacune des erreurs reprochées à Pélage dans le synode de Diospolis, en Palestine. Les protestations de cet hérésiarque lui avaient obtenu une absolution; mais saint Augustin n’est pas sans quelque doute sur la sincérité de ses aveux; du moins les doctrines qu’il avait professées paraissent au saint Docteur mériter une réfutation minutieuse et complète.
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DE LA NATURE ET DE LA GRÂCE. RÉFUTATION DE PÉLAGE.
In Oeuvres complètes de Saint Augustin, sous la direction de M. Raulx, tome XVIIème, p. 185 à 221, Bar-le-Duc 1871.
Adressée à Timasius et à Jacques
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DE LA CORRECTION ET DE LA GRÂCE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
In Oeuvres complètes de Saint Augustin, sous la direction de M. Raulx, Tome XVI ème Bar-le-Duc 1871, pp. 295-320.
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DE LA PRÉDESTINATION DES SAINTS.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
In Oeuvres complètes de Saint Augustin, sous la direction de M. Raulx, Tome XVI ème Bar-le-Duc 1871, pp. 321-348.
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DU DON DE LA PERSÉVÉRANCE.
Traduction de M. l’abbé BARDOT.
In Oeuvres complètes de Saint Augustin, sous la direction de M. Raulx, Tome XVI ème Bar-le-Duc 1871, pp. 349-385.
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DE L’ESPRIT ET DE LA LETTRE
In Oeuvres complètes de Saint Augustin, sous la direction de M. Raulx, tome XVIIème, p. 147à 184, Bar-le-Duc 1871.
Dans son Traité des Mérites et de la Rémission des péchés, saint Augustin avait dit que, par la puissance de Dieu, l’homme peut être exempt de péché, mais il avait nié que personne, dans cette vie, à l’exception de Jésus-Christ, eût été ou dût être sans péché. Marcellin, étonné qu’on pût croire possible une chose sans exemple, en écrivit à Augustin, qui lui répondit par le livre De l’Esprit et de la Lettre. Le saint docteur ne considérait pas comme une très-grave aberration de penser que des hommes aient vécu sans souillure; il lui paraîtrait plus coupable de soutenir que la seule volonté humaine, sans l’assistance divine, puisse s’élever à la perfection de la justice. Commentant les paroles de l’Apôtre: «La lettre tue et l’esprit vivifie», Augustin entend par «la lettre», non pas les cérémonies judaïques abolies par l’avènement du Sauveur, mais les préceptes mêmes du Décalogue, quand l’Esprit divin ne verse pas dans l’âme la force et l’amour. Il distingue la loi des oeuvres et la loi de la foi; l’une prescrit, l’autre donne la force; la première est toute judaïque, la seconde est toute chrétienne.
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DE LA PERFECTION DE LA JUSTICE DE L’HOMME.
LETTRE AUX ÉVÊQUES EUTROPE ET PAUL
In Oeuvres complètes de Saint Augustin, sous la direction de M. Raulx, tome XVIIème, p. 222 à 242, Bar-le-Duc 1871.
Augustin n’ayant point parlé de cet ouvrage dans la Revue de ses écrits, il a fallu le témoignage positif de Possidius, de saint Fulgence et de saint Prosper, pour l’attribuer à l’évêque d’Hippone. Ce travail, adressé aux évêques Eutrope et Paul, est la réponse à un écrit de Célestius, apporté de Sicile, et qui avait pour titre: «Définition qu’on dit être de Célestius». L’éternelle objection, c’est l’inutilité de la volonté humaine dans un ordre moral où tout est subordonné à la volonté de Dieu. Augustin répond toujours que la volonté humaine est faible et malade depuis la chute, mais qu’elle n’est point vaine et qu’elle peut encore remonter à la justice avec le secours divin.
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CONTRE LA SECONDE RÉPONSE DE JULIEN.
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CONTRE CRESCONIUS Grammairien et Donatiste.
Réfutation générale de toutes les parties de la lettre de Cresconius; toutes ses objections et toutes ses calomnies trouvent leur réponse dans la cause des Maximiens.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 13,p. 551-686.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 13,p. 551-563.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 13,p. 566-595.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 13,p. 596-627.
Saint Augustin avertit les Donatistes laïques de ne pas se laisser plus longtemps séduire par leurs propres évêques, dont les actes publics prouvent la honteuse défaite dans une conférence générale. Il réfute successivement toutes les calomnies tancées contre cette conférence et déjà répandues parmi le peuple.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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CONFÉRENCES entre saint Augustin et le manichéen Félix.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX
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CONFÉRENCES Entre saint Augustin et le manichéen Fortunat.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
Fortunat, prêtre d’Hippone, s’était laissé séduire par les Manichéens, ce qui avait produit un immense scandale. Les habitants de la ville et les étrangers s’adressèrent à Augustin, qui n’était alors que prêtre, et le prièrent d’engager une discussion avec Fortunat pour le dissuader de son erreur. Augustin accepta volontiers; Fortunat, malgré les craintes que lui inspirait la science déjà connue d’Augustin, se vit contraint, par la clameur publique, d’accepter à son tour. Au jour fixé, ils se réunirent à Hippone en présence du peuple tout entier. La discussion ne dura que deux jours, car le second jour, Fortunat, réduit au silence, demanda une suspension qui lui permit de consulter les anciens. Mais il ne reparut pas, et cette défaite fut, pour le manichéisme à Hippone, un coup dont il ne se releva jamais.
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RÉFUTATION De la doctrine de Gaudentius.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 13,p. 643-672.
Oeuvres complètes de saint Augustin traduites pour la première fois en français, sous la direction de M. Raulx, Bar-Le-Duc, L. Guérin & Cie, éditeurs, 1869, Tome 13,p. 673-682.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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CONTRE JULIEN
Défenseur du Pélagianisme.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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CONTRE LA SECONDE RÉPONSE DE JULIEN.
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CONFÉRENCE de saint Augustin avec Maximin, évêque Arien. Traduction de M. l’abbé BARDOT.
RÉFUTATION DE MAXIMIN, ÉVÊQUE ARIEN.
Traduction de M. l’abbé POGNON.
Réfutation détaillée des allégations de Maximin dans la dernière discussion de la Conférence. Empêché par la prolixité de langage de son adversaire, Augustin n’avait pas eu le temps de répondre.
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LETTRE de Sécundinus à Augustin.
RÉFUTATION DE SÉCUNDINUS.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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Petrus Damiani
Saint Pierre Damien: lettre sur la toute puissance divine.
source: www.JesusMarie.com alexis£@JesusMarie.com.
Saint Bernard
444 Lettres de Saint Bernard.
125 sermons divers de saint Bernard.
Tome III, SERMONS DIVERS I-XLIV p. 568-733
Tome IV; SERMONS DIVERS XLV-CXXV ou Petits Sermons.
43 Sermons de saint Bernard pour des fêtes de Saints.
PARIS, LIBRAIRIE LOUIS DE VIVÈS ÉDITEUR, 9 Rue Delambre, 1866
Tome III.
St Bernard tome VIII.
TOME VIII
Sermons sur le Cantique des Cantiques.
Opuscules.
Traduction Charpentier, Vivès 1866.
TRADUCTION PAR M. L’ABBÉ CHARPENTIER.
VIVÈS, PARIS 1866.
Entrez un résumé ici.
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Sermons du temps t. 3: Carême – Jeudi-Saint.
Source : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/.
Oeuvres complètes de Saint Bernard – traduction Charpentier – Paris, Vivès 1866
Sermons du temps.
Tome III: temps de Pâques et de l’Ascension.
Sermons du temps: Pentecôte, après la Pentecôte, Novembre.
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Les 13 Traités de St Bernard
VIVÈS, PARIS 1866 – Tome 2, pp. 127 à 235.
Traité 2 de St Bernard.
Les 13 Traités de St Bernard.
4ème des « 13 traités »
Les 13 Traités de St Bernard
Les 13 Traités de St Bernard
Les 13 Traités de St Bernard
OEUVRES COMPLÈTES.
Les 13 Traités de St Bernard
VIVÈS, PARIS 1866.
Les 13 Traités de St Bernard
VIVÈS, PARIS 1866.
Les 13 Traités de St Bernard
\COEUVRES COMPLÈTES DE SAINT BERNARD TRADUCTION PAR M. L’ABBÉ CHARPENTIER VIVÈS, PARIS 1866. Les 13 Traités de St Bernard
Les 13 Traités de St Bernard
Les 13 Traités de St Bernard
Tertulien
L’apologétique de Tertullien
Apologie du christianisme écrite en l’an 197 ap.J.C.
Traduction littérale par J.P. Waltzing (1914)
Contre les Spectacles, de Tertullien (155 – 222)
Premier des écrivain chrétien de langue latine. Païen converti, il exerça en Afrique un véritable magistère doctrinal. Son oeuvre est à la fois une critique du paganisme (Contre les nations (197)), et une défense du christianisme (Apologétique (197)), plus précisément contre le gnosticisme (Contre Marcion (210)). Célèbre par la violence de son style et son ascétisme d’une rigoureuse intransigeanse (sur le baptême, sur les spectacles, Sur la mise des femmes, Sur la couronne, Sur le jeûne, etc.), il dévia quelque temps vers l’hérésie montaniste, mais s’en détacha par la suite.
Il a inauguré avec Cyprien de Carthage la théologie latine et contribué à la formation du latin chrétien.
Tertullianus « Ad Martyres »
TERTULLIANI ADVERSUS PRAXEAN LIBER
TERTULLIANI AD SCAPVLAM
TERTULLIANI APOLOGETICUS
TERTULLIANI DE PALLIO
Tertulliani de spectaculis
Tertulliani de testimonio animae
Tertvlliani de ieivnio adversvs psychicos
Autres
Saint Irénée de Lyon
Contre les Hérésies
suivant la traduction de Adelin Rousseau publiée au Cerf (1984)
Sermons de Saint Astère:
Saint Astère, avocat né dans le Pont au 4e siècle, se consacre à Dieu et se montre un évêque très zélé.
Tome VII des oeuvres de St Bernard .
(éd. Vivès, tome 7 pp. 77-543).
Auteurs Cisterciens – Bx Guerric d’Igny
Actes et écrits de Saint CYPRIEN:
LES ACTES DU MARTYRE: Traduction par Dom H. Leclercq, Paris Poitiers 1909
TRAITÉ: Traduction par M. l’abbé Thibaut, Tours 1869
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
http://membres.lycos.fr/abbayestbenoit
Dialogue de l’Octavius, par Marcus Minicius Félix, milieu du 2ème siècle.
Traduction adaptée de celle de M.A.P. de l’Académie royale de Lyon.
Commonitoire de Saint Orience (ou Orens), évêque d’Auch au 5ème siècle.
Règle de Saint Benoit
Traduction de Philibert SCHMITZ
Ecrite par Benoît de Nursie pour donner un cadre à la vie cénobitique de ses disciples. Rédigée peut-être entre 530 et 5561, elle établit un mode de vie monastique (organisation de la liturgie, du travail, des repas et de la détente entre autres) qui provient de son expérience d’abbé à Subiaco, puis au Mont Cassin. Ce qui la caractérise le plus est sa discrétion, c’est-à-dire son équilibre, sa souplesse, son souci de ne pas faire peser sur les disciples un joug trop contraignant. Vers 529, Benoît fonde une communauté de moines sur le Mont Cassin en Italie. Au cours des siècles qui suivent, la Règle qu’il a écrite pour ses moines est progressivement adoptée par un nombre croissant de monastères en Occident. Au-delà de sa grande influence religieuse, elle a une grande importance dans la formation de la société médiévale, grâce aux idées qu’elle propose : une constitution écrite, le contrôle de l’autorité par la loi et l’élection du détenteur de cette autorité, Benoît ayant voulu que l’abbé soit choisi par ses frères.
En 2022 le texte a été complété par les renvois bibliques afin de faciliter les recherches. Ces annotations ne sont pas originellement dans le texte de Philibert SCHMIT.
Saint Thomas
In I Sententiarum (Sancti Thomae Aquinatis): textus ex ed. Prima Americana t. VI, VII-1 et VII-2 New York, 1948 (reimpressio editionis Parmensis t. VI, 1856 et t. VII, 1858).
In II Sententiarum (Sancti Thomae Aquinatis): textus ex ed. Prima Americana t. VI, VII-1 et VII-2 New York, 1948 (reimpressio editionis Parmensis t. VI, 1856 et t. VII, 1858).
In III Sententiarum (Sancti Thomae Aquinatis): textus ex ed. Prima Americana t. VI, VII-1 et VII-2 New York, 1948 (reimpressio editionis Parmensis t. VI, 1856 et t. VII, 1858).
In IV Sententiarum (Sancti Thomae Aquinatis): textus ex ed. Prima Americana t. VI, VII-1 et VII-2 New York, 1948 (reimpressio editionis Parmensis t. VI, 1856 et t. VII, 1858).
In Libros De Anima II et III (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1959. N.B. Operis liber I translatus est inter Reportationes: v. nostrum RAN.
In Librum Boethii De Trinitate (Sancti Thomae Aquinatis): textus a B. Decker editus, 2a ed., Leiden 1959.
In Libros De Caelo et Mundo (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Leoninae t. III(1886). N.B. Continuatio operis, post libri III lect. 8 n. 9 lineam 17, ex ed. Parmensis t. XIX, 1865, invenitur ut nostrum XCM, a Petro de Alvernia exarata.
In Librum De Causis (Sancti Thomae Aquinatis): textus a H. D. Saffrey OP editus, Fribourg – Louvain 1954.
In Dionysii De Divinis Nominibus (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1950.
In Libros Metaphysicorum (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1950.
Sententia Libri Politicorum (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Leoninae. t. XLVIII (1971).
Sententia Libri Ethicorum (Sancti Thomae Aquinatis): textus Leonino aequiparatus, ex plagulis de prelo emendatis, ed. Leoninae t. XLVII (1969)
Sermones (Sancti Thomae Aquinatis): continet: 1. Hodiernae Festivitatis. textus ed. Vives t. XXXII, 1879, qui etiam in ed. Parmensis t. XXIV pag. 230 reperitur. 2. Petite et accipietis. textus ed. Vives t. XXXII, 1879. 3. Omnia parata. textus B. HaurÚau: Notices et extraits de quelques manuscrits latins de la Bibliot. Nat., t.IV, Paris 1892. 4. Sapientia confortabit. 5. Adaperiat Deus. 6. Que autem in celis. textus A. Gardeil OP in Revue Thomiste I (1893) pp. 379-386. 7. Cecidit sors. textus G. Meerseman OP in Arch. Fratrum Praedicatorum XVIII (1948) pp. 159ss., a Leoninis revisus.
De Ente et Essentia (Sancti Thomae Aquinatis): textus L. Baur, M\Inster 1933, a J. Koch emendatus et nobis communicatus dactyloscriptus anno 1956: nec adhuc editus.
Breve Principium (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1954.
Compendium Theologiae (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1954.
Qu. Disp. De Anima (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1953.
Qu. Disp. De Unione Verbi (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1953.
Quodlibeta I – XI (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1956. N.B. Quodlibetum XII translatum est inter Reportationes: v. nostrum 077 RQD.
Qu. Disp. De Malo (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1953.
Qu. Disp. De Potentia (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1953. N.B. A qu. IV art. 2 corporis linea 61 (½ Secundum vero alios Sanctos+) usque ad finem articuli, excerptum est nostrum XQP Insertum in de Potentia, Vincentio de Castronovo OP tribuendum. »
Qu. Disp. De Spirit. Creaturis (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1953.
Qu. Disp. De Veritate – 1 (Sancti Thomae Aquinatis): Quaestio Disputata De Veritate, usque ad qu. XXII – art. 11 corpus, inclusive: textus Leonino aequiparatus, t. XXII (vol. 1 fasc. 2, vol. II fasc. 1 et 2: 1970-1972; reliqua ex plagulis Leoninis de prelo emendatis). N.B. Ex qu. VII articulus 9 excerptus est, utpote authentiae disputabilis, ut fieret nostrum 118 DLV:Utrum aliquid de libro vitae deleri possit.
Qu. Disp. De Virtutibus (Sancti Thomae Aquinatis): textus ed. Marietti 1953. N.B. a Quaestione Unica De Virtutibus in Communi inde ab art. 2_ resp. ad 9m usque ad finem articuli, excerptum est nostrum XQW Insertum in De Virtutibus, Vincentio de Castronovo OP tribuendum.
Qu. Disp. De Veritate – 2 (Sancti Thomae Aquinatis): Quaestio Disputata De Veritate, a qu. XXII art. 11 resp. ad 1m, usque ad finem: textus ex editione Marietti 1953.
Sermones (Sancti Thomae Aquinatis): continet: 1. Puer Jesus. 2. Attendite a falsis. 3. Lux orta. textus ed. Parmensis t. XXIV, 1869. 4. Caelum et terra. 5. Abjiciamus opera. 5. Homo quidam. 7. Beata gens. 8. Beatus vir. 9. Ecce ego. textus ed. VivÞs t. XXXII, 1879. 10. Osanna Filio David. 11. Exiit qui seminat. 12. Beati qui habitant. textus Th. Kaeppeli OP: Archivum Fratrum Praedicatorum, XIII (1943) pp. 72ss., 75ss., 88ss. 13. Ecce Rex tuus venit. textus J. Leclercq OSB: Revue Thomiste, XLVI (1946) pp. 158ss. 14. Germinet terra. textus P.A. Uccelli: I Gigli a Maria, XII 2-3 (Marzo 1874) pp. 126ss. N.B. Alii sermones inveniuntur in nostris DSR, XAW, XSR.
La célébration
Sacramentaire
DE CE QUI EST BIEN DANS LE MARIAGE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 106-123
Honorabilité du mariage.
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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Sur le Baptême de Saint Augustin
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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Saint Jean Chrysostome, Traité du sacerdoce.
Traduit, par J.-B. J., professeur au collège de l’Immaculée-Conception de Saint-Dizier.
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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Textes liturgiques
Missels et assimilés
Missale Romanum, ex decreto Sacrosancti Concilii Tridentini restitutum
Ex editione 1957
Textes de référence sur l’usage de la liturgie romaine antérieure à la réforme de 1970, principalement la Lettre apostolique « Motu Proprio Data » avec son contexte.
« Motu Proprio » signifie « de son propre chef ». C’est un acte législatif pris et promulgué par le Pape, agissant de sa propre initiative, en pleine connaissance de cause et non pour répondre à une sollicitation. Cet acte équivaut à un décret qui précise des règles d’administration et d’organisation dans l’Eglise.
Ce Motu proprio (2) est précédé de la lettre du souverain pontife aux évêques (1) et suivi de l’instruction de la commission pontificale Ecclesia Dei (3) sur l’application de la lettre apostolique.
Présentation des modifications de la traduction en français du Missel romain, tel que publié à l’Avent 2021.
Ce document, inspiré de divers documents proposés par la CEF, résume les modifications que les fidèles peuvent percevoir suite à l’adoption du nouveau missel en français.
Rituel de la messe selon le rite de S. Pie V.
Missel Romain en français.
Numérotation alignée sur les pages de l’édition typique latine 2002, et incluant en texte souligné les modifications entrées en vigueur en 2021.
©AELF – Tous droits réservés – 1979/2002/2021
Orationes missalis romani anni 1570.
Secundum enumerationem Bruylants dispositae.
Missale Romanum
Editio typica altera
Praeparatio specialis editionis informaticae a Prof. Alessandro Toniolo sapientissime exarata
Nouvelle Présentation Générale du Missel Romain, version 2001
avec les notes et aussi l’ancienne PGMR de 1969 (numérotée de 2000-2341).
Auctores: HÄNGGI, A. – PAHL, I.
Titulus: PREX EUCHARISTICA
Volumen:
I – Textus e variis Liturgiis antiquioribus selectis
Editio: 3a
Curatores editionis 3a: GERHARDS, A. – BRAKMANN, H.
Collectio: Spicilegium Friburgense
N° collectionis: 12
Editor: Universitätsverlag Freiburg Schweiz
Locus: Freiburg, Schweiz
Annus: 1a: 1968; 3a: 1998.
Editio informatica: a monacis Abbatiae Sanctae Mariae Magadalenae exarata.
Quo Primum.
Bréviaires et assimilés
Le psautier (1-150) et les cantiques de AT et du NT texte liturgique (version oecuménique). Texte fait par l’abbaye de Belloc
Présentation générale de la Liturgie des Heures, 1970.
Le psautier (1 – 150) selon le texte liturgique (version oecuménique)
Livre des heures, Prière du Temps Présent,
ed. Cerf-DDB-Mame 1980.
Rituels et assimilés
Apostolica Ritualis.
Rite bref des Bénédictions (1987).
La communion en dehors de la messe et divers rites.
Rituel du Baptême des petits enfants, 1984.
Rituel pour la célébration du mariage, 1969.
VIVRE ET CÉLÉBRER LA RÉCONCILIATION
Orientations doctrinales et pastorales
du Rituel de la pénitence et de la réconciliation
(Chalet – Tardy, 1991)
© AELF – Chalet – Tardy, 1991
Pontificaux et assimilés
Ordo Initiationis Christianae Adultorum
Sacr. Conc. Vat. II restitutum
Praeparatio specialis informatica a Prof. Alessandro Toniolo sapientissime exarata
Pontificalis Romani antiqui excerpta.
Ordines, benedictiones aliaque similia.
Pontifical Romain
rénové selon le décret du saint Concile oecuménique Vatican II, publié par l’autorité de Jean-Paul II
L’ordination:
(Nouvelle édition 1996)
Sacramentaires et assimilés
Liber Sacramentorum Engolismensis
Sacramentaire d’Angoulême
Praeparatio specialis informatica a Prof. Alessandro Toniolo sapientissime exarata
Sacramentarium Gelasianum Vetus
Praeparatio specialis informatica a Prof. Alessandro Toniolo sapientissime exarata
Sacramentarium Gregorianum Hadrianum
Praeparatio specialis informatica a Prof. Alessandro Toniolo sapientissime exarata
Sacramentarium Veronense
seu olim Leonianum
Praeparatio specialis informatica a Prof. Alessandro Toniolo sapientissime exarata
Lectionnaires et assimilés
Les références du lectionnaire, les textes des lectures et du missel des dimanches ainsi que le propre de l’Ordre du Carmel. En recherche de citations, les renvois au document peuvent vous servir pour cerner le thème du jour en lien avec Concorde.
Recueil de textes patristiques commentant les évangiles proclamés dans la liturgie. Pour les dimanches A, B, C et les grandes fêtes.
Par l’Abbaye de Clervaux
©1991 Brepols, pour l’ensemble de l’ouvrage.
Pour célébrer la Parole de Dieu.
Présentation générale du lectionnaire romain, 1970
De référence
Du bon usage de la liturgie, tiré du Célébrom de la revue célébrer 2001. © Les Editions du Cerf – Tous droits réservés – 1999.
L’esprit de la liturgie » est un ensemble d’études menées par le Bureau des célébrations liturgiques du souverain pontife de Janvier 2012 à Juin 2012.
Il s’agit d’un ensemble de commentaires sur les paragraphes du Cathéchisme de l’Eglise Catholique n 1066-1070 ; 1071-1075 ; 1077-1083 ; 1084-1090 ; 1091-1109 ; 1136-114 ; 1145-1155 ; 1156-1158 ; 1163-1165 ; 1168- 1173 ; 1174-1178 ; 1179-1186.
Ordines et coutumiers
Auctor: ANDRIEU, M.
Titulus: Les Ordines Romani du Haut Moyen Age
Volumina:
Editor: Spicilegium Sacrum Lovaniense
Civitas: Louvain
Annus editionis: 1948
Annus reimpressionis: 1971
Editio informatica: ab alumno Pontificii Instituti Liturgici magno cum labore exarata.
La vie dans le Christ
Saint Thomas
In duo praecepta Caritatis et in decem legis praecepta expositio
Saint Augustin
MANUEL OU TRAITÉS DE MORALE.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 1-43
Traité de la Foi, de l’Espérance et de la Charité.
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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DU COMBAT CHRÉTIEN
Traduction de M. THENARD.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 44-59
Lutte à soutenir contre Satan. – Satan vaincu et subjugué quand on parvient à dompter les passions et à réduire le corps en servitude. – Le corps est soumis, quand on le soumet à Dieu, de qui dépend toute créature, de gré ou de force. – La faiblesse humaine a pour appui la foi, et elle trouve le remède le plus efficace dans le Fils de Dieu fait chair. – Parcourant ensuite les différents points de lit foi catholique renfermés dans le Symbole, saint Augustin fait voir les diverses hérésies qui se sont élevées contre elle, et apprend à les fuir.
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
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DE LA CONTINENCE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 88-105.
En quoi consiste la continence.
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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DES UNIONS ADULTÈRES.
In Œuvres complètes de Saint Augustin, traduites pour la première fois sous la direction de M. Raulx, Bar-Le Duc, 1869, Tome XII. P. 167-181
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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DU MENSONGE.
Traduction de M. l’abbé DEVOILLE.
In OEUVRES COMPLÈTES DE SAINT AUGUSTIN, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Raulx, Tome 12,p. 195-217. BAR-LE-DUC,1866.
En quoi consiste le mensonge? Peut-on quelquefois mentir? Telles sont les questions que le saint Docteur se propose de discuter.
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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DES DEVOIRS A RENDRE AUX MORTS (1).
Traduction de M. DEFOURNY.
In OEUVRES COMPLÈTES DE SAINT AUGUSTIN, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Raulx, Tome 12,p. 280-293. BAR-LE-DUC,1866.
Ce traité fut écrit pour répondre à saint Paulin, évêque de Nole, qui avait demandé à l’auteur si la sépulture dans les églises des martyrs est de quelque utilité aux âmes des morts.
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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DE LA PATIENCE.
IN OEUVRES COMPLÈTES DE SAINT AUGUSTIN, traduites pour la première fois en français sous la direction de M. Raulx, Tome 12,p. 294-305. BAR-LE-DUC,1866.
Différence entre la vraie patience et la fausse.
Abbaye Saint Benoît
de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
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Morale
Défense de la vie
La neuvième assemblée générale de l’Académie pontificale pour la vie s’est déroulé au Vatican du 24 au 26 février.
Cette année a été consacrée à un thème crucial qui a un fort impact social, l’éthique de la recherche biomédicale. Pour une vision chrétienne.
Les titres de section ont été ajouté au texte officiel. En note, manifeste d’engagement éthique (traduction libre du document officiel en anglais).
Réflexion de l’académie pontificale sur la vie à propos du clônage humain suite à l’expérience sur l’animal.
L’Académie Pontificale pour la vie apporte, le 24 août 2000, une contribution au débat qui se développe et ne cesse de s’amplifier dans la littérature scientifique et éthique, comme dans l’opinion publique, sur la production et l’utilisation des cellules souches embryonnaires huamines (notez, les titres et chapitres ont été ajoutés au texte initial)
Les 23 et 24 février 2007, l’Académie pontificale pour la vie a organisé un Congrès international au Vatican à l’occasion de sa 13e Assemblée générale. Le thème du Congrès était: « Conscience chrétienne en faveur du droit à la vie ». Traduction libre du document officiel anglais.
Déclaration finale de la XIIème Assemblée générale (2006) de l’Académie Pontificale pour la vie sur le thème de l’embryon humain pré-implanté : aspects scientifiques et considérations bio-éthiques. Traduction libre du document officiel en portuguais.
Traitements de survie et état végétatif : progrès scientifiques et dilemmes éthiques. Académie Pontificale pour la vie, déclaration du 10 au 17 mars 2004. Traduction libre du document officiel en anglais
En cette année 2004, à l’occasion de son 10e anniversaire, l’Académie pontificale pour la vie a consacré les débats et délibérations de son Assemblée générale à un thème d’une très grande pertinence contemporaine et d’un fort impact social: » La dignité de la procréation humaine et des technologies de reproduction: aspects anthropologiques et éthiques. »
Traduction libre du document officiel en anglais.
Au cours de la première vague de la pandémie, une part importante des décès dus au Covid-19 se sont produits dans des institutions pour personnes âgées, des lieux qui étaient censés protéger la «partie la plus fragile de la société» et où, au contraire, la mort a frappé de manière disproportionnée plus que dans le foyer et l’environnement familial.
Ce document, publié le mardi 9 février 2021 par l’Académie pontificale pour la Vie et le Dicastère pour le Service du Développement humain intégral, est une réflexion sur les leçons à tirer de la tragédie causée par la pandémie de Covid-19, sur ses conséquences pour aujourd’hui et pour le futur proche de nos sociétés.
La transplantation représente un moyen très efficace de traiter une variété de maladies humaines.
Cependant, le nombre de greffes effectuées est limité par une pénurie d’organes et de tissus humains. La xénotransplantation, la transplantation d’organes, de tissus ou de cellules d’une espèce à l’autre, si elle était appliquée à l’homme, offrirait la possibilité d’un approvisionnement énorme en organes, tissus et cellules pour la transplantation, soulageant ainsi la pénurie « chronique » de donneurs humains.
(traduction libre du document officiel anglais)
Le projet de loi impulsé par l’Eglise catholique polonaise qui, au printemps 1989, remettait en cause la loi de 1956 sur l’avortement en proposant d’interdire l’interruption de grossesse avec des peines de prison à la clé pour la femme et pour le médecin a été un choc pour tous ceux et toutes celles qui considèrent le droit de contrôler son propre corps comme un droit fondamental de l’individu. Cette initiative, qui a suscité des débats passionnés dans les médias polonais mais des réactions embarrassées au sein des milieux politiques de ce pays, amène à s’interroger sur la nature des politiques reproductives du régime post-communiste et sur la conception de la démocratie qu’il défend. Elle pose également le problème de savoir quel est le degré de rupture ou de continuité de ces politiques par rapport aux orientations du régime communiste qui l’a précédé. La recherche dont il est question ici s’appuie sur une enquête menée durant deux mois à l’automne 1989 à Lodz, Varsovie et Cracovie, en collaboration avec Anna Matuchniak-Krasuska, enseignante et chercheure de l’Institut de Sociologie de l’Université de Varsovie. L’objectif de la recherche fut d’emblée : a) de replacer cette initiative dans son contexte politique et social -ce qui supposait une approche du problème en termes de périodisation; b) d’apporter une réponse à notre question de départ : quelle est la réaction des Polonais -femmes et hommes -face à la remise en cause de l’exercice d’un droit en vigueur depuis plus de 30 ans ? Concernant le premier point, nous avons décidé de centrer notre étude sur les motivations de l’Eglise et des auteurs du projet de loi -appuyés par des dirigeants influents de Solidamosc; d’examiner les raisons du lancement d’une telle initiative dans le contexte de crise gouvernementale précédant la victoire massive de Solidamosc aux élections de juin 1989; d’analyser en quoi cette proposition est un révélateur des rapports sociaux de sexe à l’œuvre en Pologne; et jusqu’à quel point elle a ouvert la voie à de nouveaux clivages dans le paysage politique et social. Le second point supposait de parvenir à cerner les stratégies des acteurs concernés dans le domaine de la contraception et de l’avortement. Aussi avons-nous décidé d’axer l’enquête autour de trois points : 1 -attitude vis-à-vis de la contraception et de l’avortement en général ; 2 -pratiques en matière de contraception et d’avortement ; 3 -réactions face au projet de loi -y compris en termes d’initiatives et de participation aux actions entreprises, que ce soit en faveur ou contre le projet de l’Eglise. Les sondages partiels effectués au printemps 1989 sur le projet de loi « en défense de la vie de l’enfant non né » indiquaient une nette fracture de génération puisque près de la moitié des adultes était favorable au maintien de la loi en vigueur (chiffre qui devait augmenter sensiblement par la suite) alors que 60% des adolescents se prononçaient contre le droit à l’avortement -les trois-quarts des 14 -18 ans se montrant même favorables à une peine de prison pour la femme. Ceci étant, même chez les adultes, les initiatives concrètes pour défendre la loi existante apparaissaient fort limitées. Nous sommes alors parties de plusieurs hypothèses : * L’attitude des femmes adultes sur la question de l’avortement est en relation étroite avec les expériences qu’elles ont faites dans ce domaine ainsi qu’avec leur situation matérielle ; * Le refus de l’avortement chez les jeunes obéit autant à un certain idéalisme concernant les rapports de couple qu’à l’impact des interdits de l’Eglise ; * La position favorable au projet de la plupart des candidats de « Solidamosc » durant les élections a constitué un obstacle de taille au rassemblement de celles et de ceux qui sont opposés à l’abolition de la loi de 1956
Un texte d’exemple : Le respect de la Vie, réponses à l’Euthanasie…
Document publié par le Groupe Informel de travail Sur la bioéthique à propos de la Déclaration Universelle sur le Génome humain et les Droits de l’homme. Ce document a été publié Le 24 mai 1998.
Document de l’Episcopat Latino-Américain de la IVè conférence générale à l’O.N.U sur la défense de la vie du 27 octobre 1992
Spiritualité
Saint Bonaventure
S. Bonaventurae Bagnoregis H. R. E. Cardinalis, Minister Generalis Ordinis Fratrum Minorum, & Doctor Ecclesiae universales. ITINERARIUM MENTIS IN DEUM. Textus transcriptus ex editione Quarrachi Opera Omnia S. Bonaventurae Vol. V., 1891, pp. 295-316 cum notatis et Scholio. http://www.franciscan-archive.org
Sainte Catherine de Sienne
« Le Dialogue » de Sainte Catherine de sienne.
Traduction nouvelle de l’italien par le R.P. J.HURTAUD, O.P.
Lettres de sainte Catherine de Sienne
Traduites par E. Cartier, éd. Pierre Téqui
La vie de sainte Catherine de Sienne
Par le Bienheureux Raymond de Capoue
(Traduction par le R.P. Hugueny, o.p.)
Ed. P. Lethielleux, Paris 1904.
Sainte Thérèse d’Avila
Castillo interior I.
Castillo interior II.
Castillo interior III.
Castillo interior IV.
Castillo interior V.
Castillo interior VI.
Castillo interior VII.
CAMINO DE PERFECCION. Codice el Escorial.
Camino de Perfeccion, codice de Valladolid.
Las Fundaciones.
Libro de la Vida.
Saint Jean de la Croix
« La Montée du Carmel », Livre II
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
« La Nuit Obscure », Livre I
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
« La Montée du Carmel », Livre II
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
« La Nuit Obscure », Livre II
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
« La Montée du Carmel », Livre II
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
« Le Cantique spirituel »
Introduction et texte « A » sans commentaire
(premiers écrits – poésies pp. 127 ss.)
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
« Le Cantique spirituel », « B »
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
Introduction et Lettres
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
Avis spirituels
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
Poésies
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
Llama de Amor Viva A. Texte espagnol de la Vive Flamme A.
« la Vive Flamme »
tiré des oeuvres complètes de Saint Jean de la Croix
Traduction André Bord d’après l' »Edicion critica » espagnole.
coll. « Livres d’or des écrits mystiques », Téqui 2003.
Saint Robert Bellarmin
http://www.mercaba.org/DOCTORES/roberto-01.htm
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Saint François de Sales
François de Sales
Traité de l’Amour de Dieu
édition J. Bonhomme 1924.
Saint François de Sales.
Les Entretiens.
Saint François de Sales.
Avis, Conseils, Lettres, méditations et sermons
Décret et Bref du Doctorat.
Lettres de S. François de Sales.
Tome III des Oeuvres complètes publiées à Paris en 1836.
(Imprimerie de Béthune et Plon)
Repris et complété par l’édition Classiques Garnier 1925
Numération des lettres d’après l’édition d’Annecy (1900-1923).
Saint François de Sales.
Lettre ouverte aux protestants.
Commentaires de s. François de Sales sur le Notre Père, en vieux français.
Source: site internet http://www4.allencol.edu/salesian/salesian.html
Introduction a la vie dévote: par Saint François de Sales.
A. de Liguori
Saint Alphonse de Liguori.
Les gloires de Marie
édition Québec 1943.
Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus
Carnet Jaune de Mère Agnès.
Autres paroles recueilles par mère Agnès de Jésus.
Autres paroles recueilles par Soeur Geneviève.
Autres paroles recueilles par soeur Marie du Sacré Coeur.
Les 266 lettres de Thérèse, numérotation du Centenaire (1979).
Premier Manuscrit autobiographique, dédié à la révérende mère Agnès de Jésus (1895).
Lettre à soeur Marie du Sacré-Coeur (septembre 1896), Histoire d’une âme 3° partie selon éd. originale et C. de Meester. Manuscrit « autobiographique » B selon l’éd. du P. François de Ste Marie
Manuscrit autobiographique G (C selon l’éd. chronologique du P. de Ste Marie) Deuxième partie de « l’Histoire d’une âme » dédiée à la révérende mère Marie de Gonzague (juin et juillet 1897).
Les 54 poésies de Thérèse.
Les 21 Prières de Thérèse.
Notes des huit Récréations pieuse de Thérèse.
Les huit Récréations pieuse de Thérèse.
ESCRITOS VARIOS – SANTA TERESITA DEL NIÑO JESÚS
I. EN LOS BUISSONNETS (1880-1884)
1. 1. Notas de retiros 5-7 de mayo de 1884. Notas del retiro 17-20 de mayo de 1885. Notas del retiro Octubre de 1885. Notas del retiro
2. 2. Notas cronológicas (1884-1886)Comuniones
3. 3. Dictado y ejercicios de redacciónDictado (5 de junio de 1880) Enero de 1885. Ejercicios de redacción 15 de octubre de 1885. Ejercicios de redacción Diciembre de 1886 – Enero de 1887. Ejercicio de redacción Marzo (?) de 1886. Ejercicio de redacción 1887. Ejercicio de redacción Junio de 1887. Ejercicio de redacción Marzo o abril de 1887. Ejercicio de redacción
4. 4. Notas sacadas de Arminjon30 de mayo de 1887. Copia 4-5 de junio de 1887. Copia
II. EN EL CARMELO (1888-1897)
1. 1. Estampas bíblicasEst 1 Cristo en la cruz (julio-agosto de 1896) Est 2 Juana de Arco en prisión (julio? de 1896) Est 3 La adoración de los pastores (segundo semestre de 1898) Est 4 La Sagrada Familia (verano de 1896) Est 5 y 6 «Recuerdo del breve destierro» (agosto-septiembre de 1896) Est 7 La Navidad (agosto de 1896 – marzo de 1897) Est 8 Ecce Homo – Virgen de los Dolores (agosto de 1897?) Est 9 El Niño Jesús («de Messine» – 1897)
2. Memoria sobre la madre Genoveva de Santa TeresaConfidencias de la madre Genoveva. Relato (después del 8 de septiembre de 1890)
Memoria sobre la madre Genoveva. Relato
(primavera de 1892)
2. 3. Textos diversos24 de noviembre de 1888. Testamento de san Juan de la Cruz Primavera (?) de 1889. Notas del retiro (P. Pichon). Copia 24 de noviembre de 1891. Testamento de san Juan de la Cruz 19 de marzo de 1892. Testamento de san José. Copia 1892-1893. Consejo espiritual. Nota 1892-1895. Sentencias para estampas. Copia 20 de febrero de 1893. Exhortación del canónigo Delatroëtte 12 de junio de 1896. Deseo del Sagrado Corazón Comienzos de julio de 1896. «Mil vidas…» Julio de 1896. Para la fotografía del P. Roulland Alrededor del 20 de junio de 1896. Fechas 21 de noviembre de 1896. Cartas de Teófano Vénard Diciembre de 1896. Boletín del Sagrado Corazón 1 de mayo de 1897. P. Mazel Junio de 1897. «Me colmas de alegría»
3. 4. Selecciones bíblicas Concordancia pascual (1896 ó 1897) Recordatorio del señor Martin (1894) Album de la madre María de Gonzaga
Thèmes
Dogmatique
Cathéchisme de la Somme Théologique, par le fr. Thomas Pègues, op.
Un catéchisme sous la forme « questions/réponses », commentant en français l’oeuvre principale du Docteur angélique, la Somme de Théologie.
Ce document est d’un intérêt anecdotique, dès lors que l’on a la possibilité d’accéder au texte original de saint Thomas, plus complet et subtil. Il peut servir de table des matières envers l’oeuvre de l’Aquinate.
Ce document regroupe plusieurs conférences sur le thème de la transmission de la Foi:
Dégager les leçons du passé
Transmissions et sources de la Foi
Foi chrétienne et blessures de l’homme contemporain
L’épreuve de la Foi
Vie religieuse
Fr. Timothy Radcliffe op, Maître de l’Ordre des Prècheurs:
Une lettre à l’Ordre – Liberté dominicaine et responsabilité – Vers une spiritualité du gouvernement – « Dominique, homme de liberté et de gouvernement ».
Oecuménisme
A la suite de la Constitution Apostolique « Anglicanorum Coetibus » du Pape Benoit XVI (ANCO 1)et en fonction des Normes d’aplication (ANCO 101)par ce décret en date du 15 JANVIER 2011 est érigé le diocèse personnel Notre Dame de WALSINGHAM. La constitution apostolique qui crée une structure canonique spécifique destinée à accueillir et intégrer des institutions et groupes anglicans au sein de l’Église catholique romaine, tout en assurant « que soient maintenues au sein de l’Église catholique les traditions liturgiques, spirituelles et pastorales de la Communion anglicane, comme un don précieux qui nourrit la foi des membres de l’ordinariat et comme un trésor à partager ».
Anglicanorum Coetibus (latin : à des groupes d’anglicans) est une constitution apostolique qui crée une structure canonique spécifique destinée à accueillir et intégrer des institutions et groupes anglicans au sein de l’Église catholique romaine, tout en assurant « que soient maintenues au sein de l’Église catholique les traditions liturgiques, spirituelles et pastorales de la Communion anglicane, comme un don précieux qui nourrit la foi des membres de l’ordinariat et comme un trésor à partager ».
Il est prévu de constituer un ordinariat personnel spécifique regroupant les fidèles et les institutions attachés à la tradition anglicane, sur le modèle utilisé pour les ordinariats militaires. La constitution a été signée par le pape Benoît XVI le 4 novembre 2009, et publiée le 9 novembre, après avoir été annoncée le 20 octobre par le cardinal William Levada au cours d’une conférence de presse à Rome ; et conjointement par l’Archevêque de Cantorbéry, Rowan Williams, et l’archevêque catholique de Westminster Vincent Nichols, au cours d’une conférence de presse donnée à Londres.
En mars 2011, des luthériens ont demandé à bénéficier d’un dispositif semblable pour rentrer en pleine communion avec l’Église catholique.
Ce document est suivi des normes complémentaires à la Constitution Apostolique Anglicanorum coetibus (par. 100 et ss) et du décret en date du 15 JANVIER 2011 qui érige le diocèse personnel de Notre Dame de WALSINGHAM (par. 200 et ss).
Déclaration commune anglicane – catholique romaine à la suite de la parution du document « Le don de l’autorité » du 12 mai 1999. Première partie présentation du document par la commission internationale anglicane et catholique romaine, suivi par le commentaire du P. William Henn, OFM Cap. Pour une utilisation plus souple du document, nous avons numéroté la première partie en commençant par 70, tandis que la dernière partie commence par 80. Ceci a permis de garder le numéro de chapitre du document principal.
Le Conseil oecuménique des Eglises est « une communauté fraternelle d’Eglises (plus de 300) qui confessent le Seigneur Jésus-Christ comme Dieu et Sauveur selon les Ecritures et s’efforcent de répondre ensemble à leur commune vocation pour la gloire du seul Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit » (constitution). La Commission de Foi et Constitution du Conseil oecuménique assure un soutien théologique aux efforts des Eglises vers l’unité. » En janvier 1982, la commission plénière de Foi et Constitution, réunie à Lima, mit un point final au texte intitulé: « Baptême, eucharistie, ministère » (BEM), qui a suscité un très grand intérêt dans toutes les Eglises. Si les Eglises divisées doivent parvenir à l’unité visible qu’elles recherchent, un des préalables essentiels est qu’elles soient en accord fondamental sur le baptême, l’eucharistie et le ministère. La Commission de Foi et Constitution a consacré beaucoup d’attention pour surmonter la division doctrinale sur ces trois thèmes. Ces trois textes en sont le fruit.
Ce document a été publié au Vatican le 10 décembre 2015. Il a été élaboré pour marquer le 50e anniversaire de la Déclaration conciliaire Nostra Aetate.
Le document a été présenté par le cardinal Kurt Koch, président de la Commission pontificale pour les rapports religieux avec le judaïsme ; par le P. Norbert Hofmann, S.D.B., secrétaire de ce même dicastère ; par le rabbin David Rosen, directeur international des Affaires interreligieuses de l’American Jewish Committee (AJC), de Jérusalem (Israël) ; par le Dr. Edward Kessler, directeur fondateur de l’Institut Woolf, de Cambridge (Royaume-Uni). Il rassemble « des réflexions sur des questions théologiques concernant les relations catholico-juives à l’occasion du 50e anniversaire de Nostra Aetate (n. 4) ».
En 1999 a été signée, à Augsbourg, la Déclaration commune sur la doctrine de la justification. Ce document, émanant de l’Église catholique romaine et de la Fédération luthérienne mondiale, mettait fin à des controverses pluriséculaires sur la question centrale du salut. Il s’agit donc d’un texte majeur, et il faut se réjouir de ce qu’il fait l’objet d’une nouvelle traduction en langue française. Cette traduction a pris pour base la version anglaise de la déclaration, tout en tenant compte de l’autre version originale en langue allemande. Le volume reproduit aussi une « Déclaration commune » qui a été publiée en 2016, à Lund (en Suède), à l’occasion de la célébration inaugurant la commémoration du début de la Réforme. Il publie en outre les documents qui, depuis 1999, ont marqué la réception de l’accord d’Augsbourg par d’autres Églises ou confessions chrétiennes : ceux du Conseil méthodiste mondial (2006), de la Communion anglicane (2016) et de la Communion mondiale des Églises réformées (2017). L’ouvrage, qui résulte lui-même d’une collaboration entre une catholique, un luthérien et un orthodoxe, s’accompagne de précieux « outils de lecture » et de « notices » qui faciliteront la lecture de la Déclaration d’Augsbourg. Il contribue ainsi à faire connaître en monde francophone ce document qui est l’un des plus beaux fruits du dialogue oecuménique dans les décennies récentes : ce document concentre les textes importants de cette démarche qui s’étale de 1997 à 1999 suivi d’une relecture de Mgr KASPER W de 2013 :
Le CONSEIL PONTIFICAL POUR LA PROMOTION DE L’UNITÉ DES CHRÉTIENS (CPPUC) a été chargé de la promotion de la collaboration oecuménique pour la traduction de la Sainte Écriture et de sa diffusion cf. Dei Verbum, 22).
C’est la raison pour laquelle il a encouragé la création de la Fédération biblique catholique, avec laquelle il est en étroit contact. Avec l’Alliance biblique universelle, il a publié des Directives concernant la coopération interconfessionnelle dans la traduction de la Bible (1968). La nouvelle édition, révisée en 1987, est présentée ici.
A l’usage des officialités et des Chancelleries.
A partir de la fin du Concile Vatican II, des documents ‘juridiques’ sont venus préciser les possibilités de progrès oecuménique dans la vie de l’Eglise.
Ce document regroupe:
Les éléments du droit de la conférence des Evêques de France sont repérés par les Initiales DPF, notamment:
Ces documents sont groupés sous trois modes d’accès:
Le conseil pontifical pour la Promotion de l’Unité des Chrétiens a publié, ce vendredi 4 décembre 2020, un Vademecum oecuménique.
Intitulé « L’évêque et l’unité des chrétiens », il est proposé à l’occasion du 60e anniversaire de la création du dicastère.
Le père Destivelle décrypte les grandes lignes de ce document. Le document est aussi adressé à tous les catholiques, « c’est une sorte de boussole sur le chemin de l’unité » et chacun pourra y puiser « une source d’inspiration ». Le désir d’unité doit être ardent et il est nécessaire, souligne le père Destivelle « de retrouver cette unité pour que le témoignage chrétien soit crédible ». Le document met en lumière « un triptique » : le « dialogue de la charité » qui porte sur la promotion d’une « culture de la rencontre » au niveau des contacts et de la coopération au quotidien, le « dialogue de la vérité » qui renvoie au dialogue théologique avec les autres chrétiens et le « dialogue de la vie » qui comprend la pastorale, le témoignage au monde et la culture.
Le Saint-Père, Jean-Paul II, dans son Homélie du 29 juin 1995 dans la basilique Saint-Pierre, en présence du Patriarche oecuménique Bartholomée Ier, a exprimé son désir que soit clarifiée la doctrine traditionnelle du Filioque présent dans la version liturgique du Credo latin, pour mettre en lumière sa complète harmonie avec ce que le Concile oecuménique de Constantinople, en 381, confesse dans son symbole. Le Père comme source de toute la Trinité, seule origine et du Fils et du Saint-Esprit.
Le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, publie le 13 septembre 1995 un document important et très éclairant sur la position de l’Église catholique à propos de la question du Filioque. En effet, bien que ce texte soit abondamment commenté sur le web par le monde orthodoxe – dans un sens positif ou négatif. Il est disponible chez Testimonia.fr dans sa version non expurgée des termes grecs. Les titres et numérotation sont de notre main.
La Commission mixte internationale pour l’unité entre des représentants de l’Église catholique et de la Fédération luthérienne mondiale a publié un document majeur pour préparer la commémoration des 500 ans de la Réforme en 2017 : » Du conflit à la communion « .
La principale nouveauté de ce texte est la relecture commune que luthériens et catholiques font ensemble de la Réforme, invitant les Églises à une repentance publique. Dans ce document d’une centaine de pages, luthériens et catholiques revisitent les événements souvent douloureux qui les ont menés à la désunion. Fruit de près de cinquante ans de dialogue oecuménique au sein de la commission luthéro- catholique créée en 1967, ce texte notifie les avancées théologiques accomplies depuis le concile Vatican II, notamment la déclaration d’Augsbourg en 1999 sur la justification par la foi, mais aussi d’autres progrès substantiels, notamment sur le rapport entre Écriture et Tradition ou sur l’eucharistie.
La recherche de l’unité des chrétiens a été l’un des principaux objectifs du deuxième concile du Vatican.
Mais l’ampleur du mouvement oecuménique et la multiplication des documents nécessitaient une révision du directoire. L’engagement irréversible des catholiques dans le mouvement oecuménique est présenté dans un document de référence : le Directoire sur l’application des principes et des normes de l’oecuménisme, promulgué en 1993 par Jean-Paul II.
Ce texte a été commenté, en fonction de la situation française, par la Commission épiscopale pour l’unité des chrétiens, nom donné à l’époque à l’instance de la Conférence des évêques de France chargée des relations oecuméniques: d’abord dans une note du 14 juin 1993, puis dans un texte d’application du 22 février 1994.
Ce dernier texte souligne l’importance de plusieurs points du Directoire : le rôle des délégués diocésains, la nécessité d’un formation, les possibilités et les limites de la communion de vie entre les baptisés, la collaboration entre Eglises et le témoignage commun qu’elles sont appelées à donner.
Le 25 mars 1993, Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II a approuvé la version révisée du Directoire pour l’application des principes et des normes sur l’oecuménisme, il l’a confirmée de son autorité et en a ordonné la publication.
Une des principales préoccupations du Directoire est la formation oecuménique dans les séminaires et les facultés de théologie. Le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens étudieraient et rendraient plus explicite les principes et les recommandations fixés dans le Directoire. Pour préparer le débat lors de cette rencontre, une consultation de spécialistes chargés de l’enseignement de différentes disciplines dans les séminaires et les facultés de théologie a élaboré deux projets de document: le premier concernant la dimension de la formation oecuménique des personnes qui se consacrent à l’activité pastorale, le second exposant, dans les grandes lignes, un cours spécialisé sur l’oecuménisme.
Jeudi 20 janvier 2022, le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens a publié un document de travail sur les conséquences de la pandémie actuelle pour les relations oecuméniques.
Le texte, intitulé « L’oecuménisme à l’heure de la pandémie : de la crise à l’opportunité », résume les résultats d’une enquête menée en 2021 auprès de toutes les Conférences épiscopales et des Synodes orientaux catholiques. Après avoir analysé les opportunités offertes par la pandémie pour les relations entre chrétiens, ainsi que son impact négatif, le document identifie certains des défis auxquels est confronté le Mouvement oecuménique dans un monde post-pandémique. Ce document entend être une première contribution à la réflexion, dans l’espoir qu’il favorisera un approfondissement et stimulera le dialogue à tous les niveaux avec les autres chrétiens.
Autres
Mais qu’entend-on par religion traditionnelle africaine ?
Cette expression, que certains auteurs préfèrent mettre au pluriel, prête presque inévitablement à confusion. Si l’on entend par religion un ensemble de croyances et de pratiques relatives à une réalité transcendante, une définition qui convient à la plupart des grandes religions, on ne fait pas justice à la religion traditionnelle africaine, dont l’objet principal est d’assurer l’harmonie entre les vivants et les « morts vivants » ou ancêtres. Des distinctions qui paraissent évidentes en Occident, comme entre sacré et profane ou religion et médecine, ne sont pas universellement pratiquées en Afrique.
La religion traditionnelle africaine n’est pas une religion instituée. Elle n’a ni clergé, ni lieu de culte, ni doctrine. Son seul objet est de développer une relation de confiance avec les ancêtres du clan ou de la tribu pour éviter les malheurs, accidents et maladie qui risqueraient de se produire s’ils cessaient de protéger leurs descendants. Aussi bien se pratique-t-elle dans l’enceinte domestique sous la responsabilité du chef de famille. Elle est rituelle et non dogmatique. C’est en pratiquant des rites donnés que l’on communique avec les ancêtres.
Il est vrai que certains experts ont un accès privilégié aux ancêtres – les sangomas (devins), les inyangas (guérisseurs traditionnels), les abathandazi (intermédiaires spirituels) – mais la manière dont ces experts sont formés et dont ils exercent leur fonction est foncièrement différente de celle des prêtres, rabbins et imams par exemple.
Pour faire de la religion traditionnelle africaine une religion au sens propre, il convient, comme David Chidester le suggère, d’adopter une définition plus large et plus polysémique du terme religion.
Mgr Mario Grech est le nouveau secrétaire général du Synode des évêques. Né à Malte en 1957, il a été nommé évêque de Gozo en 2005 par Benoît XVI. De 2013 à 2016, il a été président de la Conférence épiscopale de Malte. Le 2 octobre 2019, le pape François l’a nommé Pro-Secrétaire Général du Synode des évêques. A ce titre, il a participé au Synode sur l’Amazonie. En partant de la situation de l’Église en période de pandémie – d’une ecclésiologie « en confinement » – et des défis importants qu’elle révèle pour aujourd’hui, nous sommes naturellement passés à des réflexions sur les sacrements, l’évangélisation, le sens de la fraternité humaine, et donc de la synodalité, que Monseigneur Grech considère comme étroitement liée. Une partie de l’entretien étant consacrée à la « petite église domestique », nous avons fait le choix d’une conversation menée conjointement par un prêtre et un laïc, marié et père de famille. Conversation libre, du 23 Octobre 2020, sous la forme d’une « Interview », au sujet du contexte de la Pandémie de COVID 19 – les titres et chapitres ont été ajouté par le copiste
Textes Passionistes
Saint Paul de la Croix
Ecrits de Paul de la croix
Lettres à Lucie Burlini par Paul de la croix.
Lettres de Paul de la croix à sr CG Gandolfi.
Lettres de st Paul de la croix à Tommaso Fossi.
Lettres de st Paul de la croix au P. Fulgence.
Lettres de Paul de la croix à Mgr Gattinara.
Lettres de st Paul de la croix à Agnès Grazi.
Journal de retraite de st Paul de la croix: texte intégral.
Correspondance de Paul de la croix avec Marie-Crucifiée.
La Mort Mystique de st Paul de la croix: texte intégral.
Préface au premier texte de la Règle.
Lettres de st Paul de la croix à sr. Maria Cherubina Bresciani.
Chapitre tiré des règlements de Paul de la croix, intitulé: Des Confesseurs.
Commentaires divers
Fabiano Giorgini c.p., CONDITION POUR DEVENIR HOMME D’ORAISON DANS LA DOCTRINE DE PAUL DE LA CROIX. Ricerche di storia e spiritualità passionista – 19, Roma 1980.
St Paul de la croix: missions paroissiales.
Sainte Gemma Galgani
Notes prises durant les extases de sainte Gemma Galgani par des témoins.
Autobiographie écrite par ste Gemma Galgani sur ordre de son directeur spirituel.
Lettres de Sainte Gemma Galgani à divers correspondants
Lettres de Sainte Gemma Galgani au P. Germano.
Lettres de Sainte Gemma Galgani à Mgr Volpi.
Lettres du P. Germano (père spirituel de la sainte) à Gemma Galgani.
Journal rédigé par sainte Gemma sur la demande de son directeur spirituel.
écrits divers de sainte Gemma Galgani
Autres figures
Vie de saint Paul de la croix par saint Vincent-Marie Strambi (livre 2).
Enseignements sur «la mémoire de la Passion».
Vie du B. Dominique Barberi (1792-1849).
Vie de saint Gabriel de l’Addolorata (1838-1862).
Nuit de l’esprit réparatrice en saint Paul de la Croix par le P. Garrigou-Lagrang
Petite vie de sainte Gemma Galgani (1878-1903), la principale représentante italienne du culte du Sacré Coeur.
Écrits De saint Gabriel de l’Addolorata.
Lettres de st Gabriel de l’Addolorata.
Lettres du Bienheureux Isidore de Loor.
Commentaire de la doctrine du Journal de Paul de la croix par Philippe Plet c.p.
La célébration du mystère chrétien et la liturgie chez st Paul de la croix.
La solitude et le désert dans la spiritualité passioniste.
Histoire de la présence passioniste en France.
Notices biographiques des saints Passionistes.
Vie de saint Vincent-Marie Strambi (1745-1824).
Vie de saint Paul de la croix.
Chronologie brève de st Paul de la croix.
Introduction au Journal de Paul de la croix par Zoffoli.
Législation Passioniste
Constitutions des Passionistes (1984)
Règlements généraux des Passionistes.
Règle de 1775 de la congrégation de la Passion de Jésus-Christ
Autres auteurs
Vie divine de la très-sainte Vierge Marie Par Marie d’Agréda
P. BONAVENTURE AMADEO DE CESARE, M. C., Consulteur de la sacrée Congrégation romaine de l’index.
Traduite de l’Italien par l’Abbé Joseph-Antoine Boullan, Missionnaire du Précieux Sang et Docteur en Théologie. Paris, 1853
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais CH 1897 Le Bouveret (VS) http://membres.lycos.fr/abbayestbenoit/
St Bernard tome VII.
TOME VII
Bienheureuse Anne-Catherine Emmerich
Les mystères de l’ancienne alliance
Téqui 1995.
Bienheureuse ANNE CATHERINE EMMERICH
VIE DE LA SAINTE VIERGE
Publiée en 1854
Traduction de l’Abbé DE CAZALES.
252p.
Bienheureuse Catherine Emmerich
La douloureuse Passion.
Traduction Par M. l’Abbé de CAZALES, 20e edition.
Source: JesusMarie.com
sainte Catherine de Gênes Traité du Purgatoire.
La traduction ci-après suit le texte et les divisions du P. Valeriano.
Oeuvres de St Bernard tome VII.
Oeuvres de Guerric d’Igny
Écrits du vénérable P. Jean-Baptiste Danei, co-fondateur des Passionsites.
LE PROCÈS DE JEANNE D’ARC
Trad. R. P. Dom H. LECLERCQ, 1906
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais CH 1897 Le Bouveret (VS) http://membres.lycos.fr/abbayestbenoit
L’Imitation de Jésus-Christ (en latin: De imitatione Christi) est une oeuvre anonyme de piété chrétienne, écrite en latin à la fin du XIVe siècle ou au début du XVe siècle. On estime habituellement que son auteur est Thomas a Kempis (1380-1471), moine au Mont-Sainte-Agnès à Zwolle. Il s’agit du livre le plus imprimé au monde après la Bible et, selon Yann Sordet, de « l’un des plus grands succès de librairie que l’Europe ait connus de la fin du Moyen Âge au début de l’ère contemporaine ». Cette version française a été traduite du latin par l’Abbé Félicité de Lamennais en 1824 avec des réflexions à la fin de chaque chapitre. Conditions de reproduction : ce livre est dans le domaine public et peut être reproduit sans restrictions. Fichier électronique préparé et mis en forme par Yves PETRAKIAN en 2011 sur http://123-bible.com
La légende dorée
de Jacques de Voragine nouvellement traduite en français
avec introduction, notices, notes et recherches sur les sources par l’abbé J.-B. M. Roze, chanoine honoraire de la cathédrale d’Amiens
Édouard Rouveyre, Éditeur
76, rue de seine, 76
Paris
MDCCCCII
Abbaye Saint Benoît de Port-Valais
CH 1897 Le Bouveret (VS)
http://membres.lycos.fr/abbayestbenoit/
Cette lettre résume l’essentiel de la doctrine mariale de Saint Louis-Marie Grignon de Montfort.
Elle traite en particulier de la vraie dévotion à la Sainte Vierge, ou comment plus facilement atteindre le Christ en passant par Marie.
Quelques vies de saints.
Ces écrits ne sont pas le fruit de recherches historiques précises: il s’agit d’écrits de piété, faits pour édifier notre Foi et relancer notre vie évangélique.
Textes provenant d’Internet, avec la mention suivante:
L’aire RACINES CHRETIENNES est heureuse d’ouvrir son espace Web aux frères Orthodoxes (V.C.O.) afin de permettre la publication « en ligne » de plusieurs de leurs ouvrages.
http://www.racines.simplenet.com/racines
Littérature
Compilations
HENRI CHANDAVOINE .
Bibliothèque chrétienne de Poche Foi Vivante
LES ÉDITIONS DU CERF PARIS 1993.
Grand Thesaurus de textes choisis.
Par R. Bargoin, Pontoise. Novembre 1993.
L’ensemble se compose de deux grandes parties :
Divers autres
Autres
Des évêques
Revised Edition of the BALTIMORE CATECHISM No. 2.
Confraternity of Christian Doctrine 1941.
Documentos CELAM (Conferencia Episcopal Latino America)
Outils
Compilations
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Version électronique, insérée dans la base de textes d’Ictus avec permission.
Numéro 10 de la Revue KEPHAS.
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Numéro 11 de la Revue KEPHAS.
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Utilitaires
Manuel du logiciel ICTUS 3.1 en français.
Permet une première prise en main du logiciel, et contient un descriptif assez complet du format interne des documents.
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Mise à jour: Février 2022.
Manuale in italiano.
Aggiornamento: settembre 2004.
Islam
Le nom « Coran » ou « Saint-Coran » provient du terme arabe « Qur’an » qui fait référence à une récitation, une communication orale. La tradition musulmane désigne par ce terme le contenu transcrit des révélations de Dieu au prophète Mohammed par l’intermédiaire de l’ange Gabriel durant plus d’une vingtaine d’années, de 612 à 632 ap.J.C. Il faut insister sur le fait que contrairement à la Bible, le Coran ne constitue par un récit humain du message divin, mais est le « texte original » de la révélation divine, dicté mot à mot à Mohammed – vision qui ne resiste à aucune analyse historique sérieuse. Le Coran renferme 6236 versets dans 114 sourates. Celles-ci ne sont pas classées par ordre (chrono)logique, mais par leur taille approximative.
Source: Essai de traduction du professeur Muhammad Hamidullah (www.coran-francais.com) – texte libre.
Note importante: Le coran est mis à disposition dans Ictus comme texte non inspiré, mais de référence.
La confrontation de cet écrit avec les textes de la Bible démontre, d’une manière très nette, que le Coran est non seulement d’un autre genre littéraire, mais d’un retour à une vision de Dieu archaïque, éloignée non seulement du Nouveau Testament, mais de la plupart des livres de l’Ancien Testament, en particulier la littérature sapientielle et les écrits tardifs. Le pape François ayant engagé un dialogue nouveau avec des représentants musulmans, il nous a semblé utile d’intégrer le Coran à notre base de textes.
Les rubriques reprises dans cet index systématique des sourates et des versets ont fait l’objet d’une note théologique, historique, sociologique, philosophique ou scientifique intéressant le dogme, les rites et les institutions de l’Islâm, ses antécédents spirituels, l’ambiance morale, le milieu ethnique, le cadre social où il est né et s’est développé. Les références sont conformes à l’ordre traditionnel des sourates et des versets. Le premier chiffre indique la sourate, le second le verset et son commentaire.
Note importante: Le coran est mis à disposition dans Ictus comme texte non inspiré, mais de référence.
La confrontation de cet écrit avec les textes de la Bible démontre, d’une manière très nette, que le Coran est non seulement d’un autre genre littéraire, mais d’un retour à une vision de Dieu archaïque, éloignée non seulement du Nouveau Testament, mais de la plupart des livres de l’Ancien Testament, en particulier la littérature sapientielle et les écrits tardifs. Le pape François ayant engagé un dialogue nouveau avec des représentants musulmans, il nous a semblé utile d’intégrer le Coran à notre base de textes.
Message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale de la fraternité humaine, le 4 février : La Journée internationale de la fraternité humaine est l’occasion de célébrer la compassion, la compréhension religieuse et le respect mutuel. Ces valeurs sont le fondement de la paix et le ciment de notre famille humaine. Pourtant, partout dans le monde, elles sont effritées. À cause des clivages qui s’accentuent, des inégalités qui augmentent et du désespoir qui ne cesse de croître. À cause des discours de haine, du sectarisme et des conflits qui progressent. En effet, l’extrémisme religieux et l’intolérance se manifestent dans toutes les sociétés et confessions. Le devoir des chefs religieux partout dans le monde est d’empêcher l’instrumentalisation de la haine et de désamorcer l’extrémisme parmi leurs fidèles. La déclaration intitulée « La fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune », co-signée par Sa Sainteté le pape François et Son Éminence le grand imam d’Al-Azhar, le cheik Ahmad Al-Tayyeb, est un modèle d’harmonie interconfessionnelle et de solidarité humaine. Nous devons nous en inspirer et renouveler notre engagement de rester unis, une seule et même famille humaine. Ensemble, construisons une alliance pour la paix, riche de sa diversité, égalitaire en dignité et en droits, solidaire
Droits
ICTUS 3.1 :
Bible de la Liturgie (AELF 2013) (LIT):
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Biblia Hebraica (BHW):
Vox Orantis:
Liber Sacramentorum Engolismensis (ENG):
Sacramentarium Gelasianum Vetus (GEV):
Sacramentarium Hadrianum (GRH):
1570 Missale Romanum (num. Bruylants) (MRB):
Missale Romanum (Editio typica altera) (MRN):
Ordo Initiationis Christianae (OICA):
Sacramentarium Veronense (VE):
Ordines Romani (ORDINES):
Prex Eucharistica (PRX):
Textes liturgiques en français:
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Texte biblique grec analysé (GRA):
Ecrits canonistes réservés:
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Nova Vulgata (NV):
Somme Théologique de Saint Thomas:
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Antiqua Vulgata (VUL):
S. Thomae Aquinatis, Opera alia:
Oeuvres de St Jérôme:
Tomás de Aquino. Suma Teológica:
Ed. Paoline (BEP):
Second Concile du Vatican:
Archives 1999-2001 de Zenit:
Oeuvres complètes de Saint Bernard.:
Editions MIGNE:
Biblia de Jerusalén (SBJ):
Oeuvres Complètes de Ste Thérsèe de Lisieux (FR):
Bible du Chanoine Crampon (CP):
Revue KEPHAS – numéros 1 à 11:
CEI (1974) (CEI):
Oeuvres de Ste Thérèse d’Avila et de St Jean de la Croix:
Hébreu + Septante (HLX):
Mode d’emploi en français:
Documents pontificaux 1939-1948 de Pie XII:
Bible de Jérusalem (BJ):
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Dictionnaire latin-français:
« Bible Chrétienne » – commentaires Evangiles (1990):
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Councils in English:
Papal Magisterium (MDE):
Documents pontificaux 1949-1958 de Pie XII:
Ecrits Musulmans:
2021 Le Coran (CORAN):
Oeuvres de pères cisterciens:
English version of the Didachè:
Jerome Biblical Commentary 1968:
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